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oms - Page 2

  • Pour le dirigeant de l’OMS, l’attention mondiale sur la guerre en Ukraine démontre le biais contre les personnes noires dans le monde

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2022

    Le chef de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme que le monde n’accorde pas la même attention aux urgences qui touchent les personnes noires et blanches.

    Tedros Adhanom Ghebreyesus a affirmé que seule une fraction de l’aide apportée à l’Ukraine était consacrée à d’autres crises humanitaires.

    L’aide à l’Ukraine est “très importante” car elle “a un impact sur le monde entier”, a-t-il déclaré.

    Mais la province du Tigré en Éthiopie, le Yémen, l’Afghanistan ou la Syrie ne reçoivent pas la même attention, a-t-il ajouté.

    “Je ne sais pas si le monde accorde vraiment la même attention aux vies noires et blanches”, a déclaré M. Tedros lors d’une conférence de presse.

    Je dois être franc et honnête : le monde ne traite pas la race humaine de la même manière. Certains sont plus égaux que d’autres. Et quand je dis cela, cela me fait mal. Parce que je le vois. C’est très difficile à accepter, mais c’est ce qui se passe”, a-t-il ajouté.

    Tedros, qui est originaire du Tigré, a déclaré que les Nations unies avaient déterminé que 100 camions par jour de fournitures humanitaires vitales étaient nécessaires pour la région éthiopienne.

    La guerre a éclaté au Tigré entre le TPLF – un groupe qui a dominé la politique éthiopienne pendant près de trois décennies – et le gouvernement en novembre 2020, après des mois de tensions latentes.

    Les combats ont fait des milliers de morts, y compris des civils, tandis que des millions de personnes ont désespérément besoin d’aide humanitaire, le gouvernement fédéral étant accusé d’entraver les efforts de secours.

    BBC via fdesouche

  • L’OMS estime « plausible » une fin de la pandémie de COVID en Europe avec le variant Omicron

    Publié par Guy Jovelin le 25 janvier 2022

    Une note d’espoir. Le variant Omicron, qui pourrait contaminer 60% des Européens d’ici mars, a amorcé une nouvelle phase de la pandémie de Covid-19 dans la région et pourrait la rapprocher de son dénouement, a estimé dimanche le directeur de l’OMS Europe.

    « Il est plausible que la région se rapproche d’une fin de la pandémie », a dit le directeur de l’OMS Europe Hans Kluge à l’AFP, appelant toutefois à la prudence du fait de la versatilité du virus. »Une fois que la vague Omicron sera calmée, il y aura pendant quelques semaines et quelques mois une immunité globale, soit grâce au vaccin, soit parce que les gens seront immunisés en raison de l’infection, et aussi une baisse en raison de la saisonnalité », a-t-il estimé.

    L’OMS table alors sur « une période de calme avant peut-être le retour du Covid-19 vers la fin de l’année, mais pas nécessairement le retour de la pandémie ».

    En Afrique du Sud, où ce variant a été séquencé en premier, on observe une tendance à la baisse du nombre des nouveaux cas ces quatre dernières semaines.

    Avec un même optimisme prudent, le conseiller de la Maison Blanche pour la crise sanitaire Anthony Fauci a jugé dimanche qu’un « revirement » de la situation pouvait être attendu aux États-Unis.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Et c’est reparti pour un tour. Et voici la cinquième vague : Selon l’OMS, un demi-million de personnes mourront en Europe d’ici février

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    J’espère vraiment que vous avez tous pris des décisions dont vous serez heureux dans 3 mois, car ce qui va se passer maintenant est une série rapide d’événements très bizarres et démentiels.

    Via CNN :

    L’Europe est confrontée à un hiver potentiellement dévastateur, au cours duquel un demi-million de personnes pourraient mourir du Covid-19, a averti jeudi l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui a tiré la sonnette d’alarme face à la recrudescence des cas et déploré les bégaiements des campagnes de vaccination dans certaines parties du continent.

    Une grande partie de l’Europe est confrontée à des pics d’infection, l’Allemagne ayant signalé jeudi son plus grand nombre de nouveaux cas quotidiens depuis le début de la pandémie.

    Dans une nouvelle mise en garde, le directeur régional de l’OMS, Hans Kluge, a déclaré que le rythme de la transmission dans la région était « très préoccupant ».

    « Nous sommes, une fois de plus, à l’épicentre », a déclaré M. Kluge dans un communiqué.

