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vaccins - Page 2

  • Il y a deux mois, les vaccins semblaient provoquer thrombose sur thrombose à en croire les médias.

    Publié par Guy Jovelin le 14 mai 2021

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    Il y a deux mois, les vaccins semblaient provoquer thrombose sur thrombose à en croire les médias. Entre temps, le nombre de personnes vaccinées avec pourtant le même vaccin a augmenté considérablement, mais les thromboses ont disparu de la surface de la terre, ou plutôt elles ont disparu des plateaux de télévision et des salles de rédactions.
    Pourtant, si le nombre de personnes vaccinées augmente, le nombre des effets secondaires aussi, c'est automatique.
    Je suis obligé d'en déduire qu'il existe bel et bien un consensus médiatique : ici des journalistes qui ne travaillent pas dans les mêmes rédactions, qui normalement ont des sources différentes, des méthodes différentes, des lignes éditoriales différentes, qui parfois se contredisent et même s'affrontent, ont l'air d'avoir décidé collectivement, d'un commun accord, qu'ils ne devaient plus parler des effets secondaires des vaccins. Pourquoi ? Parce que cela créait de la défiance parmi la population, avec pour premier effet de compliquer la campagne de vaccination, et bien sûr parce que cela nourrissait le discours des affreux complotistes.
    Le sujet «effets secondaires des vaccins» a par conséquent été supprimé, annulé, «canceled» devrions-nous dire maintenant. Il faut dire aussi que la surmédiatisation des effets secondaires, qui étaient évidemment ultra rares et pour ainsi dire dérisoires statistiquement, était déjà un délire médiatique. Ces gens sont vraiment incapables d'avoir une relation saine et équilibrée avec les événements : soit ils en font des tonnes, soit ils occultent complètement le sujet. Il n'y a jamais d'entre-deux avec ces vendeurs de tapis.
    Tout cela (c'est vrai pour les vaccins mais pour tous les autres sujets) met en évidence le lien complice entre feuille de route du pouvoir politique et servitude des médias, médias capables de créer sur commande une actualité artificielle à partir de rien et capables aussi de fabriquer une actualité alternative dès que cela devient nécessaire pour le pouvoir.
  • Les vaccins, une manne financière pour les laboratoires pharmaceutiques

    Publié par Guy Jovelin le 28 avril 2021

    Le PDG de Pfizer,  Albert Bourla, a indiqué dans des déclarations rendues publiques le jeudi 15 avril par la chaîne CNBC qu’une troisième dose du vaccin Pfizer sera « probablement » nécessaire pour les personnes ayant reçu les deux injections d’ici six mois à un an, avant d’ajouter « puis sans doute d’une injection chaque année » :

    « Une hypothèse vraisemblable est qu’une troisième dose sera probablement nécessaire, entre six mois et douze mois, et à partir de là, il y aura une vaccination à nouveau chaque année, mais tout cela doit être confirmé.  »

    Des injections à répétition qui génèrent d’immenses profits. A tel point que même le quotidien de la bien-pensance pro-pro La Croix s’interroge sur les importants bénéfices que rapportent ces « vaccins contre le Covid-19 » « développés en un temps record et bénéficiant d’une demande à la fois mondiale et immédiate » dans un article du 22 avril dernier :

    « C’est le grand remue-ménage dans l’industrie de la vaccination. Le secteur, marginal avant la pandémie de coronavirus avec seulement 3 à 5 % du montant des ventes de médicaments, devrait voir son chiffre d’affaires exploser grâce à la vente du précieux sérum contre la pandémie. « La rentabilité est immédiate et le gâteau est à l’échelle de la population mondiale. En termes économiques, c’est une très bonne affaire », résume Philippe Frouté.

    En février dernier, « le groupe pharmaceutique américain a en effet annoncé que pour son seul produit, il prévoyait de réaliser en 2021 un chiffre d’affaires de 15 milliards de dollars (12,6 milliards d’euros), et un bénéfice avant impôt d’environ 4 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros) » écrivait 20 minutes en mars dernier avant de donner la parole à  Nathalie Coutinet, économiste de la santé et enseignant-chercheur à l’université Paris-13 :

    « Le vaccin anti-Covid va rapporter énormément d’argent aux laboratoires pharmaceutiques. Pour eux, c’est une belle opportunité. Même Sanofi, qui a pris du retard sur le vaccin, a gonflé ses résultats grâce à la crise, notamment avec les ventes de Doliprane ».

