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homophobie

  • Homophobie, misogynie, polygamie : “on s’étonne qu’en 2024, Bob Marley échappe toujours aux foudres des wokistes, adeptes de la cancel culture et autres pourfendeurs du patriarcat”

    Publié par Guy de Laferrière le 16 février 2024

    Homophobie, misogynie, polygamie : la face obscure du rastafarisme

    Si 43 ans après sa mort, Bob Marley véhicule toujours un message de paix et de tolérance, le mouvement religieux, politique et culturel dont il se revendiquait affiche un visage bien plus obscure.

    Il véhicule toujours, comme ses chansons, l’image d’un chantre de la paix et de la tolérance. Pourtant, il y aurait à redire. Et on s’étonne qu’en 2024, il échappe toujours aux foudres des wokistes, adeptes de la cancel culture et autres pourfendeurs du patriarcat. Explication.“Bob Marley : One Love”, le biopic qui fait plouf

    Bob Marley se revendiquait haut et fort du rastafarisme, mouvement religieux inspiré de l’Ancien Testament, mais aussi politique et culturel. Pour les adeptes, Jah, autrement dit Dieu, les a mis à l’épreuve par le biais de l’esclavage, de l’injustice économique et de l’oppression raciale. Ils attendent la délivrance et leur retour vers Sion, le nom symbolique de l’Afrique dans la tradition biblique.

    Les femmes, citoyennes de seconde zone pour les rastafariens

    Mais il a aussi un côté nettement plus sombre, pour ne pas dire obscure. Le rastafarisme est un mouvement misogyne. La société prônée est résolument patriarcale. Il n’y a pas de place pour l’égalité des sexes. L’homme est le chef, la femme est une citoyenne de seconde zone. Elle est même mise à l’isolement lorsqu’elle a ses règles. Elle est alors considérée comme impure.

    Corollaire de tout cela : la polygamie fait partie des mœurs. Selon sa légende, Bob Marley a eu une quinzaine d’enfants de 7 femmes différentes. Seuls 10 ont été reconnus officiellement. Moustique, dans son numéro de la semaine, rappelle que dans une interview radio accordée aux États-Unis, Bob Marley considérait les femmes “comme des mères de la création” et qu’il se sentait “le droit de les avoir toutes”.

    Un mouvement ouvertement homophobe

    Il y a enfin la question de l’homosexualité. Le rastafarisme est un mouvement ouvertement homophobe. Si le roi du reggae n’a jamais abordé la question dans ses chansons, certains de ses disciples ne se privent pas. C’est le cas de Capleton, star du reggae, qui a vu nombre de ses concerts annulés en raison de ses propos. On pense aussi à un autre artiste jamaïcain, Sizzla, dont des chansons, qualifiées “d’outrancièrement homophobes”, ont conduit à des annulations de grands événements. Ça a été le cas du Garance Reggae Festival à Paris en 2005 ou, chez nous, d’un festival à Geel en 2016.

     

    www.dhnet.be via fdesouche

  • Encore un plan de lutte

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    Encore un plan de lutte

    Elisabeth Borne présentera le 30 janvier un plan de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations. Il n’est pas certain que la christianophobie soit prise en compte…

    Profitant ignoblement du suicide du jeune Lucas, 13 ans, dont les parents affirment qu’il était harcelé en raison de son homosexualité, Elisabeth Borne a indiqué qu’elle “présenterait la semaine prochaine un plan de lutte contre les discriminations” :

    “Le combat pour l’égalité des chances, c’est briser les inégalités de destins, (…) c’est la lutte contre les violences sexistes et sexuelles, c’est la lutte contre les discriminations”.

    Ce plan fait suite à celui de mars 2018 présenté par Edouard Philippe, qui mettait notamment l’accent sur la lutte contre les contenus haineux en ligne.

    Elisabeth Borne juge que le sexisme perdure en France, notamment avec des “réflexes masculinistes” (sic) chez les jeunes hommes. Un rapport du Haut conseil à l’égalité

    “renvoie à plusieurs sujets, notamment à la vision de la sexualité chez les jeunes. Et je pense que l’énergie que le ministre de l’Education nationale met à repenser l’éducation sexuelle est la bienvenue dans ce contexte”. “Ensuite il y a certainement encore à agir (…) pour avoir moins de stéréotypes de genre, y compris dans l’orientation”.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’État britannique veut demander aux enfants d’espionner leurs parents et de les dénoncer en cas d’islamophobie, homophobie ou transphobie

    Publié par Guy Jovelin le 08 février 2021

     

    Le Premier ministre britannique Boris Johnson voudrait faire passer une loi permettant de recruter des enfants pour espionner leurs parents – ce que le rédacteur en chef de Spiked Online, Brendan O'Neill, qualifie de "tout à fait orwellien".

    Le projet de loi sur les agents secrets (Covert Human Intelligence Source bill) est actuellement en débat au Parlement britannique. Il repassera devant la Chambre des Communes après que la Chambre des Lords ait ajouté un amendement visant à réduire l'utilisation d'enfants comme espions.

    Boris Johnson a soulevé un tollé dans son propre parti avec ce projet de loi.

    Brendan O'Neill, rédacteur en chef de Spiked Online,  trouve le projet "assez choquant" et "vraiment, vraiment délicat".

    "Tout le monde accepte la nécessité d'agents secrets, nous avons besoin d'espions pour démanteler les groupes terroristes. Mais recruter des enfants pour surveiller et espionner leur famille, il y a là quelque chose de tout à fait orwellien."

    "Ce que nous avons maintenant, c’est que la droite et la gauche, chacune à sa manière, veulent toutes deux que les enfants espionnent leur propre famille."

    Vidéo en anglais 7:38 (traduction automatique disponible) :

     

    Source : lesobservateurs