Publié par Guy de Laferrière le 29 octobre 2024
Laurent Gerra a jeté le bon pavé dans la mare de Léa Salamé (qui fait mine d e se boucher les oreilles devant l'horreur qu'elle entend !!!), Zhao de Sagazan et Compagnie !...
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Publié par Guy de Laferrière le 29 octobre 2024
Laurent Gerra a jeté le bon pavé dans la mare de Léa Salamé (qui fait mine d e se boucher les oreilles devant l'horreur qu'elle entend !!!), Zhao de Sagazan et Compagnie !...
Publié par Guy de Laferrière le 27 octobre 2024
Un lecteur de Clamart (92) nous signale cette pétition dénonçant le soutien de la municipalité à une version wokiste et LGBT du “Lac des Cygnes”:
La mairie de Clamart fait la promotion du spectacle “Le Lac des Cygnes” dans toute la ville. Elle fait venir des familles innocentes à un spectacle de propagande LGBT de Florence Caillon en leur faisant croire qu’il s’agit d’un ballet tout à fait classique.
En effet, l’affiche, qui attire particulièrement les familles et notamment les petites filles, représente une danseuse en tutu, la tête renversée.Mais en regardant de plus près et avec beaucoup d’attention, nous découvrons qu’il s’agit en réalité d’un homme barbu déguisé en danseuse.
Si nous analysons la conception de l’affiche (photo, date, texte de présentation), nous remarquons que celle-ci use d’une diversité de techniques pour tromper le spectateur.
D’abord la date : Le spectacle arrive au même moment que le démarrage des festivités de Noël, le 1er décembre, période à laquelle les petites et jeunes filles vont voir en famille un beau ballet de danse classique.
Ensuite, la structure de la photo de l’affiche : Réalisée en noir et blanc, un travail sur les jeux de clair-obscur met en valeur l’élément central : la blancheur et la beauté du tutu. La position du personnage semble étrange : tête renversée en arrière, son visage est dans l’obscurité.
Enfin, le texte de présentation : le ballet s’intitule bien “Le lac des cygnes”. Cela est écrit en gros. La mention “inspiré de” peut laisser penser à une version raccourcie comme il en est tant pour les enfants.
L’intention de tromper les spectateurs et essentiellement les familles est donc sans équivoque. L’intégralité de cette opération peut être tout simplement qualifiée de manœuvre dolosive à fins commerciales et surtout de lobbying de l’idéologie woke.
La complicité de la mairie en période de crise financière est tout simplement choquante: le prix de la place étant de 25 euros, une famille avec deux enfants va donc dépenser 100 euros pour se voir infliger un spectacle auquel elle n’aurait jamais pris part si elle avait été informée de la teneur réelle de ce dernier.
Nous sommes donc fortement inquiets de ce que les familles, en réservant leurs places, n’aient pas été pas pleinement conscientes de ce qu’elles allaient voir. Ces pratiques peu honnêtes les menant nécessairement à une expérience plus que désagréable pour elles et leurs enfants.
Nous demandons donc :
Le retrait immédiat de l’affiche – ou la modification de cette dernière de sorte à ne pas tromper le client et qu’il soit bien clair que les spectateurs vont voir un spectacle LGBT
Le rappel systématique par téléphone et par email de toute personne ayant réservé des billets pour l’informer clairement de la nature réelle du spectacle
La possibilité d’être remboursé sans frais en cas de désistement.
Vous pouvez signer la pétition ici:
Source : lesalonbeige
Publié par Guy de Laferrière le 25 septembre 2024
Un élève d’un lycée écossais aurait obtenu de ses professeurs l’autorisation de s’identifier officiellement comme loup au nom d’une « dysphorie d’espèce ». Le wokisme fait des ravages dans les esprits malléables des enfants.
« L’école écossaise permet à un garçon de s’identifier comme un loup » écrit le quotidien britannique, le Daily Mail, qui révèle sur son site Internet sous le titre Howling mad, littéralement « hurlement fou », cette nouvelle folie autorisée au nom du wokisme. Le tabloïd anglais condamne la « culture woke qui affecte les écoles ».
Folle époque où tout est possible : même « prétendre appartenir à une autre espèce que l’humaine »
Cet élève d’un lycée écossais non précisé aurait obtenu de ses professeurs l’autorisation de s’identifier officiellement comme loup au nom d’une « dysphorie d’espèce ».
Notre Temps post-moderne où domine la culture du choix est vraiment une époque folle où tout est possible : même « prétendre appartenir à une autre espèce que l’humaine », car telle est la définition résumée de la « dysphorie d’espèce ». Un phénomène, celui des « étudiants qui prennent la personnalité de créatures animales dont des renards, des dragons, des oiseaux, des serpents, des requins et même des dinosaures », qui ne cesserait, dit-on, de prendre de l’ampleur.