    « Selon une projection fiable, si nous restons sur cette trajectoire, nous pourrions voir un autre demi-million de décès dus au COVID-19 en Europe et en Asie centrale d’ici le premier février de l’année prochaine », a-t-il averti, ajoutant que 43 des 53 pays de sa zone pourraient également connaître une pression élevée ou extrême sur les lits d’hôpitaux.

    De larges pans du continent s’efforcent de repousser les poussées de la variante Delta, qui a compliqué l’assouplissement des restrictions dans de nombreux pays. L’Europe de l’Est est particulièrement touchée ; les cas atteignent des niveaux record en Russie et maintenant en Allemagne, tandis que Kiev, la capitale de l’Ukraine, a introduit de nouvelles restrictions strictes lundi.

    Les non-vaccinés seront blâmés, les vaccinés devront prendre leur troisième dose sinon leurs pass sanitaires ne fonctionneront plus.

    C’est le nouveau monde, vivez avec.

    Source

  • Rapport de l’OMS : les vaccins régulateurs de la fécondité

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2021

    Rapport de l’OMS : les vaccins régulateurs de la fécondité

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    De Betariz Montes sur IfamNews :

    La pandémie, qu’on le veuille ou non, nous a rendu un grand service : elle a mis à jour la réalité cachée derrière l’OMS.

    Avant même cette crise sanitaire, certains d’entre nous suivaient déjà les actions que cette organisation, ainsi que de nombreuses autres liées à l’ONU, menaient afin de mettre en œuvre l idéologie du genre par le biais de programmes de santé sexuelle et reproductive. Cependant, peut-être manquions-nous la réalité derrière les nombreuses campagnes de la vaccination de masse.

    En faisant quelques recherches sur certaines questions, je suis tombé sur un document assez révélateur de l’OMS : un rapport publié en 1992, à Gênes, intitulé : les vaccins régulateurs de fertilité.

    Il y a ceux qui ont une foi aveugle dans cette organisation, ainsi que dans leur détermination à nous vacciner tous et à tout prix. Cependant, le but de cette organisation était et reste toujours de nous stériliser.

    Si nous analysons soigneusement les données et les faits passés et présents, nous commencerons à régler les problèmes et nous pourrons ouvrir les yeux et réaliser que tout n’est pas exactement comme nous le pensions.

    Cela ne devrait pas être une surprise, puisque nous savons déjà que l’OMS encourage l’avortement et l’hypersexualisation des mineurs par le biais de l’idéologie du genre.

    Avant ce document, en 1972 déjà, le Pogramme Spécial de l’OMS pour la Recherche, le Développement et la Formation des Chercheurs en Matière de Reproduction Humaine a été créé. En d’autres termes, le développement et l’évaluation de méthodes nouvelles et améliorées de régulation de la fécondité devraient constituer un objectif majeur, car les méthodes traditionnelles – stérilets, pilules et préservatifs – étaient déjà à la traîne.

    Il ressort clairement du rapport sur les Vaccins régulateurs de fertilité, que leur intention est de contrôler la fertilité féminine par le biais de vaccins.

    L’OMS dirige les stratégies au niveau mondial, y compris ce qu’on appelle les “politiques familiales”. Cette expression, tout comme celle de “santé sexuelle et reproductive”, n’est rien d’autre que l’avortement et la contraception, ainsi que le fait de convaincre les couples d’avoir peu ou pas d’enfants.

    Ce rapport de l’OMS expose d’abord le contexte qui a conduit les scientifiques à rechercher et à rendre possible un vaccin qui provoquerait la stérilité chez les femmes. La révolution sexuelle des années 1960 a été la clé de son impulsion.

    Nous savons déjà que cette révolution a été menée par des groupes liés au marxisme et qu’elle a créé un tournant dans le domaine des relations sexuelles. Tel pourrait être le fruit de l’ouverture aux relations sexuelles liberticides, à la contraception, au divorce, à l’avortement… et voilà l’idéologie du genre.

    Tout au long du rapport, les auteurs expliquent le processus d’essai clinique, qui est passé par plusieurs phases. Ils ont indiqué les doutes et les préoccupations qui ont surgi, les effets négatifs, les succès obtenus, ainsi que ce que l’on attendait d’eux. Tout cela au nom de la santé des femmes. Car, comme ils le disent eux-mêmes, ils sont les “défenseurs de la santé des femmes”.

    Mais, en plus, il y a un aspect très pertinent qui est inclus dans ce rapport : ils admettent que les recherches menées précédemment sur le contrôle de la fertilité féminine avaient pour but de réduire la population.

