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vaccins

  • Italie – Revirement médiatique et focus sur les effets secondaires des « vaccins » contre le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2022

    Impossible de passer devant un kiosque à journaux en Italie, sans tomber sur la revue PANORAMA. Et là gros choc pour les habitués des médias du Système, la couverture du magazine Panorama  est entièrement consacrée aux effets indésirables très nombreux des « vaccins » anti-Covid, effets secondaires non correctement évalués et pire… le plus souvent ignorés. Que vont penser les « vaccinés » de ce revirement ???

     

    Source : medias-presse.info

  • Rapport de l’OMS : les vaccins régulateurs de la fécondité

    Publié par Guy Jovelin le 05 octobre 2021

    Rapport de l’OMS : les vaccins régulateurs de la fécondité

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    De Betariz Montes sur IfamNews :

    La pandémie, qu’on le veuille ou non, nous a rendu un grand service : elle a mis à jour la réalité cachée derrière l’OMS.

    Avant même cette crise sanitaire, certains d’entre nous suivaient déjà les actions que cette organisation, ainsi que de nombreuses autres liées à l’ONU, menaient afin de mettre en œuvre l idéologie du genre par le biais de programmes de santé sexuelle et reproductive. Cependant, peut-être manquions-nous la réalité derrière les nombreuses campagnes de la vaccination de masse.

    En faisant quelques recherches sur certaines questions, je suis tombé sur un document assez révélateur de l’OMS : un rapport publié en 1992, à Gênes, intitulé : les vaccins régulateurs de fertilité.

    Il y a ceux qui ont une foi aveugle dans cette organisation, ainsi que dans leur détermination à nous vacciner tous et à tout prix. Cependant, le but de cette organisation était et reste toujours de nous stériliser.

    Si nous analysons soigneusement les données et les faits passés et présents, nous commencerons à régler les problèmes et nous pourrons ouvrir les yeux et réaliser que tout n’est pas exactement comme nous le pensions.

    Cela ne devrait pas être une surprise, puisque nous savons déjà que l’OMS encourage l’avortement et l’hypersexualisation des mineurs par le biais de l’idéologie du genre.

    Avant ce document, en 1972 déjà, le Pogramme Spécial de l’OMS pour la Recherche, le Développement et la Formation des Chercheurs en Matière de Reproduction Humaine a été créé. En d’autres termes, le développement et l’évaluation de méthodes nouvelles et améliorées de régulation de la fécondité devraient constituer un objectif majeur, car les méthodes traditionnelles – stérilets, pilules et préservatifs – étaient déjà à la traîne.

    Il ressort clairement du rapport sur les Vaccins régulateurs de fertilité, que leur intention est de contrôler la fertilité féminine par le biais de vaccins.

    L’OMS dirige les stratégies au niveau mondial, y compris ce qu’on appelle les “politiques familiales”. Cette expression, tout comme celle de “santé sexuelle et reproductive”, n’est rien d’autre que l’avortement et la contraception, ainsi que le fait de convaincre les couples d’avoir peu ou pas d’enfants.

    Ce rapport de l’OMS expose d’abord le contexte qui a conduit les scientifiques à rechercher et à rendre possible un vaccin qui provoquerait la stérilité chez les femmes. La révolution sexuelle des années 1960 a été la clé de son impulsion.

    Nous savons déjà que cette révolution a été menée par des groupes liés au marxisme et qu’elle a créé un tournant dans le domaine des relations sexuelles. Tel pourrait être le fruit de l’ouverture aux relations sexuelles liberticides, à la contraception, au divorce, à l’avortement… et voilà l’idéologie du genre.

    Tout au long du rapport, les auteurs expliquent le processus d’essai clinique, qui est passé par plusieurs phases. Ils ont indiqué les doutes et les préoccupations qui ont surgi, les effets négatifs, les succès obtenus, ainsi que ce que l’on attendait d’eux. Tout cela au nom de la santé des femmes. Car, comme ils le disent eux-mêmes, ils sont les “défenseurs de la santé des femmes”.

    Mais, en plus, il y a un aspect très pertinent qui est inclus dans ce rapport : ils admettent que les recherches menées précédemment sur le contrôle de la fertilité féminine avaient pour but de réduire la population.

