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patrons

  • Les patrons des industries d’armement françaises, ce sont les Arabes

    Publié par Guy de Laferrière le 12 novembre 2022

    lesobservateurs

    Si le conflit russo-ukrainien se produisait en France (via l’attaque d’un autre pays contre notre patrie), Macron et ses sbires, à bout de souffle, seraient obligés de solliciter le Qatar et les émirats arabes unis, qui ont racheté la quasi-totalité des industries d’armement français. Vous imaginez un instant le scénario ?

    Un an après l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, le fabricant de machines de munitions Manurhin, ex-fleuron de l’armement français, a été cédé au groupe de défense des Emirats Arabes Unis Edic (Emirates Defense Industries Company).

    Mulhouse : Manurhin repris par un groupe de défense des Emirats …

     

    Dès l’annonce, après que d’autres entreprises soient tombées dans l’escarcelle des monarchies arabes les plus radicales, qui financent la construction de mosquées intégristes en France, la rédaction de Riposte Laïque a dénoncé ce scandale mettant en péril la sécurité nationale de notre pays.

    Mulhouse : l’armurier Manurhin bradé aux Emirats …

    https://ripostelaique.com/mulhouse-larmurier-francais-manurhin …

    Nous insistions à l’époque sur les défaillances de l’état, car aucun autre grand pays, de la Russie eux Etats-Unis n’auraient permis une telle mainmise sur un fleuron essentiel de notre armement, sur une entreprise stratégique qui fabrique les munitions flèches. Ce fut un coup dur pour l’industrie d’armement française ! Pire : un scandale. En plein mois d’août, alors que les deux tiers du pays sont en vacances, la chambre commerciale du tribunal de grande instance de Mulhouse (Haut-Rhin) a décidé « que le fabricant de machines de munitions Manurhin, ex-fleuron de l’armement français, fabricant historique des pistolets de la Police, sera repris par le groupe de défense des Emirats arabes unis Edic (Emirates Defense Industries Company) », selon le greffe de la juridiction joint ce 16 août par téléphone. Alors que plusieurs repreneurs français solides ou européens étaient sur les rangs. Fondé en 1919, Manurhin s’était rendu célèbre avec la fabrication des revolvers de la police nationale, activité aujourd’hui abandonnée au profit de la production de machines de cartoucherie. L’offre de reprise de l’émirati Edic prévoit de conserver 104 des 145 employés que comptait l’entreprise au moment de la mise en redressement judiciaire.

    Bien sûr, cette entreprise connaissait de grosses difficultés financières depuis trois ans. Société stratégique travaillant pour la Défense Nationale, Manurhin aurait dû être repris par l’État. Du moins, c’est ce qui se passe dans n’importe quel grand pays de l’Ouest, de l’Est ou du continent américain. Car, jusqu’à présent, Manurhin avait un actionnariat 100 % français.

    Les ateliers d’armement Manurhin à Mulhouse à l’époque où des salariés français fabriquaient sur place le fameux pistolet, les munitions pour nos mitrailleuses et nos chars. Repris par les Emirats arabes unis, suite à une décision du tribunal de Mulhouse, les fabrications ont été transférées dans le Golfe Persique.

    Le made in France résiste aux pétrodollars

    Le made in France résiste sur le terrain dans de très nombreux secteurs et s’ouvre petit à petit à des budgets plus raisonnables.

    Bien plus qu’une tendance, c’est un état d’esprit et la volonté de défendre ou de maintenir un savoir-faire français qui ont motivé les entreprises à s’implanter, à rester ou à relocaliser leurs productions en France.

    En matière d’armement, la société stéphanoise VERNEY-CARRON est l’une des rares entreprises de ce secteur à avoir résisté à la « mainmise » de l’étranger. La société stéphanoise VERNEY-CARRON, faiseur de fusils d’excellence depuis 1820, dont les actions sont admises aux négociations sur le marché Euronext Access à Paris a réussi à se protéger des ingérences étrangères. Son secret ? Une multitude de petits actionnaires français, souvent des chasseurs, et un capital réparti en 444 366 actions avec 856 090 droits de vote.