    Dans les années 1960 et 1970, il y a eu des cas de femmes qui ont été stérilisées à leur insu et qui ont été inscrites à des essais de contraceptifs ou d’injectables sans avoir reçu de document de consentement éclairé.

    Dans certains pays, les femmes n’étaient pas informées des effets secondaires possibles de méthodes telles que le dispositif intra-utérin (DIU).

    Il en résulte une suspicion à l’égard des programmes ou des politiques qui semblent promouvoir le planning familial.

    En fait, une analyse des textes relatifs à la population et à la politique démographique des années 1960 et 1970 montre clairement que l’objectif démographique de contrôle de la croissance de la population était la principale motivation de la recherche et de l’introduction des premiers contraceptifs “modernes” (par exemple, la pilule et les stérilets).

    L’hypothèse était qu’une réduction du taux de croissance de la population contribuerait au développement économique. Permettez-moi de vous rappeler que ces idées proviennent de la théorie de Thomas Malthus en 1798.

    Mais au cours de ces années, les mouvements de femmes, tant dans les pays en développement que dans les pays développés, ont commencé à considérer la recherche sur la contraception et les politiques démographiques comme faisant partie d’une tentative mondiale de contrôler la population en ciblant le corps des femmes.

    C’est pourquoi ils les ont déguisées en politiques environnementales, associées au changement climatique, et ont commencé à sensibiliser la société, et les femmes en particulier, pour qu’elles modifient leur mode de vie familial en faveur de familles moins nombreuses. En fait, la même année, en 1992, le Sommet de la Terre s’est tenu à Rio de Janeiro et a donné naissance à l’Agenda 21. Tout un programme pour dépeupler le monde afin de préserver la Terre de l’action destructrice des êtres humains.

    Et ce n’est pas un hasard si, dans ce rapport, parmi ceux qui apparaissent en train de verser de grosses sommes d’argent pour mener à bien le développement de ces vaccins, figure la Fondation Rockefeller.

    Actuellement, il semble que seule une minorité de la population prenne en compte la réalité qui se cache derrière l’ONU.

    Mais cela ne devrait pas nous surprendre à ce stade, car cela fait déjà plus d’un an que nous subissons des mensonges et des manipulations par le biais des grands médias achetés par les élites mondialistes. De nombreuses études sont en cours et soutiennent l’objectif de l’OMS de réduire la population mondiale. Nous en avons un exemple dans le rapport publié par l’association Libertas qui établit un lien entre la stérilité possible et les vaccins contre le COVID-19.

    Je pense que cela devrait à tout le moins nous faire réfléchir et nous mettre en alerte pour nous protéger.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’OMS milite pour la modification du génome humain. Un commencement avec les vaccins à ARNm ?

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2021

    En plein débat et manifestations massives de par le monde contre les injections anti-covid à ARNm des laboratoires Pfizer et Moderna, l’OMS publie de nouvelles recommandations concernant la modification du génome humain. Comme pour les nouveaux ’vaccins’ covid-19 expérimentaux et aux effets secondaires majeurs, parfois mortels, l’excuse justifiant la modification du génome humain consisterait à faire progresser la santé publique.

    Dans un communique de presse, l’OMS déclare qu’elle présente « les premières recommandations mondiales visant à faire de la modification du génome humain un outil de santé publique, en mettant l’accent sur la sécurité, l’efficacité et l’éthique ». Les génomes concernés sont les « génomes somatique, germinal et héréditaire humains ».

    « Les thérapies géniques somatiques », précise l’OMS, « reposent sur la modification de l’ADN d’un patient pour traiter ou guérir une maladie ».

    « Cependant, admet l’organisation supranationale, elle comporte certains risques, comme dans le cas de la modification des génomes humains germinal et héréditaire, où les modifications du génome des embryons pourraient être transmises aux générations suivantes et modifier les caractéristiques des descendants. »  

    La généticienne Alexandra Henrion-Caude s’interroge sur twitter au sujet de ces nouvelles recommandations :

    « Alors que nous réclamons toujours de savoir si l’ARNm injecté Pfizer et Moderna modifie le génome de l’homme de façon : -uniquement transitoire (épigénétique) ? -permanente et/ou transmissible (épigénétique et/ou génétique) ? Nous sommes particulièrement inquiets que l’OMS ose des recommandations “mondiales” “visant à faire de la modification du génome humain un outil de santé publique”.

    « A tous les niveaux de la société, l’éthique est un mot vidé de toute substance… »

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info