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wokisme - Page 2

  • Wokisme : un médecin écossais qui voulait donner son sang a été refoulé car il refusait de répondre à la question “êtes-vous enceinte?”

    Publié par Guy de Laferrière le 13 avril 2023

    Un médecin généraliste a été empêché de donner son sang au NHS écossais après avoir refusé de confirmer s’il était ou non enceint(e).

    Steffen McAndrew, qui travaille à Prestwick, dans le South Ayrshire, a déclaré qu’il avait été refoulé d’un centre de don du sang situé dans la ville voisine d’Ayr après avoir refusé de répondre à une question “farfelue” sur le fait qu’il portait ou non un enfant.

    Le Service national écossais de transfusion sanguine (SNBTS) a déclaré que la question avait été introduite il y a un an pour la “sécurité des donneurs”, chacun étant censé confirmer s’il est enceinte ou l’a été récemment, quel que soit son sexe.

    Le service a déclaré qu’il mettait à jour la formulation de son formulaire, à la suite d’une réaction négative, mais qu’il prévoyait toujours de demander aux donneurs masculins de répondre à la question de savoir s’ils étaient enceintes ou non.

    Le Dr McAndrew a déclaré qu’il donnait régulièrement du sang avant la pandémie, mais qu’il avait pris un nouveau rendez-vous pour donner du sang à la Belmont Academy mardi, pour la première fois depuis que Covid avait frappé.

    Cependant, une infirmière lui a annoncé qu’il ne pourrait pas effectuer le don après qu’il refusa de répondre à la question de s’il allait bientôt accoucher, question qu’il soupçonne d’avoir été incluse pour les hommes afin de “calmer et d’apaiser la brigade du genre”.

    Certains militants transgenres insistent sur le fait qu’il est possible pour les hommes de tomber enceinte, car ils pensent que les hommes transgenres, qui sont biologiquement des femmes, sont littéralement des hommes.

    C’est un euphémisme de dire que c’est fou !
    Cependant, le Dr McAndrew a déclaré qu’il était un homme et que “par conséquent, je ne peux pas être enceint(e)”.

    Le Dr McAndrew a déclaré au Herald : “Je n’arrive pas à croire qu’ils refusent le don d’un homme parce que j’ai refusé de dire si j’étais enceint(e).

    Je peux également comprendre ceux qui ont suggéré de “juste cocher la case” pour permettre un don. Mais c’est une question de principe.

    “Dire que cela est absurde est un euphémisme. J’ai le sentiment tenace qu’il s’agit d’un politiquement correct poussé à l’extrême, qui tente de calmer et d’apaiser la brigade du genre.

    “Je suis un fervent partisan du service de transfusion sanguine. Il est vital pour le fonctionnement quotidien du NHS. Mais je pense vraiment qu’ils se tirent une balle dans le pied avec ça.

    “C’est un problème fondamental au sein du NHS (et de la société) que le bon sens ait été perdu, oblitéré”.

    […]

    The Telegraph via fdesouche

  • Markus Soeder, chef de la CSU et ministre-président de Bavière : « La Bavière est différente de Berlin : nous rejetons le wokisme, la cancel culture et l’obligation du parler genré. Chez nous, on a le droit de manger ce qu’on veut et de dire ou de chanter

    Publié par Guy de Laferrière le 26 février 2023

     

     

  • Révisionnisme et wokisme américain : Black Panther, Wakanda forever, un film de science fiction, qui accuse la France de piller le Mali

    Publié par Guy de Laferrière le 24 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Un film qui insulte la mémoire des soldats français

    qui sont morts pendant la guerre du Sahel.

    Voici comment les studios Disney-Marvel nous présentent ce film qui est une charge ignoble, injuste et insultante contre la France :

    « Dans “Black Panther: Wakanda Forever” de Marvel Studios, la Reine Ramonda, Shuri, M’Baku, Okoye et les Dora Milaje se battent pour protéger leur nation de l’intervention des puissances mondiales suite au décès du Roi T’Challa. Alors que le peuple s’efforce d’aller de l’avant, nos héros vont devoir s’unir et compter sur l’aide de la mercenaire Nakia et d’Everett Ross pour faire entrer le royaume du Wakanda dans une nouvelle ère. Mais une terrible menace surgit d’un royaume caché au plus profond des océans : Talokan.

    Ce second chapitre des péripéties de Black Panter, film dédié à un héros afro-américain sorti en 2018,  vient de dépasser les 3 millions d’entrées en France. Il va largement contribuer au lavage de cerveau des spectateurs français – ou vivant en France – à qui l’éducation nationale a déjà appris à faire repentance sur notre passé colonial.