    Dans les années 1960 et 1970, il y a eu des cas de femmes qui ont été stérilisées à leur insu et qui ont été inscrites à des essais de contraceptifs ou d’injectables sans avoir reçu de document de consentement éclairé.

    Dans certains pays, les femmes n’étaient pas informées des effets secondaires possibles de méthodes telles que le dispositif intra-utérin (DIU).

    Il en résulte une suspicion à l’égard des programmes ou des politiques qui semblent promouvoir le planning familial.

    En fait, une analyse des textes relatifs à la population et à la politique démographique des années 1960 et 1970 montre clairement que l’objectif démographique de contrôle de la croissance de la population était la principale motivation de la recherche et de l’introduction des premiers contraceptifs “modernes” (par exemple, la pilule et les stérilets).

    L’hypothèse était qu’une réduction du taux de croissance de la population contribuerait au développement économique. Permettez-moi de vous rappeler que ces idées proviennent de la théorie de Thomas Malthus en 1798.

    Mais au cours de ces années, les mouvements de femmes, tant dans les pays en développement que dans les pays développés, ont commencé à considérer la recherche sur la contraception et les politiques démographiques comme faisant partie d’une tentative mondiale de contrôler la population en ciblant le corps des femmes.

    C’est pourquoi ils les ont déguisées en politiques environnementales, associées au changement climatique, et ont commencé à sensibiliser la société, et les femmes en particulier, pour qu’elles modifient leur mode de vie familial en faveur de familles moins nombreuses. En fait, la même année, en 1992, le Sommet de la Terre s’est tenu à Rio de Janeiro et a donné naissance à l’Agenda 21. Tout un programme pour dépeupler le monde afin de préserver la Terre de l’action destructrice des êtres humains.

    Et ce n’est pas un hasard si, dans ce rapport, parmi ceux qui apparaissent en train de verser de grosses sommes d’argent pour mener à bien le développement de ces vaccins, figure la Fondation Rockefeller.

    Actuellement, il semble que seule une minorité de la population prenne en compte la réalité qui se cache derrière l’ONU.

    Mais cela ne devrait pas nous surprendre à ce stade, car cela fait déjà plus d’un an que nous subissons des mensonges et des manipulations par le biais des grands médias achetés par les élites mondialistes. De nombreuses études sont en cours et soutiennent l’objectif de l’OMS de réduire la population mondiale. Nous en avons un exemple dans le rapport publié par l’association Libertas qui établit un lien entre la stérilité possible et les vaccins contre le COVID-19.

    Je pense que cela devrait à tout le moins nous faire réfléchir et nous mettre en alerte pour nous protéger.

     

    Source : lesalonbeige

  • Pfizer et Moderna : vaccins pour les enfants de 2 à 11 ans

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2021

    Pfizer et Moderna élargissent la taille de leurs essais cliniques sur les injonctions expérimentales covid-19 car l’objectif est également de vacciner les enfants âgés de cinq à onze ans, voire plus jeunes encore. La sollicitation est venue directement de la Food and Drug Administration des Etats-Unis (FDA).

    Comme le rapporte le New York Times, les deux fabricants de vaccins élargissent la taille de leurs essais cliniques par mesure de précaution conçue pour détecter des effets secondaires rares disent-ils, notamment des problèmes d’inflammation cardiaque, survenus chez des personnes vaccinées de moins de 30 ans. Mais d’ores et déjà, lors d’une réunion en Ohio, le président Joe Biden a promis que l’autorisation d’urgence pour les vaccins pédiatriques arriverait « bientôt », mais la Maison Blanche n’a pas précisé le calendrier. Il n’est pas clair si l’élargissement des études affectera le moment où les vaccins pourraient être autorisés pour les enfants. La Food and Drug Administration a indiqué à Pfizer-BioNTech et Moderna que la taille et la portée de leurs études pédiatriques, comme initialement prévu, étaient insuffisantes pour détecter des effets secondaires rares : ceux-ci incluent la myocardite, l’inflammation du muscle cardiaque et la péricardite, l’inflammation du revêtement autour du cœur.

