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loup

  • Wokisme fou : un enfant s’identifiant comme un loup accepté à l’école en Ecosse

    Publié par Guy de Laferrière le 25 septembre 2024

    Un groupe d'enfants "Furries"
    Un groupe d’enfants “Furries”

    Un élève d’un lycée écossais aurait obtenu de ses professeurs l’autorisation de s’identifier officiellement comme loup au nom d’une « dysphorie d’espèce ». Le wokisme fait des ravages dans les esprits malléables des enfants.

    « L’école écossaise permet à un garçon de s’identifier comme un loup » écrit le quotidien britannique, le Daily Mail, qui révèle sur son site Internet sous le titre Howling mad, littéralement « hurlement fou », cette nouvelle folie autorisée au nom du wokisme. Le tabloïd anglais condamne la « culture woke qui affecte les écoles ».

    Folle époque où tout est possible : même « prétendre appartenir à une autre espèce que l’humaine »

    Cet élève d’un lycée écossais non précisé aurait obtenu de ses professeurs l’autorisation de s’identifier officiellement comme loup au nom d’une « dysphorie d’espèce ».

    Notre Temps post-moderne où domine la culture du choix est vraiment une époque folle où tout est possible : même « prétendre appartenir à une autre espèce que l’humaine », car telle est la définition résumée de la « dysphorie d’espèce ». Un phénomène, celui des « étudiants qui prennent la personnalité de créatures animales dont des renards, des dragons, des oiseaux, des serpents, des requins et même des dinosaures », qui ne cesserait, dit-on, de prendre de l’ampleur.

    Le Daily Mail, la source de l’information, explique avoir choisi de ne pas nommer l’école pour protéger l’identité de l’élève, mais fait référence à des « documents officiels » avec lesquels l’école a reconnu la capacité du garçon à s’identifier comme un animal.

    Le garçon fait partie d’un groupe qui se fait appeler « Furries » (animaux à fourrure)

    L’article explique seulement que ses professeurs lui ont proposé leur soutien ainsi que l’assistance d’un professeur de soutien, mais ne fournit pas d’autres éléments, si ce n’est que le garçon, selon des autorités locales non précisées, fait partie d’un groupe qui se fait appeler « Furries » (animaux à fourrure) : des jeunes qui s’habillent avec des costumes d’animaux à fourrure inspirés d’une bande dessinée de science-fiction des années 80.

    L’école en question a décidé, dans ce cas, d’appliquer au-delà de toute croyance les directives du gouvernement écossais appelées GIRFEC (Getting it right for each child) qui, en substance, visent à soutenir les élèves quels que soient les obstacles à l’apprentissage ou les défis auxquels ils sont confrontés. La « roue du bien-être » fait également partie de ce programme, un schéma qui vise à aider les enfants à « surmonter les inégalités » et à garantir qu’ils soient écoutés dans « les décisions qui affectent leur vie, avec un soutien adéquat lorsque cela est jugé approprié ».

    Mais il n’existe pas de condition scientifique comme la dysphorie d’espèce

    Mais ce qui est fou, c’est que tout cela n’a rien à voir avec la diversité, la non-discrimination et l’égalité, tout simplement parce que, comme l’explique le neuropsychologue clinicien Tommy MacKay dans les colonnes du Daily Mail, « il n’existe pas de condition scientifique comme la dysphorie d’espèce ». Cette situation serait plutôt le résultat, selon le spécialiste, de la malheureuse période historico-sociale que nous traversons : « Il n’est pas surprenant », poursuit-il dans son entretien avec le Mail, « que cela se produise à une époque où beaucoup de gens veulent s’identifier à quelque chose de différent de ce qu’ils sont ».

    Ce qui est cependant surprenant pour le neuropsychologue, c’est que l’école, mais également les parents, soutiennent l’enfant dans sa conviction qu’il est un animal à tous égards :

    « Nous avons maintenant un conseil scolaire qui semble accepter sans problème le fait qu’un enfant s’identifie comme un loup au lieu de lui dire de s’en sortir et de prendre conscience de lui-même, ce qui serait une démarche de bon sens ».

    On n’ose donc pas imaginer comment l’école le laisse vivre sa condition de « loup » (au lieu de lever la main pour poser des questions, on lui permettra de hurler ou à l’heure du goûter d’aller chasser dehors ou de prendre une belle bouchée vigoureuse de ses compagnons ?).

    Les lignes directrices du système éducatif écossais sont excessivement ‘inclusives’ à l’égard des ‘bizarreries’ des jeunes générations

    Les lignes directrices du système éducatif écossais sont excessivement ‘inclusives’ à l’égard des ‘bizarreries’ des jeunes générations. Ainsi, apprend-on, sans même trop de surprise, que le petit loup n’est pas le seul enfant des écoles britanniques à s’identifier à un animal, la tendance est tellement répandue qu’il a fallu inventer un néologisme « furry child » (enfant à fourrure) où « fourrure » signifie « créatures doté de poils ». Et parmi les choix les plus populaires figurent le chat et le dinosaure.

    Christopher McGovern, président de Campaign for Real Education, une association qui prône un retour à l’éducation traditionnelle, interrogé par le Daily Mail, commente ainsi cette nouvelle folie woke :

    « justifier un mauvais comportement avec une terminologie pseudo-médicale fait fureur parmi les éducateurs du Royaume-Uni. Cela fait partie de la culture woke, du politiquement correct, de l’industrie de la victimisation qui affecte actuellement les écoles ».