    Contacté par téléphone, un cadre dirigeant de Verney-Carron SA, qui préfère conserver l’anonymat, lâche, «Le scénario de Manurhin est inimaginable chez Verney-Carron, créée en 1820 par le quadrisaïeul du dirigeant actuel. La société Verney-Carron est une société française implantée à Saint-Étienne, capitale de l’armurerie française. Outre son activité pluriséculaire de fabrication d’armes de chasse par L’Atelier Verney-Carron (armes de chasse artisanales de luxe réalisées sur mesure) et La Manufacture Verney-Carron (large gamme de fusils et carabines de chasse fabriqués en série), Verney-Carron SA a su se diversifier pour proposer une solution globale à la létalité atténuée autour du Flash-Ball avec Verney-Carron Security et pour s’adresser aux marchés militaire et policier avec des armes précises et efficaces avec VCD (Verney-Carron Defense). »

    Dans les secteurs non militaires, en Alsace, les scientifiques mulhousiens de la biotech Cellprothera ont une longueur d’avance. En effet, ils ont mis au point une solution médicale révolutionnaire permettant de régénérer des tissus du cœur endommagés par un infarctus, grâce à l’injection de cellules souches récupérées via une simple prise de sang du patient (Actuellement en cours d’essai clinique phase 2). Une 1ere mondiale et Made in France pour laquelle il a fallu développer un automate permettant de démultiplier les cellules souches récoltées. C’est chose faite en collaboration avec différents partenaires français qui font de cette technologie et cette solution, une prouesse 100% française. Plus d’information ICI

    Dans le centre Val de Loire, à Saint Jean de la Ruelle, à côté d’Orléans, une entreprise fondée en 1931 innove sans relâche pour le confort thermique des maisons. Faisant évoluer ses gammes de produits au gré de l’évolution des styles de vie, les ingénieurs de l’entreprise Thermor conçoivent plus de 500 références design et connectées à consommation intelligente.

    En 2019, la marque presque centenaire, sort son dernier modèle de radiateur électrique nommé « Equateur 4 », labélisé d’Origine France Garantie. Une fierté pour le constructeur et ses équipes. Un savoir-faire bien français. Plus d’information ICI

    Enfin au bord du Rhône, depuis 1993, AST Groupe s’est construit dans l’objectif de devenir l’un des leaders de la construction en ossature bois. Pour cela ils ont développé une activité de promotion immobilière et de création de maisons neuves et d’appartements neufs dans toute la France. « Troisième constructeur de maison de l’hexagone, AST Groupe bénéficie désormais d’un rayonnement national au travers de ses 9 marques de maisons individuelles et d’une marque de studio de jardin / d’agrandissement de la maison et de bientôt 60 établissements franchisés. Son usine POBI à La Charité-sur-Loire (Nièvre, 58) est unique, les maisons en ossatures bois y sont construites et assemblées, ce qui est rare dans ce secteur. Elle symbolise l’innovation made in France au service de la construction » nous précise Antoine Monnier de l’Agence Médiatiser.TV . Plus d’informations ICI

    On l’a compris, à la lumière des explications passionnées fournies, les prédateurs de tout poil s’acharnent pour dépecer la France. Heureusement, certaines entreprises résistent.

  • Neuilly-sur-Seine (92) : un Sri-Lankais, employé de maison, empoisonnait ses patrons depuis des années

    Publié par Guy Jovelin le 12 juin 2019

    Par  le 12/06/2019
    Un employé de maison a-t-il empoisonné, pendant des années, les couples chez qui il travaillait ? C’est en tout cas ce que soupçonne la justice qui vient de mettre en examen et d’écrouer cet homme de 59 ans, arrivé en France en 1982. A la fin 2018, un couple de Neuilly, dans les Hauts-de-Seine, a porté plainte, soupçonnant cet homme de leur avoir fait ingérer, à travers la nourriture, «des somnifères et d’autres substances toxiques », selon le parquet de Nanterre. […]

    C’était un peu l’homme à tout faire, a priori bien sous tout rapport, qui avait la confiance et les recommandations de ses employeurs, de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) à Paris. Les enquêteurs ont retrouvé trois autres de ses employeurs. Il s’agit de trois familles parisiennes, des couples d’une soixantaine d’années et des personnes âgées voire vulnérables de 80 ans environ. Et tous ont raconté souffrir des mêmes symptômes : malaises, absences, pertes de mémoire. […]

    20 Minutes via fdesouche