    La FDA a demandé aux entreprises d’inclure 3 000 enfants dans le groupe des 5 à 11 ans – l’une des sources du NY Times a décrit ce chiffre comme le double du nombre initial de participants à l’étude. Un porte-parole de Moderna, Ray Jordan, a confirmé que la société avait l’intention d’étendre son essai « pour enregistrer une base de données de sécurité plus grande qui augmente la probabilité de détecter des événements plus rares. L’étude Moderna a commencé à recruter des patients dès mars dans le but d’inscrire 6 795 participants de moins de 12 ans. Les participants devaient être répartis également en trois groupes d’âge, comprenant un groupe d’âge de 6 à 11 ans de 2 265 participants chacun. Pfizer fonctionnerait plus vite que Moderna et pourrait être en mesure de répondre aux attentes de la FDA, fin septembre.

    L’examen de toutes les données d’innocuité et d’efficacité prendra probablement au moins quelques semaines aux autorités de réglementation.

    Pfizer avait précédemment déclaré s’attendre à des résultats pour le groupe des 5 à 11 ans en septembre et à de nouvelles preuves pour les enfants plus jeunes, âgés de 2 à 5 ans, peu de temps après. En effet, des réponses de la tranche d’âge allant de 6 mois à 2 ans sont attendues pour octobre ou novembre. Un porte-parole a déclaré lundi que la société n’avait aucune mise à jour sur son calendrier. Les questions sur la vaccination des enfants, y compris ceux de moins de 12 ans, intéressent énormément les parents et les enseignants. Les régulateurs seront tenus d’équilibrer les effets secondaires potentiels de la vaccination contre les coronavirus et les risques de Covid-19.

    L’objectif étant de vacciner au plus vite également les enfants et les nourrissons, Moderna, et Pfizer a la même optique, prévoit de demander une autorisation d’urgence plus tard cette année ou au début de l’année prochaine. C’est-à-dire une autorisation qui fait fi du recul de quelques années nécessaire pour connaître les effets secondaires à moyen et long termes.

    Toutes les générations doivent recevoir le sérum « miracle » contre le covid, telle est l’injonction des politiciens, organismes internationaux, gouvernements, laboratoires pharmaceutiques, médecins de plateaux… Pas de répit même pour les enfants.

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Le Conseil des droits humains de l’Inde dépose une plainte contre Bill Gates et ses alliés pour génocide. Deux campagnes de “vaccination” sont concernées.

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021

    Auteur : 

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    Le 30 juin 2021, Haji Shaikh, le secrétaire général du “Human rights council of India”, a déposé une plainte contre la fondation Bill et Melinda Gates (BMG) et ses alliés de GAVI (Alliance internationale pour les vaccins, soutenue notamment par BMG, l’OMS, l’UNICEF et la Banque mondiale), contre le Conseil indien de la recherche médicale (Indian Council of Medical Research, en abrégé ICMR), le Dr Fauci,  Tedros Adhanom Ghebreyesus (directeur général de l’OMS), le Dr Soumya Swaminathan, chef scientifique de l’OMS, Zuckerberg, chef exécutif de Facebook, Dorsey, chef exécutif de Twitter, You tube, Kejriwal, ministre en chef de l’ Etat de Delhi (l’un des Etats de l’Inde) ainsi que d’autres accusés, pour avoir mis en place un complot (“Conspiracy dans le texte de la plainte”) visant à “créer un marché permanent pour leurs vaccins et autres médicaments”.

    Plus précisément, le “Human rights council of India” accuse les prévenus d’avoir produit des données mensongères, supprimé de manière malhonnête des données réelles, “tordu” des faits matériels, produit des théories du complot, préparé des politiques visant à empêcher la diffusion de la vérité et l’accès à une information vraie, supprimé des informations scientifiques originelles de You Tube et de Twitter, publié des “facts check” pour contrer la vérité, semer la confusion et décourager les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.

    Les prévenus sont aussi accusés d’avoir manoeuvré pour prendre le contrôle des agences de santé gouvernementales (ils y sont malheureusement souvent parvenus!) pour que les politiques de ces agences servent leurs intérêts ultérieurs et d’avoir permis que des personnes meurent en s’assurant qu’elles ne pourraient pas avoir accès à des médicaments tels que l’Ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et aux traitements de naturopathie.