    En effet, notre pays y est ouvertement accusé de piller le Mali. Nos confrères de l’incorrect.org nous livrent l’analyse d’un phénomène inédit dans la guerre de l’information avec Loup Viallet, économiste et géopolitologue, auteur de La Fin du franc CFA (2020) et d’Après la paix (2021).

    Qu’avez-vous pensé des scènes de Black Panther : Wakanda forever où est représentée la France ?

    Les scènes que j’ai vues de cet opus de Black Panther sont gravissimes. Wakanda Forever est un film révisionniste, une fake-news superproduite à l’américaine. Sous couvert de science-fiction, il fait directement écho à la guerre du Mali, dont il livre une interprétation ahurissante.

    La France y est représentée comme une puissance néocoloniale qui fait intervenir ses mercenaires au Mali sur un motif fallacieux afin de pouvoir y piller un métal fictif rare, le « vibranium ».

    Le film met ainsi en scène une accusation directe de la France par la reine du Wakanda à l’occasion d’un sommet des Nations-Unies imaginé à Genève, ainsi qu’une tentative de raid des forces armées françaises sur un centre de traitement du vibranium (qui ressemble furieusement, à l’uranium, métal non rare importé par l’industrie nucléaire française en toute régularité depuis le Niger, le Kazakhstan et le Canada), situé au Mali. […]

    Les scénaristes servent-ils une vision politique ? 

    Le précédent opus Black Panther portait déjà un discours extrémiste sur les relations internationales et sur le continent africain en particulier, le Wakanda étant dépeint comme le modèle fictif d’un pays africain qui n’aurait pas connu la colonisation. Le parti pris de Disney était clair : sans l’Occident, l’Afrique serait le continent le plus développé du monde.

    Wakanda Forever s’inscrit dans cette vision néo-coloniale complètement mythifiée de l’Afrique et cible particulièrement la France en portant à l’écran devant des dizaines de millions de spectateurs les plus grands mensonges de la désinformation anti-française en Afrique. […]

    C’est la convergence des luttes entre le wokisme de Disney, les mensonges des panafricanistes, les hallucinations des décoloniaux et des indigénistes, et la propagande anti-française du colonialisme russe en Afrique. La sortie en salles de Wakanda Forever donne une résonance mondiale à tous ces conspirationnismes.

    Comment situer ce phénomène dans la guerre de l’information ? 

    Wakanda Forever a déjà réuni plus de trois millions de spectateurs en France. Considérant que le précédent opus avait rencontré l’un des plus grands succès au box-office de l’histoire du cinéma, l’on peut être certain que cet épisode-ci aura des répercussions catastrophiques. Il légitime la haine de la France partout dans le monde, justifie les mouvements communautaristes à l’intérieur de notre pays, justifie les actions de déstabilisation menées contre notre pays, ses représentants et ses ressortissants à l’extérieur de nos frontières, il nie ouvertement la réalité de la guerre du Sahel, contribue à renforcer la junte malienne… Il insulte enfin la mémoire des soldats français qui sont morts pendant la guerre du Sahel, en présentant comme des terroristes et des voleurs ceux les qui ont combattu […].

    C’est un nouveau coup porté contre la France par un pays, les USA, qui se dit être notre « ami ». Le « révisionnisme » frappe parfois là où on ne l’attendait pas…

    Macron devrait, au moins, exiger des autorités américaines qu’elles fassent des excuses aux familles des soldats tués pour protéger un pays, ou plutôt ses dirigeants corrompus,  qui finalement, ne le méritaient pas.

    Source : incorrect.org

  • Race, genre, wokisme et… sorcières : Sciences Po Reims sous emprise américaine 

    Publié par Guy Jovelin le 03 octobre 2022

    Sur le campus de Reims, qui dépend de Sciences Po Paris, quinze cours évoquent la question de la race, affichant la volonté d’”américaniser” les enseignements dans cet IEP.

    (…) Derrière ces suggestions qui n’ont rien à envier aux plus radicales des universités américaines, nulle organisation ou entreprise extérieure… Mais des étudiants de Sciences Po, réunis dans le collectif Pour Nous, rassemblant diverses associations présentes en premier lieu sur le campus de Reims, l’une des antennes délocalisées de la prestigieuse école de sciences politiques. Pap Ndiaye, actuel ministre de l’Education nationale, y donnait d’ailleurs des cours il y a encore quelques mois. Sciences Po aime à le présenter comme son “campus sorti tout droit de Harry Potter”, mais son atmosphère lorgne plutôt de l’autre côté de l’Atlantique. Un coup d’oeil sur la maquette pédagogique montre d’ailleurs que, deux ans plus tard, les demandes du collectif Pour Nous sont quasiment déjà en application dans son programme “Euro-Américain”, un cursus enseigné majoritairement en anglais. De nombreux cours portent désormais sur les questions des minorités aux Etats-Unis, parfois dans une perspective comparée avec la France.

