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  • Lille, terre d'hospitalité

    Publié par Guy de Laferrière le 21 décembre 2023

    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’Thomas Joly @ThomasJoly732 Traduction: Comptez sur moi pour que Lille continue de se transformer en trou à merde du Tiers-Monde Tiers- >> Martine Aubry @MartineAubry 18 h Lille est et restera une terre d'hospitalité et de solidarité. Nous continuerons à accueillir et accompagner chacun sur notre territoire, quelque soit son origine. 9:27.21 déc. 10 Vues’

  • Lille : un banquet et un concert de rupture du jeûne du Ramadan organisés à l’église St-Pierre-St-Paul

    Publié par Guy de Laferrière le 28 mars 2023

    Lille : durant l’octave pascale, on fêtera l’iftar à l’église St-Pierre-St-Paul

    Cette année, le jeudi de l’octave de Pâques sera un peu particulier en l’église Saint-Pierre-Saint-Paul de Lille, le curé y accueillant pour la deuxième année consécutive… « l’iftar sous les étoiles ». Cette rupture du jeûne du ramadan (selon la définition que donne le Larousse de l’iftar) fait partie de la « scène nomade le temps d’une lune » imaginée par l’association (dûment soutenue et subventionnée par les deniers publics) Attacafa (culture, en arabe) qui, depuis 1984, se fait fort de « créoliser les lieux culturels de la région et de la métropole [lilloise] pour lutter contre toutes les formes d’ethnocentrisme ». Chapeau, l’artiste. Célébrer la rupture du jeûne du ramadan dans une église, il fallait oser. La présentation lénifiante, aussi enrobée de sucre que les pâtisseries associées dans l’imaginaire collectif à l’événement, vise, de toute évidence, à éteindre les préventions des plus réfractaires : « Ce festival vous propose, à travers une programmation désacralisée, de prendre part à ce temps de partage, de fête et de tolérance, car c’est aussi le sens de ce mois particulier. » 

    Pour la modique somme de 10 € (tarif plein), et sur réservation, on pourra démarrer la soirée du 13 avril en écoutant le concert de chanteurs et musiciens turcs Gülay Hacer Toruk et Fawaz Baker. Puis, à compter de 20 h 41, si l’on en croit le site Allevents et Lille Actu« les membres de l’association “Les femmes turques du Nord” prépareront le repas ! »

    Du côté du diocèse, on tend à minimiser l’événement et à tenir ses distances : selon la responsable communication contactée par Boulevard Voltaire, il ne faut voir dans cet accueil qu’une « initiative de la paroisse et non du diocèse » pour « vivre en amitié avec nos frères musulmans ». Et point de repas, en tout cas sur place. Le curé n’aurait prêté son église « “que” pour le concert, comme il le fait pour des concerts laïcs dans la mesure du respect de ce lieu consacré, pas pour le banquet. A priori le banquet se fera hors de l’église », affirme-t-on à Boulevard Voltaire. Les sites annonçant l’iftar laissent pourtant imaginer le contraire, ne donnant aucun autre lieu de rendez-vous à l’issue du concert. 

    Peut-être le curé de Saint-Pierre-Saint-Paul et l’association Attacafa ont-ils trouvé leur inspiration non loin de là, de l’autre côté de la frontière, à Molenbeek ? En juin 2016, selon le site Saphir News, un repas géant de rupture de jeûne (iftar) avait été organisé à l’église Saint-Jean-Baptiste. 600 personnes avaient répondu présent « pour partager un repas préparé principalement par des bénévoles des mosquées et des associations musulmanes de la commune » : « Un geste fraternel, qui [n’était] rien de plus que le signe des bonnes relations […] nouées avec le temps entre chrétiens et musulmans. » Relations quelque peu refroidies, on en conviendra, par les attentats du 22 mars à Bruxelles et les multiples reportages édifiants sur cette ville qui avaient suivi. 

    www.bvoltaire.fr via fdesouche

  • Lille : Colette, 64 ans, a accueilli un “jeune” migrant guinéen chez elle, et ça a bousculé sa vie. “Quand j’ai vu Aboubacar, j’ai senti que quelque chose se passait en moi”

    Publié par Guy de Laferrière le 30 décembre 2022

    [Les belles Histoires 4/5] En 2020, un jeune orphelin venu de Guinée débarque dans la vie d’une psychothérapeute septuagénaire lilloise, mariée et sans enfant. Aujourd’hui, elle est devenue sa mère adoptive. Tout arrive à qui sait accueillir l’inattendu !

    « Je suis peut-être Sarah, mais pas Joséphine Baker ! », déclare dans un grand éclat de rire, en préambule à notre rencontre, Colette Madeleine. Regardant son fils Aboubacar avec un sourire tendre et malicieux, elle poursuit : « Joséphine Baker a adopté 12 enfants, mais elle avait un château en Dordogne ! » Elle n’en est pas moins grande dame, par sa taille et son élégance naturelle.

    Toujours drapée de longues vestes et foulards dans les camaïeux de mauve, elle s’investit tout autant auprès des migrants qu’à la Fraternité diocésaine des parvis, à qui est confiée l’animation de l’église Saint-Maurice, à Lille. Elle nous raconte avoir depuis toujours « le souci de l’autre » et nourrir un amour pour l’Afrique. Comme Sarah, l’épouse d’Abraham, elle rit joyeusement de la surprise que lui a réservée la vie : devenir mère, à un âge où on devient plutôt grand-mère, huit ans après s’être mariée…

    (…) C’est en 2020, à Lille, qu’elle rencontre Aboubacar, jeune migrant musulman. La Fraternité des parvis, comme beaucoup de paroisses catholiques et protestantes de la métropole lilloise, s’est engagée à accueillir régulièrement des groupes de migrants mineurs. Colette Madeleine et Didier se mobilisent, elle devient la coordinatrice de l’équipe, va visiter régulièrement les jeunes sur leurs lieux d’accueil. Derrière ses lunettes, dont les montures sont assorties à son écharpe, elle scrute leurs états d’âme, les écoute lui raconter leur histoire, découvre leurs maux, les réconforte.

