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  • La Russie «n’acceptera pas» le plafonnement du prix de son pétrole : déjà la Chine et l’Inde refusent de s’associer à cette mesure suicidaire

    Publié par Guy de Laferrière le 04 décembre 2022

    Auteur : 

    Ursula Van der Layen, la folle de Chaillot, veut

    entraîner le monde dans un puits sans fond

    À trois jours de l’entrée en vigueur de l’embargo européen, les pays de l’UE, puis ceux du G7 ainsi que l’Australie se sont mis d’accord vendredi pour plafonner le prix du pétrole russe à 60 dollars le baril.

    À travers ce plafonnement, les pays occidentaux veulent porter un nouveau coup dur aux finances de Moscou en limitant ses moyens de poursuivre sa guerre contre l’Ukraine. Cela passera d’abord par l’entrée en vigueur lundi de l’embargo européen sur le pétrole russe acheminé par voie maritime, lequel intervient plusieurs mois après celui déjà décidé par les États-Unis et le Canada.

    Avec cet embargo, l’UE, cornaquée par l’hystérique Van der Layen, espère supprimer les deux tiers de ses achats de brut à la Russie. L’Allemagne et la Pologne ayant par ailleurs décidé d’arrêter leurs livraisons via un oléoduc d’ici à la fin de l’année, les importations russes totales seront touchées à plus de 90%, affirment les Européens, premiers clients de Moscou jusqu’à présent.

    La Russie a affirmé samedi 3 décembre qu’elle «n’acceptera pas» le plafonnement du prix de son pétrole après que l’Union européenne, le G7 et l’Australie se sont mis d’accord la veille sur un tel mécanisme qui pourrait limiter les moyens de Moscou pour financer son offensive en Ukraine.

    Le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov a balayé cette nouvelle sanction en déclarant que Moscou s’était «préparé» en amont «pour un tel plafond», sans donner plus de détails.

    Un peu plus tôt ce samedi, la présidence ukrainienne a assuré que l’économie russe «sera détruite» par l’introduction prochaine du plafonnement du prix de son baril de pétrole à 60 dollars.

    «Nous atteignons toujours notre objectif et l’économie de la Russie sera détruite, et elle paiera et sera responsable de tous ses crimes», a indiqué sur Telegram le chef de cabinet de la présidence ukrainienne, Andriï Iermak, selon qui «il aurait toutefois fallu abaisser (le prix plafond) à 30 dollars pour la détruire plus rapidement».

    Selon l’agence de presse Reuters, la Chine et l’Inde n’ont pas pris part à l’initiative du G7. Sachant que la Russie, deuxième exportateur mondial de brut, avait prévenu qu’elle ne livrerait plus de pétrole aux pays qui adopteraient ce plafonnement.

    La Russie a tiré 67 milliards d’euros de ses ventes de pétrole à l’UE depuis le début de la guerre en Ukraine, tandis que son budget militaire annuel s’élève à environ 60 milliards, rappelle Phuc-Vinh Nguyen, un expert des questions énergétiques à l’Institut Jacques-Delors.

     

    Source : medias-presse.info

  • BRICS : La Russie et l’Inde liquident le dollar

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2022

    lesmoutonsrebelles

    Les portes des pays membres du BRICS sont ouvertes à la Russie et elles offrent à Moscou la possibilité de surmonter les effets des sanctions.

    M. Anand a également souligné que le gouvernement indien se considère comme un pays neutre dans l’actuelle guerre des sanctions entre l’Occident et la Russie et continuera à coopérer avec Moscou dans tous les domaines malgré la pression des sanctions.

    Lorsque l’opération militaire russe en Ukraine a commencé, la pression sur l’Inde s’est naturellement accrue pour arrêter l’importation de pétrole russe, mais le ministre indien des Affaires étrangères a rejeté ce type de pression.

    Le groupe BRICS comprend actuellement le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud (le terme BRICS est formé en combinant les premières lettres des noms anglais de ces pays).

    30% de la production brute et 40% de la population mondiale sont définis dans les BRICS.

    L’Iran et l’Argentine ont officiellement demandé leur adhésion à ce groupe début juillet de cette année, ce qui a été bien accueilli par les membres du BRICS.

    Dmitri Medvedev, le chef adjoint du Conseil de sécurité russe, a appelé en juillet à l’échange de nouveaux moyens de paiement pour contrer les sanctions américaines et occidentales ; y compris l’utilisation de monnaies nationales telles que le rouble russe, le yuan chinois et la roupie indienne.

    Les médias indiens ont annoncé le 31 août que les cartes du système de paiement russe « Mir » seront probablement acceptées dans le système bancaire indien, et la Russie, en revanche, prendra probablement des mesures pour accepter les cartes de paiement en roupie indienne (Rupay).

    source : AlAhed

  • Le Conseil des droits humains de l’Inde dépose une plainte contre Bill Gates et ses alliés pour génocide. Deux campagnes de “vaccination” sont concernées.

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2021

    Auteur : 

    bill gates,inde,plainte,vaccins

    Le 30 juin 2021, Haji Shaikh, le secrétaire général du “Human rights council of India”, a déposé une plainte contre la fondation Bill et Melinda Gates (BMG) et ses alliés de GAVI (Alliance internationale pour les vaccins, soutenue notamment par BMG, l’OMS, l’UNICEF et la Banque mondiale), contre le Conseil indien de la recherche médicale (Indian Council of Medical Research, en abrégé ICMR), le Dr Fauci,  Tedros Adhanom Ghebreyesus (directeur général de l’OMS), le Dr Soumya Swaminathan, chef scientifique de l’OMS, Zuckerberg, chef exécutif de Facebook, Dorsey, chef exécutif de Twitter, You tube, Kejriwal, ministre en chef de l’ Etat de Delhi (l’un des Etats de l’Inde) ainsi que d’autres accusés, pour avoir mis en place un complot (“Conspiracy dans le texte de la plainte”) visant à “créer un marché permanent pour leurs vaccins et autres médicaments”.