    Un enseignement obligatoire d’”humanités”, portant sur “la race, l’égalité, la discrimination et la discrimination positive”, figure au programme de chacun des deux semestres de l’année. Au total, en première année, la maquette ne propose donc pas moins de 15 cours portant principalement sur les questions raciales, contre 13 consacrés à l’histoire, la science politique ou les mathématiques. Bien sûr, chaque étudiant ne suit pas l’ensemble de ces 15 cours, répartis entre différentes options. Dans le détail, au premier semestre de la première année, chaque élève suit soixante heures d’économie, soixante heures d’institutions politiques, quarante-huit heures d’histoire et entre vingt-quatre et trente-six heures sur les questions raciales. Il y a les vingt-quatre heures de cours obligatoires sur les discriminations, plus douze heures à choisir entre différentes options. Dans ces dernières, quatre des neuf cours proposés au premier semestre portent sur la race, à savoir “Figures des minorités à l’écran, quand le cinéma s’insurge contre l’injustice”, “La recherche du respect : la démocratie américaine confrontée à l’héritage de la race et de l’inégalité” ou encore l’analyse “comparée des études raciales et ethniques en France ou aux Etats-Unis”.

    (…) En première année, un étudiant de Sciences Po Reims suit donc entre quarante-huit heures et soixante-douze heures de cours sur les questions raciales et les discriminations. S’il veut approfondir encore ses connaissances sur un autre sujet phare des études sur “l’intersectionnalité des luttes”, il peut aussi opter pour un “séminaire exploratoire” de vingt-quatre heures, portant sur le “genre, la paix et la sécurité”, se questionnant sur “ce qu’est le genre et pourquoi il compte dans les relations internationales”. Dans ce cas, il aura en tout quatre-vingt-seize heures consacrées aux thématiques “intersectionnelles”, à mettre en perspective avec les deux cent quatre-vingt-huit heures de cours “traditionnels”, auxquelles il faut encore ajouter vingt-quatre ou quarante-huit heures de cours de langues supplémentaires.

    (…) Pourquoi plus spécifiquement à Reims, justement ? L’explication se trouve dans son corps étudiant. “Ce qui se joue là, c’est le caractère international de Sciences Po. Son public, en particulier américain à Reims, est en demande de ce type de contenus, poursuit notre ex-membre de la direction. On est moins face à une prescription de Sciences Po que face à un désir des étudiants.” Des exigences auxquelles la grande école a entendu répondre. “Je préfère que les étudiants se cognent les questions qui les préoccupent sur les discriminations raciales pendant les cours, qu’ils se forment là-dessus pour cerner le débat, et qu’on passe ensuite à autre chose, plutôt qu’ils s’en saisissent entre eux de façon totalement désordonnée”, reprend notre interlocuteur.

    Mieux former, pour éviter d’éventuelles mauvaises interprétations. Une intention compréhensible, qui n’empêche pas des accrocs sur le campus de Reims, ni l’idée, en creux, que Sciences Po pourrait faire par moments la promotion d’un modèle plus “multiculturaliste” que l’universalisme français. 

    (…) L’Express via fdesouche

  • Le wokisme des entreprises inclusives crée un effet repoussoir sur des salariés et candidats au recrutement

    Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2022

    L’esprit woke de certaines entreprises crée un effet de repoussoir pour certains salariés. Quitte à changer d’emploi, ou interrompre un processus de recrutement.

    «Recherche directeur.trice de communication, qui sera en relation quotidienne avec les chef.fe.s de l’équipe sale». Dans leurs annonces de recrutement, certaines entreprises annoncent la couleur. […]

    Ce sabir surfant sur une vague woke finit par exaspérer des salariés, las de cette bannière idéologique revendiquée par leur direction, parfois de façon péremptoire, et avec laquelle ils ne se sentent pas alignés. Quitte à ne pas poursuivre un processus de recrutement, changer d’entreprise, ou rester, mais en refusant d’utiliser cet inclusivisme linguistique. […]

    Le recruteur RH d’une boîte de développement de logiciels lui demande par mail par quel pronom il souhaite être appelé pendant l’entretien: «elle», «il», «iel», ou bien s’il a une autre proposition. […]

    «J’ai abandonné le processus de recrutement, témoigne-t-il. Ce genre de demande reflète l’état d’esprit de la boîte qui veut surfer sur la vague “woke” à l’américaine des Gafam (acronyme de Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft, NDLR). Je ne me projette pas du tout dans une boîte où tout est fliqué». […]

    Le Figaro via fdesouche