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libé

  • Le grand remplacement chez les autres

    Publié par Guy de Laferrière le 07 avril 2024

    Le grand remplacement chez les autres

    La Une de Libé :

    La rédaction de Libé :

  • Sempiternelle provocation antichrétienne chez Libé

    Publié par Guy de Laferrière le 28 décembre 2023

    Libération publie un manifeste pour mettre fin à Noël

    On m’objectera que c’était du second degré, que nous manquons d’humour. Il n’empêche que, oui, je m’offusque de ce “manifeste pour mettre fin à Noël” publié par Libération. Car derrière un ton badin, il y a bien un message sous-jacent. Ne vous y trompez pas, chez Libé rien n’est gratuit.

    Or, le journal gauchiste tente bien de faire passer l’idée qu’il n’y a pas “d’intérêt à maintenir ces traditions”. Et Marie-Eve Lacasse, reine du calembour au sein de la rédaction de Libé, fait une proposition : “hybridons nos fêtes et nos traditions”.

    Hybrider nos fêtes et nos traditions

    On connaît cette chanson : elle est toujours destinée uniquement aux catholiques et aux Européens.

    Verrez-vous dans un autre lieu de culte qu’une église des représentants d’un autre culte invités à célébrer leurs rites lors d’un événement “inter-religieux” ? Jamais !

    Verrez-vous dans un autre lieu de culte qu’une église cet espace religieux transformé en salle de concert ? Jamais !

    Verrez-vous dans un autre lieu de culte qu’une église l’officiant prétendre que les autres croyances peuvent également mener au salut ? Jamais !

    Tout cela ne se constate que dans des lieux de culte catholiques, par la complicité malfaisante de certains prêtres modernistes ayant perdu toute notion de leur mission sacerdotale.

    La proposition émise par Libération d’hybrider nos fêtes et nos traditions est un insupportable appel au reniement qui n’est entendu par aucune autre croyance, culture ou civilisation. Ni les Juifs, ni les musulmans, ni les bouddhistes n’ont l’intention d’hybrider leurs fêtes et leurs traditions.

    Et vous ne risquez pas de lire de sitôt un article de Libération intitulé Manifeste pour mettre fin à Hanouca

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Libération et des avocats de gauche lancent une chasse à l’homme contre un magistrat « trop sévère »

    Publié par Guy de Laferrière le 22 décembre 2022

    Du propre aveu des avocats habitués à plaider face à lui, Tony Skurtys n’est pas particulièrement désagréable en audience. Celle à laquelle nous assistons ne fait pas exception. Pas de remarque superflue ou de haussement de voix. Quelques traits d’humours sur les luxueuses marques de montres volées, ou encore sur le lexique utilisé par l’homme accusé de trafic de stupéfiants. Pendant sa plaidoirie, un avocat tente de demander une peine mixte (entre de la prison et un aménagement). Il laisse échapper : «Je connais la sévérité de votre tribunal», Skurtys reste impassible. Après une dizaine de minutes de délibéré, les six personnes sont condamnées à de la prison ferme, sans aucun aménagement de peine. Les condamnations sont systématiquement supérieures ou égales aux réquisitions du parquet. «Il est complètement taré», s’emporte à la sortie de la salle d’audience le conseil d’un des condamnés à plusieurs années de prison ferme. Un autre avocat, fataliste : «C’est Skurtys.»

    (…)

    «Si c’est systématique, ça pose question»

    Sa réputation, Tony Skurtys l’a façonnée tout au long de sa carrière, d’Evry à Créteil en passant par Meaux. C’est à ce moment-là, il y a cinq ans, alors qu’il était juge des libertés et de la détention, que le Canard enchaîné avait relayé une première fronde visant le juge. L’article intitulé «Des avocats à l’assaut du juge 100%», évoquait des défenseurs qui avaient disséqué les décisions des trois juges des libertés et de la détention (JLD) du Mesnil-Amelot, le plus grand centre de rétention administrative de France. Résultat : 68,24% de décisions favorables à la préfecture et refusant la liberté pour l’un, 81,57% pour l’autre, et 100 % pour Skurtys, «celui qui ne faisait sortir personne».

