GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

kebab

  • « Adieu blanquette ! » : quand les Français mangent moins français

    Publié par Guy Jovelin le 08 juin 2025

    Coq au vin, bœuf bourguignon… La place de la gastronomie traditionnelle se réduit dans nos assiettes, au profit des burgers et autres kebabs. À qui la faute ?

    Bœuf bourguignon, coq au vin, ratatouille, quiche lorraine… Ces incontournables de la gastronomie française sont-ils voués à disparaître de nos assiettes ? En France, la cuisine traditionnelle qui, dans l’imaginaire collectif, est héritée de nos grands-mères et partagée en famille séduit de moins en moins.

    Un exemple emblématique : la blanquette de veau. Dans La France sous nos yeux (Seuil, 2021), les auteurs Jérôme Fourquet et Jean-Laurent Cassely montrent que les amateurs de ce ragoût mijoté à la sauce blanche se font moins nombreux.

    Seuls 28 % des jeunes nés entre 1996 et 2002 apprécient encore ce classique de la gastronomie française. C’est 12 points de moins que chez les personnes nées avant 1956 (40 %).

    Ces mutations inquiètent l’essayiste Pierre Valentin, qui alerte sur un possible risque de « déculturation culinaire ». Mangera-t-on encore français dans vingt ans, et saura-t-on encore cuisiner nos propres plats ? Les chiffres de l’Ifop invitent au doute. « Quand vous avez grandi dans un pays avec une couche yankee, que vous aimez la pizza et le kebab, que vous êtes attirés par la mode asiatique, il reste moins de place pour la blanquette, le bourguignon et la quiche lorraine », note Jérôme Fourquet, qui estime que cet appétit pour la cuisine étrangère devraient suivre ces jeunes générations « toute leur vie ».

    S’éloigner de la cuisine française, c’est délaisser des pratiques alimentaires spécifiques, d’ailleurs classées au patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’Unesco, comme c’est le cas du « repas gastronomique à la française ». (…)

    Le Point via fdesouche

  • Le kebab, une bombe calorique « à la viande douteuse »

    Publié par Guy Jovelin le 16 mars 2020

    Par  le 15/03/2020

    En quoi ce mets, dont les Français en raffolent tant, est à ce point néfaste pour notre organisme? Vaudrait-il mieux prendre un “domac” à la place d’un grec ? Un documentaire de France 5, “Kebab: salade, tomate, pognon?” , décortique ce sandwich qui a su s’intégrer dans la vie quotidienne de bon nombre de Français.

    Ce documentaire de Julia Le Correc explique pourquoi le kebab mérite la première place sur le podium de la malbouffe et le terme de bombe calorique. C’est près de 380 millions de kebab qui sont vendus chaque année dont douze achetés par seconde. Le marché de ce secteur représente par ailleurs plus de 1.2 milliard d’euros, comme le précise Le Parisien. […]

    Par ailleurs, on ne retrouve pas que du paprika, du sel ou de l’origan dans la production de viandes pour les kebabs. Comme il est démontré dans le documentaire, on retrouve aussi du phosphate inorganique, un additif à base de phosphore, qui représente des risques pour la santé humaine. Son utilisation se justifierait par le fait qu’il permette, comme le sel, de retenir l’eau de la viande et ainsi de tenir d’un bloc sur les broches.

    Si le phosphate est beaucoup utilisé par les industriels depuis les années 80, les résultats d’une étude, relayée par la Deutsches Ärzteblatt International, indique les effets néfastes à son utilisation. L’étude atteste les risques de lésion et de calcification vasculaire. Une consommation à haute quantité de phosphate empêcherait également la fixation normale du calcium dans le corps provoquant par conséquent un affaiblissement des os. […]

    huffingtonpost via fdesouche