    Ils sont aussi accusés d’avoir diffusé la peur pour faire croire que les vaccins étaient la seule solution pour sauver des vies et obtenir une autorisation en urgence de “vaccins” non approuvés. Par ailleurs, ils ont agi pour caché les effets dangereux de ces vaccins et réduire artificiellement le nombre de morts qu’ils ont provoqués (recensement insuffisant de ces morts). Néanmoins, rien qu’aux Etats-Unis, 4 863 morts avaient déjà été enregistrés le 24/5/2021 des suites d’effets indésirables graves des “vaccins” contre le sars-cov 2. Ces effets graves étaient déjà au nombre de 195 000.

    Enfin, la plainte rappelle que Bill Gates a déjà été jugé coupable par le 72e rapport du Comité Parlementaire de l’Inde, publié le 28/8/2013, pour avoir fait des essais de vaccins SANS AUTORISATION, essais qui ont provoqué la mort de 8 écolières. Ces vaccins étaient censés lutter contre le papillonavirus humain (HPV).

    L’association du barreau indien (une association d’avocats) est chargée de défendre cette plainte en justice.

    Espérons que cette plainte aboutira à une enquête sincère et à la condamnation des coupables.

    N’oublions pas de prier en ces temps difficiles.

     

    La plainte en anglais est disponible à l’adresse suivante: http://www.francesoir.fr/sites/francesoir/files/20210706_fs_hrsc_complaint.pdf

     

    G. Paume

     

    Source : medias-presse.info

  • «En vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine»

    Publié par Guy Jovelin le 02 juin 2021

    «En vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine»

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    Extraits d’un article de Lifesitenews, à propos d’une protéine du vaccin contre le Covid-19, qui pénètre de manière inattendue dans la circulation sanguine, ce qui est une explique les milliers d’effets secondaires signalés de caillots sanguins et maladies cardiaques aux lésions cérébrales et aux problèmes de reproduction. Byram Bridle, immunologiste viral et professeur agrégé à l’université de Guelph, en Ontario, déclare :

    « Nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l’avons pas réalisé jusqu’à présent ». « Nous pensions que la protéine de pointe [Spike] était un excellent antigène cible, nous n’avons jamais su que la protéine de pointe elle-même était une toxine et était une protéine pathogène. Donc, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine ».

    Bridle, chercheur en vaccins qui a reçu une subvention gouvernementale de 230000 dollars l’année dernière pour la recherche sur le développement de vaccins Covid, a déclaré que lui et un groupe de scientifiques internationaux avaient déposé une demande d’informations auprès de l’agence de réglementation japonaise pour avoir accès à ce qu’on appelle “l’étude sur la biodistribution.”

    « C’est la toute première fois que des scientifiques découvrent où vont ces vaccins à ARN messager [ARNm] après la vaccination ». « Est-ce une hypothèse sûre qu’il reste dans le muscle de l’épaule ? La réponse courte est : absolument pas. C’est très déconcertant.

    Les chercheurs en vaccins avaient supposé que les nouveaux vaccins à ARNm Covid se comporteraient comme des vaccins “traditionnels” et que la protéine de pointe du vaccin – responsable de l’infection et de ses symptômes les plus graves – resterait principalement dans le site de vaccination au niveau du muscle de l’épaule. Au lieu de cela, les données japonaises ont montré que la tristement célèbre protéine de pointe du coronavirus pénètre dans le sang où elle circule pendant plusieurs jours après la vaccination, puis s’accumule dans les organes et les tissus, y compris la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et dans des « concentrations assez élevées » dans les ovaires.

    « Nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages à notre corps si elle entre en circulation ».

    Il a également été démontré que la protéine de pointe traversait la barrière hémato-encéphalique et causait des dommages au cerveau.

    Bridle a déclaré que la protéine de pointe en circulation expliquerait les problèmes cardiaques récemment signalés chez les jeunes qui avaient reçu les injections.

    Depuis l’interview radio, Bridle a reçu des centaines de courriels positifs. Il a également ajouté qu’

    « une vicieuse campagne de dénigrement a été lancée contre moi. Cela comprenait la création d’un site Web diffamatoire en utilisant mon nom de domaine. »

    Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson n’ont pas répondu aux questions sur les préoccupations de Bridle.

     

    Source : lesalonbeige