Le Daily Mail, la source de l’information, explique avoir choisi de ne pas nommer l’école pour protéger l’identité de l’élève, mais fait référence à des « documents officiels » avec lesquels l’école a reconnu la capacité du garçon à s’identifier comme un animal.
Le garçon fait partie d’un groupe qui se fait appeler « Furries » (animaux à fourrure)
L’article explique seulement que ses professeurs lui ont proposé leur soutien ainsi que l’assistance d’un professeur de soutien, mais ne fournit pas d’autres éléments, si ce n’est que le garçon, selon des autorités locales non précisées, fait partie d’un groupe qui se fait appeler « Furries » (animaux à fourrure) : des jeunes qui s’habillent avec des costumes d’animaux à fourrure inspirés d’une bande dessinée de science-fiction des années 80.
L’école en question a décidé, dans ce cas, d’appliquer au-delà de toute croyance les directives du gouvernement écossais appelées GIRFEC (Getting it right for each child) qui, en substance, visent à soutenir les élèves quels que soient les obstacles à l’apprentissage ou les défis auxquels ils sont confrontés. La « roue du bien-être » fait également partie de ce programme, un schéma qui vise à aider les enfants à « surmonter les inégalités » et à garantir qu’ils soient écoutés dans « les décisions qui affectent leur vie, avec un soutien adéquat lorsque cela est jugé approprié ».
Mais il n’existe pas de condition scientifique comme la dysphorie d’espèce
Mais ce qui est fou, c’est que tout cela n’a rien à voir avec la diversité, la non-discrimination et l’égalité, tout simplement parce que, comme l’explique le neuropsychologue clinicien Tommy MacKay dans les colonnes du Daily Mail, « il n’existe pas de condition scientifique comme la dysphorie d’espèce ». Cette situation serait plutôt le résultat, selon le spécialiste, de la malheureuse période historico-sociale que nous traversons : « Il n’est pas surprenant », poursuit-il dans son entretien avec le Mail, « que cela se produise à une époque où beaucoup de gens veulent s’identifier à quelque chose de différent de ce qu’ils sont ».
Ce qui est cependant surprenant pour le neuropsychologue, c’est que l’école, mais également les parents, soutiennent l’enfant dans sa conviction qu’il est un animal à tous égards :
« Nous avons maintenant un conseil scolaire qui semble accepter sans problème le fait qu’un enfant s’identifie comme un loup au lieu de lui dire de s’en sortir et de prendre conscience de lui-même, ce qui serait une démarche de bon sens ».
On n’ose donc pas imaginer comment l’école le laisse vivre sa condition de « loup » (au lieu de lever la main pour poser des questions, on lui permettra de hurler ou à l’heure du goûter d’aller chasser dehors ou de prendre une belle bouchée vigoureuse de ses compagnons ?).
Les lignes directrices du système éducatif écossais sont excessivement ‘inclusives’ à l’égard des ‘bizarreries’ des jeunes générations
Les lignes directrices du système éducatif écossais sont excessivement ‘inclusives’ à l’égard des ‘bizarreries’ des jeunes générations. Ainsi, apprend-on, sans même trop de surprise, que le petit loup n’est pas le seul enfant des écoles britanniques à s’identifier à un animal, la tendance est tellement répandue qu’il a fallu inventer un néologisme « furry child » (enfant à fourrure) où « fourrure » signifie « créatures doté de poils ». Et parmi les choix les plus populaires figurent le chat et le dinosaure.
Christopher McGovern, président de Campaign for Real Education, une association qui prône un retour à l’éducation traditionnelle, interrogé par le Daily Mail, commente ainsi cette nouvelle folie woke :
« justifier un mauvais comportement avec une terminologie pseudo-médicale fait fureur parmi les éducateurs du Royaume-Uni. Cela fait partie de la culture woke, du politiquement correct, de l’industrie de la victimisation qui affecte actuellement les écoles ».
On assiste à une dérive anthropologique qui semble, dans son délire de toute-puissance conduire au contraire à la destruction de l’homme dans son essence même
« Certains diktats basés sur la dictature des désirs risque d’aboutir véritablement à l’absurde, conclut un quotidien italien, Il Timone. Dans la recherche désespérée de l’exaltation de soi, sans la frontière saine de la limite, la conscience de soi perd le sens d’elle-même, se dissolvant en mille formes, dont la limite n’est plus les données biologiques soutenues par l’utilisation correcte de la raison, ce ne sera – hélas – que du fantasme. Dans ce cas comme dans bien d’autres, on assiste à une dérive anthropologique imparable qui semble, dans son délire de toute-puissance (pour la série “ainsi il en est si je le pense”, paraphrasant Pirandello), conduire au contraire à la destruction de l’homme dans son essence même. »
Le lobby Lgbtqi+ est à l’origine de ces diktats basés sur la dictature des désirs, ou culture du choix. Si un homme peut être un femme et vice-versa, ou tout autre chose de son choix, pourquoi ne pourrait-il pas être un animal, un objet ? L’absurde est dans les prémisses arc-en-ciel.
