Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ivermectine

  • le Dr Jean-Paul Théron, qui soignait ses patients à l’ivermectine, interpellé et placé en garde par la gendarmerie

    Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2021

    Dans la vidéo ci-dessous, les cris de douleur du Dr Théron n’arrêteront pas les gendarmes. L’homme sera transporté au Centre hospitalier de Taaone après une détresse respiratoire déclenchée par son arrestation.

    Le maire de Paea, Anthony Géros, ne comprend pas toute cette violence « De là à traîner un docteur, comme ça, par terre, c’est quand même assez surprenant des officiers de police judiciaire. »

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1440196737369399298

     

     

    A l’origine de cette violence

    A compter du 30 juillet 2021, un confinement a été appliqué, avec des mesures sanitaires et réglementaires plus ou moins loufoques. Limitation des rassemblements de plus de 20 personnes, interdiction des combats de coqs… Vous pouvez voir la liste . L’effet bienfaisant ne s’est pas fait attendre. Dès le lendemain les décès de covid sont montés en flèche jusqu’au 28 août. Depuis, la courbe des décès retombe.

    Soigner : un délit

    Le centre médicalisé municipal de Paea est une structure alternative aménagée hors du schéma habituel, sans avis des autorités qui planifient la carte sanitaire.  Le 8 septembre 2021 ce centre a reçu la visite de l’Agence de Régulation de l’Action Sanitaire et Sociale, pour un contrôle. Le conseil de l’ordre a prévenu le maire de Tavini, Tony Géros, que son centre médical était menacé de fermeture, s’il continuait à soigner les malades du covid, et a rappelé que les thérapies proposées dans le centre de Paea « ont été contestées par les scientifiques ». « Dans cette période exceptionnelle, comme en temps normal, le Conseil de l’ordre des médecins, autorité régulatrice de la profession, ne laisse aucun manquement à la déontologie imputable à un médecin impuni », indique l’Ordre des médecins.
    Le syndicat des médecins libéraux présidé par le Dr Didier Bondoux se range à l’avis du Conseil de l’ordre : « Jusqu’à preuve du contraire, il n’y a pas de traitement de la Covid. On va insister là-dessus, il n’y en a pas. »

    La suite sur lemediaen442