    « Si les stratégies des labos peuvent être différentes du point de vue de la technologie utilisée ou de la communication, ils ont en revanche la même stratégie économique », juge, toujours auprès de 20 minutes, Quentin Ravelli, chargé de recherche au CNRS et auteur d’une thèse sur les pratiques des laboratoires. « A savoir : gagner de l’argent grâce à leur vaccin. Ainsi, tous les labos n’hésitent pas à faire fluctuer leurs tarifs en fonction des clients et de leur demande (nombre de doses, délais…) […] De plus, il n’y a pas obligation de transparence sur les coûts de production. Il est donc très difficile de savoir si un vaccin est réellement vendu à prix coûtant. »

    « Par ailleurs, en octobre dernier, écrit encore 20 minutes, le Financial Times révélait un document montrant qu’AstraZeneca prévoyait d’augmenter ses prix dès juillet 2021, considérant que la pandémie serait alors « terminée ». […] Comme pour AstraZeneca, cette stratégie du prix bas pourrait prendre fin rapidement : s’il est nécessaire de re-vacciner ou de lutter contre les variants du Covid-19, « on pourrait commencer à envisager de nouvelles opportunités à partir de 2022 », expliquait début mars le directeur financier de J & J, Joseph Wolk. »

    Bref, les vaccins anti-covid représentent une manne financière sans limite…

     Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Les vaccins font s’envoler les Bourses ! Et pourtant…

    Publié par Guy Jovelin le 10 février 2021

    La Bourse de Paris et Wall Street ont clos leur meilleure semaine depuis deux mois avec de nouveaux records. Le CAC 40 a progressé de 4,82 % sur l’ensemble de la semaine, pour terminer à 5.659. Aux États-Unis, le Dow Jones est en hausse de 3,89 %, le NASDAQ de 6 % et le S&P 500 de 4,65 %. Les boursiers croient aux nouveaux sérums et à l’extension des vaccinations ; aux États-Unis, la pandémie est en régression. Les résultats publiés des grandes sociétés sont bons et Wall Street espère que le plan Biden, de 1.900 milliards de dollars, sera adopté. Les petits porteurs qui s’attaquaient aux fonds alternatifs ont contribué à faire monter les cours, tout en piégeant les fonds alternatifs de Wall Street qui ont subi des pertes de 70 milliards de dollars avec, en plus, une forte volatilité du VIX, l’indice de la peur, au-dessus de 35 en fin de semaine dernière. Quant à la spéculation sur l’argent métal, elle s’est calmée, cette semaine. Une forte et très prochaine correction boursière est malgré tout probable car les arbres ne montent pas jusqu’au ciel.

     

    Sortirons-nous très rapidement de cette crise en Europe grâce aux vaccins ? Tout le monde le souhaite, mais la probabilité nous semble très faible. Certains experts craignent que les variants du virus ne finissent par totalement contourner les défenses immunitaires développées par les vaccins actuels. De plus, étant donnés les délais ultra-courts de la mise au point de ces vaccins, une catastrophe n’est pas impossible pour l’un de ces vaccins avec des technologies très différentes : vaccins à partir de virus inactivé (Sinopharm, Sinovac), vaccins avec des protéines virales (Sanofi et GSK), vaccins avec ARN messager (Pfizer/BioNTech, Moderna), vaccins avec vecteur viral (Sputnik V et Oxford/AstraZeneca). On ne peut pas s’empêcher de penser au fameux principe de précaution dont on nous a tant rebattu les oreilles ; il ne reste plus qu’à croiser les doigts.

     

    Comme exemple de cygne noir possible à venir, et qui n’a rien à voir avec les vaccins : l’Italie. Ce pays représente un très grand danger pour la zone euro, avec un endettement de 160 % du PIB. Il était très facile, pour Mario Draghi, président de la BCE, d’ouvrir les vannes monétaires et de faire baisser les taux d’intérêt. Président du Conseil italien, il lui sera plus difficile de mettre en place un plan d’austérité, afin d’éviter la faillite, sans déclencher une révolution sociale. L’Italie sera la prochaine Grèce, puis ce sera ensuite le tour de la France. L’Italie sera le premier cobaye du fameux rapport Draghi à passer à la casserole. La survie de la zone euro se posera alors de façon dramatique. Et n’oublions pas les paroles de Macron, qui n’est pas certain de se représenter : c’est probablement à cela qu’il pensait, au-delà d’une tactique oratoire pour que de nombreux Français le supportent davantage, espérant qu’il puisse quitter ses fonctions aussi facilement.

     

    L’Italie est un pays fondateur de l’Europe, surendetté, sans croissance, qui a du mal à se réformer et qui a refusé le soutien du Mécanisme européen de stabilité. Or, l’Italie peine à mettre en œuvre le plan de relance de 209 milliards d’euros de l’Union européenne, d’où la démission de Conte. Si les Italiens n’arrivent pas à se mettre d’accord, les Néerlandais et les Allemands pourraient en tirer certaines conclusions sur la nécessaire séparation à venir. Le taux de chômage en Italie atteint 9 %, bien au-dessus de la moyenne de la zone euro ; pour les jeunes de 15-24 ans, il atteint 29,7 %. Selon le syndicat agricole Coldiretti, le nombre d’Italiens ayant recours à l’aide alimentaire a augmenté de plus d’un tiers, en 2020, pour atteindre 3,7 millions de personne. De plus, à la fin du mois de mars, le gel des licenciements arrivera à sa fin, ce qui comporte le risque de graves tensions sociales.

     

    D’autres cygnes noirs sanitaires, sociaux, sociétaux, migratoires, terroristes, boursiers, économiques, monétaires, financiers, politiques, géopolitiques, dans divers pays dont la France, ne manquent pas. Un seul peut suffire à faire s’effondrer le château de cartes, mais les vaccins sont, pour les boursiers, l’arbre qui cache la forêt.

     

    Source : leblogalupus