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variole du singe

  • Après le covid, voilà la variole du singe, la nouvelle peur sanitaire

    Publié par Guy de Laferrière le 21 août 2024

    La variole du singe, après le Covid, c’est un autre virus, et une nouvelle peur sanitaire, qui prouvera notre « infantilisme irrécupérable ».

    Nous y sommes, c’est maintenant le tour de la variole du singe. Déjà vers la fin de la malheureuse « ère Covid », on en parlait, maintenant la question revient sur le devant de la scène, même si nous ne l’espérons pas.

    Variole du singe, premières alarmes du « nouveau Covid »

    Ton sarcastique et critiques utiles, le journaliste italien Stelio Fergola a pondu un article qui vaut la lecture. L’infantilisme d’une génération d’adultes dont l’intelligence n’est plus en péril de mort mais bel et bien morte y est décortiqué avec une pointe de sévérité et de tristesse :

    « Il y a « jusqu’à » 1 157 infections par la variole du singe. Et « enfin » deux morts. Ce qui génère évidemment des « alarmes » dans le monde tordu du 21e siècle, dans lequel nous ne comprenons même pas ce que signifie combattre et où une pandémie ou une présumée telle qui a touché de très faibles pourcentages de la population mondiale est appelée « guerre ». Évidemment, la « pandémie » était celle du Covid, mais maintenant nous devons nous concentrer sur la variole, car ces deux décès (et ceux qui surviendront dans le futur) seront ou pourraient être un prétexte pour ne même pas échanger le signe de paix dans l’Église, peut-être encore par une partie de ceux qui croient au corps du Christ, à la vie éternelle après la mort, à l’avènement de Notre-Seigneur il y a plus de deux mille ans. Ou du moins, qui dit y croire. De toute évidence, les catholiques et les chrétiens en général ne sont qu’une partie du cirque sans fin qui pourrait se dérouler. Un cirque contre la grâce, qu’elle soit de Dieu ou non, contre l’être humain et son essence même. Cela n’arrive pas forcément, évidemment, mais on ne peut s’empêcher de s’alarmer d’avance. Dans l’attente d’observer des données plus cohérentes qui ne nous racontent pas une énième fois la prétention folle et enfantine de cette société de ne jamais mourir. Pas rarement, ni sporadiquement, mais absolument jamais. Zéro contagion ni mort, mais faire semblant d’être vivant. Et qui sait si ce ne sera pas encore ainsi.

    Une société d’enfants attachés à l’immortalité terrestre

    « Le mot « terrestre » pourrait engendrer les malentendus habituels qu’il convient d’éclaircir immédiatement. Ce n’est pas une question religieuse : il y a ceux qui croient en Dieu et ceux qui n’y croient pas. C’est une banalité, mais il faut le souligner car nous vivons à une époque où des questions évidentes sont discutées en détail comme s’il s’agissait de traités de physique thermonucléaire. Après tout, nous vivons une époque où même les organes sexuels élémentaires deviennent l’objet de débats embarrassants et paradoxaux. D’où le recours évident aux « moyens évidents » pour poursuivre notre discussion.

    « Nous vivons dans un monde, dans une société où les hommes ne réalisent pas qu’ils sont mortels. Au moins consciemment, il est évident qu’ils ne peuvent pas répondre autrement à une question « directe ». Un univers paradoxal d’enfants éternels – élément que j’ai souligné à plusieurs reprises par le passé – encore incapables de devenir des hommes au-delà de quarante ans. Quelqu’un, comme Emanuele Ricucci dans son texte du même nom Revenons aux hommes, l’a souligné de manière détaillée. Le soussigné a beaucoup apprécié la définition de « l’infantilisme » dans diverses déclinaisons – dont celle idéologique – mais force est de constater qu’il s’agit ici de la vie quotidienne. D’être humain, mais aussi mature. Et la maturité – la bonne – consiste à comprendre que nous périssons et qu’il ne sert à rien de frapper du pied. Nous nous incinérons et disparaissons, pour diverses raisons. À cause d’une vieillesse très naturelle, à cause d’un accident, à cause d’une maladie mortelle.

    « Nous ne savons pas si la variole du singe suivra le chemin très triste et douloureux de cet exemple de misère qu’on appelle « Covid ». Nous ne savons pas si des illusions comparables suivront. Cependant, nous sommes certains des prémisses, c’est-à-dire des prémisses débilitantes des communautés modernes mentionnées ci-dessus, parmi lesquelles malheureusement aussi la communauté italienne. Les mêmes qui, pour un peu plus d’un millier de personnes infectées et deux – au nombre de deux – décès, pourraient nous conduire à une énième poursuite inutile de la « maladie zéro », au mépris du sacro-saint droit à la vie (la vraie, certainement pas cette caricature bon marché) et à tous les risques – même minimes – que cela comporte. Les mêmes dans lesquelles même les « croyants » (strictement entre guillemets et parlant oui, dans ce cas, d’un groupe de personnes qui devraient croire en Dieu) ont refusé pendant deux ans d’utiliser le bénitier dans l’église pour ne pas alimenter la contagion. Quelque chose qui doit faire se retourner Jésus-Christ dans les cieux d’une manière qui n’est pas sans rappeler celle avec laquelle Il observe les misères d’un pauvre pécheur comme moi. »

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Variole du singe

    Publié par Guy de Laferrière le 16 août 2024

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  • Variole du singe (Mpox), le retour chez des homosexuels majoritairement vaccinés

    Publié par Guy de Laferrière le 03 avril 2023

    Auteur : 

    Variole du singe (Mpox), le retour chez des homosexuels majoritairement vaccinés
    Variole du singe (Mpox), le retour chez des homosexuels majoritairement vaccinés

    Un site réservé aux sujets médicaux affirme que depuis le 1er mars, quatorze cas de variole du singe ont été recensés en Centre-Val de Loire. En tout, dans cette région, entre le 1er janvier et le 23 mars 2023, dix-sept personnes atteintes de cette maladie ont été enregistrées, ce qui en fait un cluster, selon Santé Publique France. La totalité des personnes malades sont des homosexuels, âgés de 24 à 56 ans.