    (…) « Quand j’ai vu Aboubacar arriver au presbytère, j’ai senti que quelque chose se passait en moi, poursuit Colette Madeleine. Je me suis toujours sentie proche de lui, mais j’ai gardé ça secret. Jusqu’au jour où Abou m’a demandé s’il pouvait me poser une question. Je ne savais pas encore qu’elle allait bouleverser ma vie. C’était le 16 février 2021, nous étions assis dans la cuisine du presbytère, et il m’a dit : “Est-ce que vous voulez être ma mère ?” »

    (…) « Aboubacar vient bousculer de manière joyeuse la vie. Il a le vertige, je l’ai aussi. Il a peur de l’eau, j’en ai aussi peur. Il a ce goût des relations humaines, que j’ai. Finalement, on se ressemble ! », observe sur un ton enjoué, la « jeune » mère.

    (…) La Vie via fdesouche

  • Lille : peines légères pour des Arabes accusés d’avoir massacré un jeune Français chez lui « par erreur »

    Publié par Guy de Laferrière le 24 novembre 2022

    Les faits, d’une grande sauvagerie :

    « Le jeune homme a été enterré, vendredi. La police enquête sur le meurtre d’un Lillois de 23 ans, lundi, à son domicile, dans le quartier de l’Epine, à Lille-Hellemmes, rapporte La Voix du Nord. Jason, surnommé Doui, a été frappé à mort par plusieurs individus qui se sont introduits chez lui.

    Selon les premiers témoignages, les agresseurs sont arrivés armés et masqués dans l’appartement que la victime occupait avec sa mère. Cette dernière a été tenue en joue par certains, tandis que les autres s’acharnaient sur Jason à coups de crosse. Le jeune homme est décédé peu de temps après, des suites de ses blessures. […] » (20minutes.fr, le 3 juin 2018)

    Imaginez être à la place de ce jeune et de sa mère, tranquilles chez vous, un soir…

    Le jugement vient d’être prononcé :

    « (…) Kamel El Jarrari (…) 25 ans était le principal accusé d’un procès d’assises qui, pendant sept jours à Douai, a examiné les circonstances de la mort de Jason, 23 ans, frappé d’un coup de crosse à la tempe, le 27 mai 2018, en pleine nuit chez lui, impasse des Rameaux à Lille-Hellemmes. Une expédition punitive qui s’était trompée de cible.
    Kamel El Jarrari a été condamné pour violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner, à douze ans de réclusion criminelle. La préméditation n’a pas été retenue. L’avocate générale Marine Decourcelle avait requis quinze ans. (…)
    Les avocats des cinq coaccusés Isaac M., 24 ans, Bilail C., 25 ans, Idrissa T., 23 ans, Yassine K., 22 ans, et Yassine H., 22 ans, jugés pour association de malfaiteurs du fait de leur présence à l’expédition punitive ont obtenu des peines mixtes sans mandat de dépôt. Pour Me Manon Dugast en partie civile : « Pour la famille de Jason, une chaise restera vide et ça n’a pas de prix ». […] » (source La Voix du Nord)

    Pas de mandat de dépôt, pour ces criminels qui avaient prémédité leur méfait.
    On pourra comparer, par exemple, avec l’affaire Méric : deux jeunes de droite agressé par des antifas, l’un de ces derniers (le plus belliqueux et le plus chétif) tombe au cours de la rixe et se tue en se cognant la tête contre un poteau ; jugement : deux des agressés condamnés, l’un à 11 ans de prison, l’autre – pas même accusé d’avoir touché Clément Méric – condamné à 7 ans. Plus des dissolutions de mouvements de droite qui n’avaient rien à voir.

     

     

  • Lille : deux jeunes femmes violées en pleine rue dans le quartier de Wazemmes en l’espace d’une semaine

    Publié par Guy de Laferrière le 11 novembre 2022

    Deux enquêtes ont été ouvertes après les viols de deux jeunes femmes, qui ont eu lieu à une semaine d’intervalle en pleine nuit dans la rue, dans le quartier de Wazemmes à Lille, à proximité de la rue Gambetta.

    Deux femmes d’environ 25 ans ont été violemment agressées et violées en l’espace d’une semaine, fin octobre et au début du mois de novembre à Lille. Les deux faits ont eu lieu en pleine rue, à proximité des rues Gambetta et Solférino.

    Selon nos informations, la première victime a été surprise par un inconnu, dans la rue vers 4 h du matin, dans la nuit du vendredi 28 octobre. Elle a été violée. L’auteur a réussi à prendre la fuite. La deuxième attaque, concernant une femme du même âge, a eu lieu une semaine plus tard, dans la nuit du vendredi 5 novembre, dans les mêmes horaires et dans le même secteur. Là aussi, la victime a subi des violences physiques et a été violée par un inconnu qui a réussi à s’enfuir. Lors d’un des deux faits, l’auteur aurait également proféré des menaces, peut-être avec une arme.

    (…) La VDN via desouche