    Plus précisément, le “Human rights council of India” accuse les prévenus d’avoir produit des données mensongères, supprimé de manière malhonnête des données réelles, “tordu” des faits matériels, produit des théories du complot, préparé des politiques visant à empêcher la diffusion de la vérité et l’accès à une information vraie, supprimé des informations scientifiques originelles de You Tube et de Twitter, publié des “facts check” pour contrer la vérité, semer la confusion et décourager les scientifiques et les médecins qui possèdent des données scientifiques.

    Les prévenus sont aussi accusés d’avoir manoeuvré pour prendre le contrôle des agences de santé gouvernementales (ils y sont malheureusement souvent parvenus!) pour que les politiques de ces agences servent leurs intérêts ultérieurs et d’avoir permis que des personnes meurent en s’assurant qu’elles ne pourraient pas avoir accès à des médicaments tels que l’Ivermectine, l’hydroxychloroquine, la vitamine D3, etc. et aux traitements de naturopathie.

    Ils sont aussi accusés d’avoir diffusé la peur pour faire croire que les vaccins étaient la seule solution pour sauver des vies et obtenir une autorisation en urgence de “vaccins” non approuvés. Par ailleurs, ils ont agi pour caché les effets dangereux de ces vaccins et réduire artificiellement le nombre de morts qu’ils ont provoqués (recensement insuffisant de ces morts). Néanmoins, rien qu’aux Etats-Unis, 4 863 morts avaient déjà été enregistrés le 24/5/2021 des suites d’effets indésirables graves des “vaccins” contre le sars-cov 2. Ces effets graves étaient déjà au nombre de 195 000.

    Enfin, la plainte rappelle que Bill Gates a déjà été jugé coupable par le 72e rapport du Comité Parlementaire de l’Inde, publié le 28/8/2013, pour avoir fait des essais de vaccins SANS AUTORISATION, essais qui ont provoqué la mort de 8 écolières. Ces vaccins étaient censés lutter contre le papillonavirus humain (HPV).

    L’association du barreau indien (une association d’avocats) est chargée de défendre cette plainte en justice.

    Espérons que cette plainte aboutira à une enquête sincère et à la condamnation des coupables.

    N’oublions pas de prier en ces temps difficiles.

     

    La plainte en anglais est disponible à l’adresse suivante: http://www.francesoir.fr/sites/francesoir/files/20210706_fs_hrsc_complaint.pdf

     

    G. Paume

     

    Source : medias-presse.info

  • L’Inde à l’offensive en Afrique francophone

    Publié par Guy Jovelin le 31 juillet 2019

    Par  le 31/07/2019

    Le président indien Ram Nath Kovind est en visite officielle cette semaine dans trois pays africains jamais visités par les autorités de New Delhi : le Bénin, la Gambie et la Guinée. Pour ce journal burkinabé, l’Inde “passe à l’offensive diplomatique” sur un continent aussi courtisé par son rival chinois. […]

    Ces quinze dernières années, le commerce entre l’Inde et l’Afrique a plus que décuplé, faisant de New Delhi le quatrième partenaire commercial de l’Afrique. Traditionnellement, les investissements indiens restaient limités à l’Afrique anglophone (pays d’Afrique australe et de l’Est) en raison du nombre élevé de diasporas indiennes dans cette région, mais New Delhi accroît désormais son influence dans la zone africaine francophone.

    Pour le quotidien de Ouagadougou, “le moins que l’on puisse dire, c’est qu’après le sommet Inde-Afrique de 2015, organisé dans la capitale indienne, les autorités de New Delhi semblent passer à l’offensive diplomatique sur le continent noir, où Occidentaux, Chinois et Japonais ont visiblement pris une longueur d’avance sur le géant asiatique”.

    Courrier International via fdesouche

  • Vente de Rafale à l’Inde : la France a annulé le redressement fiscal de 144 millions d’euros d’un homme d’affaire indien

    Publié par Guy Jovelin le 14 avril 2019

    Par  le 14/04/2019

    En 2015, la France a annulé un redressement fiscal visant une entreprise appartenant à un homme d’affaires proche du Premier ministre indien, Narendra Modi, au moment où se négociait la vente de 36 avions de combat Rafale à l’Inde, révèle Le Monde ce samedi. Selon le quotidien, « le litige a été réglé entre février et octobre 2015, au moment même où l’Inde et la France négociaient la vente des trente-six avions de combat ».

    L’entreprise française Reliance Flag Atlantic France, détenue par l’homme d’affaire Anil Ambani, connaissait à l’époque des faits « de gros soucis financiers » et sa solvabilité était mise en péril par une importante dette fiscale, selon le journal. Elle était sous le coup de deux redressements fiscaux d’un montant total de 151 millions d’euros. Un contentieux finalement réglé par un paiement de 7,6 millions d’euros, soit une économie de 143,7 millions d’euros d’impôts. [….]

    Dans un communiqué relayé par la presse indienne, le groupe Reliance a démenti « tout favoritisme et bénéfice » tirés de son accord avec le fisc français. [….]

    bfmtv via fdesouche