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hydroxychloroquine

  • Didier Raoult : « Le Taux de Létalité des Patients du Covid lorsqu’ils sont Traités avec l’Hydroxychloroquine : 0,1% ! »

    Publié par Guy Jovelin le 12 novembre 2021

    Le taux de létalité des patients du Covid lorsqu’ils sont traités avec l’HCQ: 0,1%. Mortalité proche de la grippe classique.

    Donc Macron fait n’importe quoi depuis un an alors que cette épidémie était simple à gérer ?.
    50.000 morts de trop et 300 milliards d’euros brûlés

  • Quel est le rôle de Gilead dans la guerre contre l’hydroxychloroquine ?

    Publié par Guy Jovelin le 27 août 2020

    Gilead, le fabricant du Remdesivir, mène-t-il une guerre contre l’HCQ (hydroxychloroquine) ?

    Les attaques contre le médicament sont continues depuis que le Professeur Didier Raoult a utilisé ce dérivé de la quinine pour sauver la vie de patients atteints de COVID-19 en mars dernier.

    La première tentative pour discréditer l’HCQ a été une étude du système hospitalier de l’Administration des vétérans, réalisée à la hâte en avril dernier. L’un des auteurs de l’étude avait notamment reçu de nombreuses subventions de Gilead dans le passé, dont une en 2018 pour un montant total de près d’un quart de million de dollars.

    Après que de profondes failles dans l’étude de de VA ont été exposéesSurgisphere est venu à la rescousse en mai avec une méga-étude de « 15 000 patients » prétendument compilée à partir d’hôpitaux du monde entier.

    Cette stratégie a réussi : Suite à sa publication dans le Lancet et le NEJM, toute utilisation en ambulatoire de l’HCQ a été sévèrement restreinte aux États-Unis, en Australie et dans la plupart de l’Europe.

    Lorsque l’arnaque de Surgisphere a été révélée, les deux articles ont été discrètement rétractés et le rédacteur en chef du Lancet a tenté de se laver les mains de cet incident embarrassant en dénonçant la « fraude monumentale » de Surgisphere.

    Cependant, quelques jours plus tôt seulement, les rédacteurs en chef du Lancet ont joué un rôle majeur en persuadant l’OMS de suspendre tous les procès pour l’HCQ. Qui leur a demandé de le faire ?

    L’auteur principal de l’étude, Mandeep Mehra, s’est également excusé de s’être appuyé sur une tierce partie pour les données. Il ne savait peut-être pas que les données avaient été fabriquées, mais l’hôpital qu’il dirigeait menait deux essais pour le Remdesivir. Était-il sous la pression de ses sponsors ?

    Voici les enjeux :

    • Un traitement de cinq jours avec le Remdesivir coûte environ 3 000 dollars.
    • Un approvisionnement de cinq jours en HCQ générique coûte environ 10 $.

    Les compagnies pharmaceutiques ont le droit de récupérer leurs coûts de recherche et de développement, mais faire pression pour supprimer l’accès à un traitement vital qui est à la fois moins cher et plus efficace est un crime contre l’humanité.

    Les progressistes croient à tort que la médecine socialisée protège les patients contre les abus des grandes entreprises pharmaceutiques, mais la première nation à restreindre sévèrement l’accès à l’HCQ a été la France.

    Cette politique a contraint le Dr Raoult à témoigner contre l’influence disproportionnée de Gilead sur la communauté médicale lors d’une réunion de l’Assemblée nationale française en juin dernier.

    Notamment aux États-Unis, un tiers du budget de la FDA provient des frais d’utilisation des produits pharmaceutiques et, selon le site web des NIH, huit des 55 membres du panel responsable des directives de traitement contre le COVID-19 sont actuellement affiliés à Gilead. Ces liens gouvernementaux avec Gilead sont plus de trois fois plus importants si l’on inclut les membres du panel qui ont été associés à Gilead par le passé.

    Paradoxalement, la plupart de l’opposition à l’HCQ aux États-Unis vient de la gauche, mais les conservateurs qui connaissent les voies du capitalisme de copinage considèrent cela comme un pari. Après tout, les grandes entreprises pharmaceutiques ont donné plus aux démocrates depuis le passage de l’Obamacare et jusqu’à présent, les employés de Gilead ont donné trois fois plus à la campagne de Biden.

    Tôt ou tard, tous ceux qui ont participé à cette campagne de désinformation seront jugés. Si vous faites partie des décideurs politiques ou des médecins qui participent à cette mascarade, vous voudrez peut-être vous dissocier tout en plaidant de manière crédible l’ignorance pour des dizaines de milliers de décès qui auraient pu être évités.

    Source : Quel est le rôle de Gilead dans la guerre contre l’hydroxychloroquine ?

  • L’OMS avale son Lancet et relance les essais sur l’hydroxychloroquine comme traitement au covid 19

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2020

    Auteur : 

    Nouveau rebondissement dans le LancetGate. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a annoncé mercredi la reprise des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine, après les avoir suspendus il y a quelques jours suite à la publication d’une étude bidon dans la revue médicale “The Lancet”. Nous avions signalé hier que cette même revue a été contrainte de désavouer cette étude publiée dans ses colonnes fin mai sur base de données fournies par Surgisphere, société fantôme dont la directrice des ventes n’est autre qu’une actrice porno.
    L’OMS a donc avalé de travers son Lancet et fait profil bas en signalant la reprise des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine dans le cadre de la lutte contre la pandémie de coronavirus.