    Majoritairement vaccinés contre la variole du singe

    La variole du singe, désormais appelée Mpox, est un virus qui se transmet à l’Homme à partir d’animaux ou d’autres humains. Ces derniers sont contagieux dès l’apparition des premiers symptômes et la période d’incubation va de sept à quatorze jours.

    “Dans la plupart des cas, les symptômes de la variole du singe disparaissent spontanément au bout de quelques semaines, peut-on lire sur le site de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Cependant, chez certaines personnes, l’infection peut entraîner des complications médicales et même la mort.”

    “Actuellement, la vaccination est recommandée pour les personnes ayant été en contact avec une personne infectée, mais aussi, de manière préventive, chez les personnes les plus exposées au virus. Il s’agit des HSH et ayant des partenaires sexuels multiples, des personnes trans ayant des partenaires sexuels multiples, des travailleurs du sexe, etc.”, peut-on lire.

    Dans le cluster recensé en Centre-Val de Loire, sur les dix-sept hommes infectés, dix avaient un schéma complet de vaccination (deux doses), six n’étaient pas vaccinés et une personne avait un schéma de vaccination incomplet.

    “Compte tenu de la proportion élevée (59 %) de vaccinés dans ce cluster, des investigations ont été réalisées par Santé publique France et le Centre régional de pharmacovigilance de Tours, explique Santé Publique France. La proportion de cas vaccinés est plus élevée que ce qui est observé au niveau national (25 % des cas masculins de mpox déclarés entre octobre et février 2023 en France concernaient des hommes vaccinés).”

     

    Source : medias-presse.info

  • Stratégie de la peur : l’OMS revient avec le spectre de la variole du singe

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    En ce début de janvier 2023, plusieurs médias allemands font état des messages alarmistes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) concernant la variole du singe. L’OMS parle  d’un « faux calme ». L’OMS en profite pour déplorer le peu d’entrain de l’Afrique à utiliser les « vaccins » de l’industrie pharmaceutique.  Et de prétendre que cela pourrait être une menace pour le monde entier: « Nous pourrions avoir une variante du virus dans trois ans, c’est un risque réel », déclare Rosamund Lewis, experte de l’OMS en variole du singe. Cependant, la scientifique ne fournit aucune preuve de ce pronostic.

    Début janvier 2023, l’OMS avait enregistré près de 84 000 cas confirmés et 75 décès dans le monde. Le nombre de nouvelles infections signalées chaque semaine a chuté de 90% depuis juillet 2022.

    La « situation d’urgence de portée internationale » s’applique toujours
    Le 23 juillet 2022, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, avait déclaré que la flambée de variole du singe était une « urgence de portée internationale ». Ce statut existe toujours. La classification n’a pas de conséquences pratiques directes. Il est destiné à sensibiliser les médecins à prendre des mesures de protection dans les cas suspects et à éduquer la population. Les mesures possibles sont décidées par les gouvernements des pays respectifs.

    Nouveau nom pour la maladie
    L’OMS a changé le nom international à la fin du mois de novembre 2022. Ainsi, il ne faudra plus parler de « Monkeypox » mais de « Mpox ». Ceci est rapporté, entre autres, par le « Zeit ». En conséquence, les deux noms existent côte à côte pendant une autre année avant que seul le nouveau nom ne s’applique. Selon les nouvelles exigences de l’OMS, il faut éviter les références à des pays, des régions ou des animaux spécifiques.

     

    Source : medias-presse.info

  • Variole du singe : faudrait-il enfermer les gays ?

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022

    Variole du singe : faudrait-il enfermer les gays ?

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    Comme pour le SIDA, la variole du singe touche surtout les personnes homosexuelles. En effet, en dépit du silence des médias qui, par soumission au politiquement correct LGBT, traînent les pieds pour donner cette information, il semble bel et bien que la variole du singe se répande surtout dans la communauté gay.

    Or, sachant que, pendant la pandémie imaginaire du covid, des populations entières ont été par «précaution» placées de force en quarantaine (pensons à ces familles bloquées dans les hôtels à l’étranger ou encore aux innombrables personnes âgées condamnées à une mort atroce dans la solitude des hôpitaux sans avoir le droit de voir leurs enfants), il serait logique de proposer la création de camps d’internement pour homosexuels (pendant la durée de la pandémie) afin de limiter les risques de contamination (cette fois bien réelle) aux autres couches de la population.
    Notons, en passant, que je ne fais d’ailleurs que reprendre ici l’idée de Caroline Fourest qui voulait rendre les non vaccinés (qu’elle avait identifiés comme trop cathos et trop à droite…) responsables de la « pandémie » et qui avait même suggéré qu’il faudrait les enfermer de force (rappelons-nous sa phrase dans Marianne « Notre patience à des limites »).

    Et bien nous aussi, Madame Fourest, «Notre patience à des limites» et nous aussi nous ne voulons pas que les homosexuels contaminent nos enfants. Puisque le système a enfermé sans pitié nos parents et grands-parents dans les hôpitaux (pour une fausse pandémie), qu’il enferme maintenant aussi les gays (et cette fois pour une vraie maladie, car, contrairement au covid, la variole du singe existe!).

     

    Source : lesalonbeige