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oms

  • L’OMS veut un nouveau vaccin ARN contre la grippe aviaire humaine

    Publié par Guy de Laferrière le 28 août 2024

    L'OMS promeut un nouveau vaccin ARN

    Cet été, assez discrètement, l’OMS et le Medicines Patent Pool (MPP) ont annoncé le lancement d’une nouvelle initiative destinée à accélérer la mise au point d’un vaccin à ARNm contre la grippe aviaire humaine (H5N1).

    Le fabricant argentin Sinergium Biotech dirigera cette opération en s’appuyant sur le Programme de transfert de technologie ARNm de l’OMS et du Medicines Patent Pool (MPP).

    Un projet qui date de juillet 2021

    Élaboré conjointement par l’OMS et le MPP, le Programme de transfert de technologie ARNm avait déjà été mis sur pied en juillet 2021 avec pour objectif officiel de “renforcer les capacités des pays à revenu faible et intermédiaire en matière de développement et de production de vaccins à base d’ARNm”.

    La “prochaine” plandémie

    Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS, a déclaré :

    « Cette initiative illustre la raison d’être du Programme de transfert de technologies ARNm mis en place par l’OMS : favoriser la recherche, le développement et la production dans les pays à revenu faible et intermédiaire, pour que, lorsque la prochaine pandémie surviendra, l’ensemble du monde soit mieux préparé à riposter de manière efficace et équitable. »

    « Les virus de la grippe aviaire représentent un risque important pour la santé publique du fait de leur circulation généralisée chez les animaux et parce qu’ils sont de nature à provoquer une pandémie.»

    Alejandro Gil, PDG de Sinergium, abonde évidemment dans le même sens :

    « La volonté et la capacité renforcée de Sinergium d’appliquer ses compétences spécialisées au H5N1 joueront un rôle essentiel dans cet effort de préparation aux pandémies au niveau mondial. »

    Transfert de technologie à d’autres fabricants

    La plateforme a été créée et est en cours de validation au centre Afrigen, et cette technologie est actuellement transférée à des fabricants partenaires qui vont l’adapter et l’améliorer pour cibler « d’autres maladies de première importance ».

    Les “vaccins” ARNm au cœur de l’action de l’OMS

    « Les progrès réalisés dans le cadre du Programme de transfert de technologie ARNm sont au cœur de l’action menée par l’OMS et le MPP pour faire en sorte que les vaccins à ARNm soient plus largement disponibles, plus accessibles et davantage utilisés, aux fins d’une plus grande équité vaccinale à l’échelle mondiale », revendique fièrement l’OMS. Les très nombreuses victimes de graves effets secondaires des “vaccins” ARNm contre le Covid apprécieront, de même que les familles des victimes décédées.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Bill Gates veut plus de pouvoir pour l’OMS

    Publié par Guy de Laferrière le 06 avril 2023

    Bill Gates veut renforcer le pouvoir contraignant de l'OMS sur les Nations
    Bill Gates veut renforcer le pouvoir contraignant de l’OMS sur les Nations

    Le milliardaire Bill Gates appelle à un « service d’incendie mondial contre les pandémies » pour éviter de « commettre les mêmes erreurs » que celles commises en réponse au COVID-19, soutenant une Organisation mondiale de la santé ( OMS).

    Écrivant le 19 mars 2023 une tribune dans le New York Times, Bill Gates compare la gestion des urgences de santé publique à la lutte contre les incendies, ce qui nécessite une réponse rapide entièrement préparée non seulement pour arrêter le feu là où il se trouve, mais aussi pour l’empêcher de se propager à d’autres maisons. “Il en va de même pour les maladies infectieuses, à une échelle beaucoup plus grande”, dit-il.

    “Je suis optimiste quant à un réseau que l’OMS et ses partenaires sont en train de construire, appelé Global Health Emergency Corps“, écrit Gates. Pour être efficace, soutient-il, ce corps aura besoin de «capacités de test à grande échelle», de «surveillance environnementale comme les tests des eaux usées», d’un financement de plusieurs milliards de dollars et de «professionnels de chaque pays et région», reposant sur des « réseaux d’experts existants et dirigés par des personnes comme les chefs des agences nationales de santé publique et leurs responsables de la riposte aux épidémies».