    “Le Groupe exécutif communiquera avec les principaux chercheurs en charge de l’essai au sujet de la reprise de dimension hydroxychloroquine de l’essai”, a-t-il été dit au cours d’une conférence de presse virtuelle de l’OMS… qui a tout de même oublié de présenter ses excuses publiques, ce qui eut été la moindre des choses.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’hydroxychloroquine bannie par le gouvernement comme traitement du covid-19 sur base d’une étude bidon fournie par une société fantôme dont la directrice des ventes est une actrice porno !

    Publié par Guy Jovelin le 03 juin 2020

    L’information est stupéfiante. Le gouvernement français a interdit l’hydroxychloroquine comme traitement du coronavirus covid-19 sur base d’une étude publiée par le magazine médical The Lancet, étude en réalité bidon fournie par Surgisphere / Quartz Clinical, société fantôme dont la directrice des ventes, Ariane Anderson, n’est autre qu’une actrice porno connue sous le pseudonyme de Skye Daniels !

    France Soir est le seul média français qui a jusqu’ici brisé la loi du silence.

    Extraits :

    Surgisphere est la société responsable de la collecte des données de l’étude du Professeur Mehra qui a fait l’objet d’une attention planétaire depuis ces 7 derniers jours. Après notre première interview avec Mr Mehra qui nous avait laissés dubitatifs sur la forme et le fond, nous nous sommes intéressés à cette entreprise. (…)

    La société Surgisphere a plusieurs adresses qui ressemblent plus à des logements peut-être liés à des déménagements ou de la domiciliation d’entreprise.
    Plusieurs entreprises au même nom ont été successivement enregistrées dans divers Etats, puis liquidées ou en suspension.
    Peu d’employés avec une date d’entrée très récente et peu de mentions sur Google de ces diverses personnes et un profil questionnable.
    Peu d’activité jusqu’à mars 2020 sur le site internet.

    […]

    La société Surgisphere aurait été créée en le 1er mars 2007 (Crunchbase) par le docteur Sapan Desai qui est un des co-auteurs de l’étude de Mr Mehra dans The Lancet. Cette société serait spécialisée dans le big data et l’usage de l’intelligence artificielle dans l’analyse des données. Une autre société au nom de Sapan Desai, Surgisphere Corporation a été créée le 28 juin 2012 puis dissoute en janvier 2016

    […]

    Qui est le docteur Sapan Desai ?

    Le Dr Desai semble être le fondateur de Surgisphere, qui a été formé en 2007. Une recherche PubMed pour «Sapan Desai» montre 39 publications médicales au cours des cinq dernières années. À l’exception des deux articles COVID-19 très récents, la base de données Surgisphere ne semble avoir été utilisée dans aucune des 37 autres publications. Pourquoi le fondateur de Surgisphere aurait-il accès à l’un des plus grands référentiels de données patient en temps réel, mais ne l’aurait-il pas utilisé avant sa publication sur COVID-19?

    […]

    Qui sont les employés de la société

    Sur linkedin, la société fait état de 5 personnes qui y travaillent dont 4 d’entre elles sont arrivées soit en mars 2020 ou en avril 2020. Nous avons fait des recherches google sur chacun d’entre eux sans trop de succès (très peu de mention ou de publications) (…)

    L’empreinte internet de cette société remonte à l’enregistrement de son site internet en 23 mars 2007. Cependant ce site ne serait réellement actif que depuis Mars 2020

    […]

    Les articles publiés sur le site de Surgisphere datent au plus de Mars 2020

    Le Site internet de la société donne l’impression de n’exister ou de n’avoir de l’activité que depuis mars 2020 et rien entre 2013 et 2020. Une activité dormante

     

    Source : medias-presse.info

  • COVID-19 : Une enquête menée auprès de 6200 médecins à travers le monde plébiscite l’usage de l’hydroxychloroquine

    Publié par Guy Jovelin le 03 avril 2020

    Si l’Organisation mondiale de la santé (OMS) continue d’affirmer qu’il n’existe « aucune preuve » qu’un médicament « puisse prévenir ou guérir la maladie », une majorité des 6200 médecins interrogés dans le cadre d’une enquête dans 30 pays affirment que l’hydroxychloroquine est actuellement le « traitement le plus efficace » contre le coronavirus.

    Ce dernier sondage, réalisé par Sermo, un site internet professionnel international dédié aux médecins, a révélé que les comprimés étaient les plus utilisés pour le traitement du COVID-19, en particulier en Espagne, où 72% des médecins ont déclaré les avoir prescrits.

    Le directeur général de Sermo, Peter Kirk, décrit les résultats de ce sondage comme un « trésor de connaissances mondiales pour les décideurs ».

    « Les médecins devraient avoir davantage voix au chapitre dans la manière dont nous gérons cette pandémie et être en mesure de partager rapidement des informations entre eux et ce, de façon internationale. Partout dans le monde, les pays élargissent l’accès à la chloroquine, une forme synthétique de quinine, qui provient des quinquina et qui est utilisée depuis des siècles pour traiter le paludisme.

    The Daily Mail via fdesouche