    (…)

    Les avocats que nous avons contactés décrivent tous le même sentiment face à Skurtys. «Avec lui, témoigne maître Martin Méchin qui a été confronté au «juge 100 %» à Créteil comme à Paris, on sait qu’on pisse dans un violon : de toute façon, son but c’est d’incarcérer. C’est la roulette russe pour le justiciable. Si vous êtes en comparution immédiate, c’est un hasard total en fonction de la chambre à laquelle vous êtes affecté, si vous comparaissez devant Skurtys ou non. C’est un problème qui n’est pas propre à lui, il y a des juges plus durs que d’autres, mais là c’est porté à l’extrême.» Un autre membre du barreau parisien abonde : «Avec lui, on sait que le combat est perdu d’avance et que notre client va prendre du ferme et du mandat de dépôt. […] Il n’y a même plus vraiment de stratégie à avoir. Il suffit d’être là, de prendre les coups. On le dit à nos prévenus d’ailleurs : on est désolé, vous n’avez pas de chance, vous avez Skurtys, vous allez aller en prison».

    (…)

    «Une espèce de fixation contre lui»

    Interrogé par CheckNews lors d’un entretien réalisé le 20 décembre, Stéphane Noël, président du tribunal judiciaire de Paris, qui a nommé Tony Skurtys à son poste, (…) n’élude pas ces incidents, mais défend le juge : «Ce magistrat est, depuis de nombreuses années, victime d’une espèce de fixation contre lui qui ne me paraît pas complètement justifiée. […] Il m’a été reporté un certain nombre d’incidents d’audience […]. Chaque incident fait l’objet d’une demande d’explication et d’un rapport écrit. Et j’apprécie en fonction de l’intensité s’il doit être géré au niveau de la présidence, ou par le chef de service. J’ai reçu une fois Tony Skurtys suite à un incident de nature déontologique [après les signalements de Jean-Claude Bouvier, ndlr]. Les autres incidents ont été traités avec son chef de service [Didier Safar, vice-président du tribunal de Paris, ndlr].» Le président du tribunal se dit «absolument attentif et vigilant» à la colère exprimée par les avocats parisiens, mais maintient qu’à partir des faits portés à sa connaissance, il ne note pas de problème qui serait propre à Tony Skurtys. Et réaffirme, sur le volet de l’extrême sévérité, le principe de la nécessaire indépendance des juges.

    Reste que la pression monte. Une heure après notre échange, Stéphane Noël nous a adressé un mail dans lequel il précise avoir «été officiellement saisi d’un signalement de madame la bâtonnière à la suite des incidents d’audiences évoqués lors de notre entretien. Ce signalement fera l’objet [de sa part] d’une réponse officielle à madame la bâtonnière». Contacté à plusieurs reprises, Tony Skurtys n’a pas répondu à nos sollicitations.

    (…)

    Libération via fdesouche

  • Libé promeut le livre d’une militante féministe : “Détester les hommes et tout ce qu’ils représentent est notre droit le plus strict. C’est aussi une fête”

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2020

    Le pamphlet misandre de Pauline Harmange est sorti ce jeudi au Seuil (…). Elle y défend une détestation joyeuse des hommes qui conduit à une sororité émancipatrice.

    Plus on avance dans le livre, plus les hommes sont relégués au rang de figurants tout à fait dispensables. Car dans les faits, et malgré les apparences, ils le sont. «Pas de panique, en virant une bonne partie des hommes, on se rend compte qu’il existe autour de nous des tas de femmes super (à commencer par nous-mêmes, d’ailleurs), que l’omniprésence masculine, bruyante et nuisible, nous empêchait de remarquer et de valoriser.» 

    «Les standards sont très bas pour les hommes, mais pour les femmes ils sont bien trop hauts. Réservons-nous le droit d’être moches, mal habillées, vulgaires, méchantes, colériques, bordéliques, fatiguées, égoïstes, défaillantes…» 

    Libération via fdesouche