    Tout ce qui précède “nécessitera deux choses : premièrement, les responsables de la santé publique de tous les pays doivent participer”, déclare Gates. «La prochaine ‌pandémie pourrait émerger n’importe où, et le Corps d’urgence doit donc disposer d’une expertise de tous les coins du monde, y compris des agences nationales de recherche et de lutte contre les maladies comme les Centers for Disease Control and Prevention et les National Institutes of Health aux États-Unis. Deuxièmement, nous avons besoin que les pays les plus riches interviennent et fournissent des financements pour en faire une réalité».

    Bill Gates prône une vision globale dans laquelle un pouvoir discrétionnaire important serait laissé à l’OMS, qui envisage actuellement un traité sur la pandémie qui lui donnerait le pouvoir de dicter les politiques de lutte contre la pandémie de ses 194 États membres, malgré la mauvaise gestion du COVID par l’OMS.

    Rappelons que la Fondation Bill & Melinda Gates est le deuxième contributeur financier de l’OMS, après le gouvernement fédéral américain. Selon Arte, aucune décision importante de l’OMS n’est prise sans le consentement de Bill Gates.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’OMS publie aujourd’hui une mise à jour des médicaments qui doivent être stockés pour les urgences radiologiques et nucléaires ainsi que ses conseils aux gouvernements pour les administrer

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis aujourd’hui à jour sa liste de médicaments qui doivent être stockés pour les urgences radiologiques et nucléaires, ainsi que des conseils politiques pour leur gestion appropriée. Ces stocks comprennent des médicaments qui préviennent ou réduisent l’exposition aux rayonnements, ou traitent les blessures une fois l’exposition survenue.

    “En cas d’urgence radiologique, les personnes peuvent être exposées à des doses allant de négligeables à potentiellement mortelles. Les gouvernements doivent mettre les traitements à la disposition de ceux qui en ont besoin – rapidement”, a déclaré le Dr Maria Neira, Sous-Directrice générale par intérim de l’OMS, Division des populations en meilleure santé. “Il est essentiel que les gouvernements soient prêts à protéger la santé des populations et à répondre immédiatement aux urgences.”

    Site officiel de l’OMS

    Le rapport de l’OMS (en anglais)

  • Stratégie de la peur : l’OMS revient avec le spectre de la variole du singe

    Publié par Guy de Laferrière le 13 janvier 2023

    En ce début de janvier 2023, plusieurs médias allemands font état des messages alarmistes de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) concernant la variole du singe. L’OMS parle  d’un « faux calme ». L’OMS en profite pour déplorer le peu d’entrain de l’Afrique à utiliser les « vaccins » de l’industrie pharmaceutique.  Et de prétendre que cela pourrait être une menace pour le monde entier: « Nous pourrions avoir une variante du virus dans trois ans, c’est un risque réel », déclare Rosamund Lewis, experte de l’OMS en variole du singe. Cependant, la scientifique ne fournit aucune preuve de ce pronostic.

    Début janvier 2023, l’OMS avait enregistré près de 84 000 cas confirmés et 75 décès dans le monde. Le nombre de nouvelles infections signalées chaque semaine a chuté de 90% depuis juillet 2022.

    La « situation d’urgence de portée internationale » s’applique toujours
    Le 23 juillet 2022, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, avait déclaré que la flambée de variole du singe était une « urgence de portée internationale ». Ce statut existe toujours. La classification n’a pas de conséquences pratiques directes. Il est destiné à sensibiliser les médecins à prendre des mesures de protection dans les cas suspects et à éduquer la population. Les mesures possibles sont décidées par les gouvernements des pays respectifs.

    Nouveau nom pour la maladie
    L’OMS a changé le nom international à la fin du mois de novembre 2022. Ainsi, il ne faudra plus parler de « Monkeypox » mais de « Mpox ». Ceci est rapporté, entre autres, par le « Zeit ». En conséquence, les deux noms existent côte à côte pendant une autre année avant que seul le nouveau nom ne s’applique. Selon les nouvelles exigences de l’OMS, il faut éviter les références à des pays, des régions ou des animaux spécifiques.

     

    Source : medias-presse.info

  • Le Professeur Perronne met les pieds dans le plat et balance tout !

    Publié par Guy de Laferrière le 04 novembre 2022

    Auteur : 

    Au cours de cet entretien radio, le Professeur Christian Perronne témoigne sans langue de bois au sujet de l’OMS, de la plandémie, du rôle des lobbies pharmaceutiques et de la Fondation Bill & Melinda Gates, …

     

     

    Source : medias-presse.info