    On assiste à une dérive anthropologique qui semble, dans son délire de toute-puissance conduire au contraire à la destruction de l’homme dans son essence même

    « Certains diktats basés sur la dictature des désirs risque d’aboutir véritablement à l’absurde, conclut un quotidien italien, Il Timone. Dans la recherche désespérée de l’exaltation de soi, sans la frontière saine de la limite, la conscience de soi perd le sens d’elle-même, se dissolvant en mille formes, dont la limite n’est plus les données biologiques soutenues par l’utilisation correcte de la raison, ce ne sera – hélas – que du fantasme. Dans ce cas comme dans bien d’autres, on assiste à une dérive anthropologique imparable qui semble, dans son délire de toute-puissance (pour la série “ainsi il en est si je le pense”, paraphrasant Pirandello), conduire au contraire à la destruction de l’homme dans son essence même. »

    Le lobby Lgbtqi+ est à l’origine de ces diktats basés sur la dictature des désirs, ou culture du choix. Si un homme peut être un femme et vice-versa, ou tout autre chose de son choix, pourquoi ne pourrait-il pas être un animal, un objet ?  L’absurde est dans les prémisses arc-en-ciel.

    Mais il y a encore un peu d’espoir, tant qu’il existe des personnes capables de crier :

    « Le roi est nu ! »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Il vaut mieux écraser un policier qu’un loup

    Publié par Guy de Laferrière le 30 novembre 2023

    Il vaut mieux écraser un policier qu’un loup

    Dans notre pauvre pays, où la justice trouve toutes les excuses aux voyous et autres assassins, mieux vaut tenter d’écraser un flic que de rater un loup avec sa voiture (l’animal n’a pas été touché).

    « Un jeune » désœuvré en rupture de lien social et scolaire et (blabla gauchiste) percute et traine un policier avec une voiture volée après un refus d’obtempérer = condamnation à 35 heures de rien du tout

    Un conducteur savoyard tente d’écraser un loup, lui prétend n’avoir voulu que le filmer et avoir fait un écart à cause de son téléphone, il est condamné à 8 000 € d’amende et à un stage de redressement mental :

     Alors qu’il se rendait à son travail à Giez (Haute-Savoie), en mars 2023, un automobiliste de 41 ans a tenté de tuer un loup tout en se filmant. L’homme, inconnu de la justice, a été convoqué devant le tribunal d’Annecy lundi 2 octobre 2023, indique France 3 Auvergne-Rhône-Alpes . Il a été condamné à verser 8 000 € de dommages et intérêts aux quatre associations qui s’étaient constituées partie civile dont la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) et One Voice, précise l’AFP. Il devra aussi suivre un stage de citoyenneté.

     

    Source : lesalonbeige

  • Les migrants et le viol

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2019

    Anne Lauwaert

    Ecrivain belge
    Article publié le 14.08.2019

    Auteurs, lecteurs, commentateurs, vous m’énervez!

    Le gouvernement introduit des loups. Les loups ont faim et mangent les moutons. C’est comme ça, c’est la nature, depuis que les loups existent. Si vous ne voulez pas que les loups mangent vos moutons, il ne suffit pas de les exterminer comme l’ont fait nos aïeux, il faut éliminer les gouvernements qui introduisent les loups. Cela signifie voter contre les partisans des loups.

    Le gouvernement impose des migrants. Ces migrants sont en majorité des mâles qui, pour la première fois de leur vie, bénéficient d’hygiène, alimentation correcte et soins, ce sont des mâles en bonne santé.

    « Faire du sexe » : traduction de l’expression italienne “fare sesso” qui n’existe pas en français et qui n’est pas l’équivalent de “faire l’amour” car cela n’a rien à voir avec l’amour, il s’agit uniquement d’un besoin physiologique.

    Faire du sexe est un besoin physiologique naturel comme boire, uriner, manger, déféquer, dormir, etc.

    Quand les femelles atteignent leur maturité sexuelle elles vont en chaleur et émettent des odeurs, les phéromones, pour attirer les mâles. Les mâles excités par ces phéromones vont en rut et veulent féconder les femelles.

    Vous ne pouvez pas chauffer une cocotte minute et lui interdire d’exploser.

    C’est comme ça chez tous les mammifères.

    Dans notre civilisation nous avons appris à gérer nos pulsions.

    Dans les autres civilisations c’est différent.

    Mettez en contact une de nos femelles en chaleur qui émet des phéromones pour attirer les mâles et un migrant qui, à cause de ces phéromones est en rut… eh bien le male en rut veut féconder la femelle en chaleur.

    C’est comme ça, c’est la nature.

    Si nos femelles n’en veulent pas, car c’est la femelle qui choisit son mâle, alors cela devient un acte de violence qu’on appelle viol.

    Si vous ne voulez pas de viols il faut ou bien supprimer les femelles en chaleur et leurs phéromones ou bien les mâles qui sont rendus en rut pas ces phéromones.

    Non, ça n’a rien de romantique, c’est la nature, c’est bestial et c’est comme ça.

    Dans notre civilisation nous avons essayé de discipliner nos pulsions.

    (N.B. c’est le même principe avec les « prédateurs sexuels »)

    Nos gouvernement nous imposent des civilisations étrangères qui n’ont pas nos paramètres et voilà le résultat.

    Il est inutile de se lamenter, recenser, dénoncer les conséquences, il faut éliminer les causes.

    Si vous ne voulez pas de loups qui mangent vos moutons, ni de migrants qui violent vos femmes, agissez contre les gouvernements qui vous les imposent.

    Si vous ne savez pas comment faire allez voir comment font les Polonais, Hongrois, Tchèques ou Slovaques.

     

    Source : lesobservateurs