Mais il y a encore un peu d’espoir, tant qu’il existe des personnes capables de crier :
« Le roi est nu ! »
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2024
Si 43 ans après sa mort, Bob Marley véhicule toujours un message de paix et de tolérance, le mouvement religieux, politique et culturel dont il se revendiquait affiche un visage bien plus obscure.
Il véhicule toujours, comme ses chansons, l’image d’un chantre de la paix et de la tolérance. Pourtant, il y aurait à redire. Et on s’étonne qu’en 2024, il échappe toujours aux foudres des wokistes, adeptes de la cancel culture et autres pourfendeurs du patriarcat. Explication.“Bob Marley : One Love”, le biopic qui fait plouf
Bob Marley se revendiquait haut et fort du rastafarisme, mouvement religieux inspiré de l’Ancien Testament, mais aussi politique et culturel. Pour les adeptes, Jah, autrement dit Dieu, les a mis à l’épreuve par le biais de l’esclavage, de l’injustice économique et de l’oppression raciale. Ils attendent la délivrance et leur retour vers Sion, le nom symbolique de l’Afrique dans la tradition biblique.
Mais il a aussi un côté nettement plus sombre, pour ne pas dire obscure. Le rastafarisme est un mouvement misogyne. La société prônée est résolument patriarcale. Il n’y a pas de place pour l’égalité des sexes. L’homme est le chef, la femme est une citoyenne de seconde zone. Elle est même mise à l’isolement lorsqu’elle a ses règles. Elle est alors considérée comme impure.
Corollaire de tout cela : la polygamie fait partie des mœurs. Selon sa légende, Bob Marley a eu une quinzaine d’enfants de 7 femmes différentes. Seuls 10 ont été reconnus officiellement. Moustique, dans son numéro de la semaine, rappelle que dans une interview radio accordée aux États-Unis, Bob Marley considérait les femmes “comme des mères de la création” et qu’il se sentait “le droit de les avoir toutes”.
Il y a enfin la question de l’homosexualité. Le rastafarisme est un mouvement ouvertement homophobe. Si le roi du reggae n’a jamais abordé la question dans ses chansons, certains de ses disciples ne se privent pas. C’est le cas de Capleton, star du reggae, qui a vu nombre de ses concerts annulés en raison de ses propos. On pense aussi à un autre artiste jamaïcain, Sizzla, dont des chansons, qualifiées “d’outrancièrement homophobes”, ont conduit à des annulations de grands événements. Ça a été le cas du Garance Reggae Festival à Paris en 2005 ou, chez nous, d’un festival à Geel en 2016.
Publié par Guy de Laferrière le 02 mai 2023
Le politiquement correct ne cesse de produire de nouveaux variants. Covidisme, wokisme, giékisme occupent désormais le devant de la scène. Ils partagent une même logique.
D’abord par la mise en place de cascades d’opinions d’autant plus puissantes que l’intolérance et l’ostracisme rendent difficiles l’expression d’opinions dissidentes.
Ensuite par la dynamique propre aux idéologies bien décrite par Vilfredo Pareto : l’interaction entre les « dérivations » idéologiques (les nobles causes) et les « résidus » (d’intérêt). Avec le covidisme il s’agit de sauver l’humanité et d’épargner ses proches de la maladie pour le plus grand bien de… Big Pharma. Avec le wokisme, il faut réparer des injustices séculaires pour mieux permettre à de petits groupes minoritaires (ethniques, religieux, sexuels) de s’emparer des leviers de pouvoir. Avec le giékisme, l’ambition est plus grande encore : sauver la planète pour le plus grand bénéfice des installateurs d’éoliennes, des promoteurs de fermes solaires (sic), des fabricants de batteries électriques et des entreprises d’isolation thermique des bâtiments.
À New York, Washington, Paris et Bruxelles, ce sont désormais les lobbyistes qui font les lois, leurs lois plutôt. Avec l’appui des grands médias propriétés de milliardaires et des GAFA.
Alors que faire ? Rester éveillé ! Ici, c’est le cas de le dire. Garder l’esprit critique. Livrer une guérilla incessante du faible au fort. Dénoncer les covidistes comme les nouveaux Diafoirus ; les wokistes comme des néo-lyssenkistes ; et les giékistes comme des tchékistes d’un nouveau genre.
Et préparer la renverse.
Jean-Yves Le Gallou
01/05/2023
Source : Éléments
Photo : La femme politique Sandrine Rousseau, symbole des nouvelles pestes idéologiques.