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pauvreté

  • Le Covid-19 enrichit les milliardaires et appauvrit le reste du monde

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2021

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    Deux rapports publiés la semaine dernière documentent la disparité considérablement croissante entre les personnes les plus riches du monde et le nombre croissant de familles vivant dans la pauvreté en raison des politiques gouvernementales COVID-19.

    Un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) des Nations Unies a révélé que «8,8% des heures de travail dans le monde ont été perdues par rapport au quatrième trimestre de 2019, ce qui équivaut à 255 millions d’emplois à temps plein». Cela équivaut à une perte d’emploi «environ quatre fois plus importante que lors de la crise financière mondiale en 2009.»

    Oxfam International a également publié un rapport, intitulé « The Inequality Virus », qui résume que «des centaines de millions de personnes sont contraintes de vivre dans la pauvreté tandis que de nombreux individus parmi les plus riches – individus et entreprises – prospèrent» grâce aux politiques COVID-19 mises mis en place par les gouvernements du monde entier.

    «L’impact sera profond», a déclaré Kristalina Georgieva, directrice générale du FMI, «avec une inégalité accrue menant à des bouleversements économiques et sociaux: une génération perdue dans les années 2020 dont les séquelles se feront sentir pendant des décennies à venir.»

    Oxfam, une organisation de gauche consacrée à «lutter contre les inégalités pour mettre fin à la pauvreté et à l’injustice», a fondé ses conclusions sur une enquête menée auprès de 295 économistes dans 79 pays, où «87% des personnes interrogées s’attendaient à ce que les inégalités de revenu dans leur pays augmentent ou augmenter fortement en raison de la pandémie. »

     

    Source : medias-presse.info

  • Hausse massive de la pauvreté en France.

    Publié par Guy Jovelin le 13 novembre 2020

    france,pauvreté

    L'avis de Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
    Dans son rapport annuel, le Secours catholique indique que la France se prépare à franchir la barre des dix millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, soit un million de plus qu'en 2018.
     
    Ce chiffre déjà dramatique ne mesure pas encore totalement les ravages économiques et sociaux que va inévitablement induire la gestion aberrante de la crise sanitaire, avec pour conséquences l'explosion des faillites dans les secteurs de la restauration, du tourisme et du commerce, la fermeture de milliers de petites et moyennes entreprises, la mise au chômage prochaine de centaines de milliers de nos compatriotes et la précarisation d'un nombre incalculable de familles. Elle ne prend pas non plus en compte la réduction drastique du pouvoir d'achat de ceux qui auront la chance de conserver leur travail ni des retraités lorsque viendra le temps de rembourser les dettes, ce qu'il faudra bien, quoiqu'en disent les "rassuristes" financiers, faire un jour.
     
    Dans cette tragédie sociale qui vient, la responsabilité de Macron est pleinement engagée, lui qui n'a ni su ni voulu réduire les dépenses de l'Etat hors devoirs régaliens, en finir avec les coûts exorbitants des fraudes, du gaspillage et de l'immigration, autant de dépenses indues qui auraient pu être consacrées à la diminution des taxes, à la relance de l'emploi et à un vrai effort social en direction des plus défavorisés de nos compatriotes.
     
    Mais le désigner comme seul coupable serait oublier les vraies causes de cet effondrement: la désindustrialisation de la France voulue par le système financier international, acceptée par les dirigeants français et mise en oeuvre docilement par le régime; les délocalisations massives exigées par le patronat; l'ouverture totale de nos frontières dans une concurrence faussée et déloyale; le coût ruineux pour nos finances publiques de l'immigration ; la soumission de tous nos gouvernements depuis quarante cinq ans à la doxa mondialiste et, depuis deux décennies, au globalisme absolu; la logique mortifère du capitalisme mondial, spéculatif, vorace et cupide tel que nous venons de le voir à l'œuvre avec la fermeture de l'usine de pneus Bridgestone de Béthune dans le Pas-de-Calais et la destruction de 863 emplois dans l'indifférence gouvernementale.
     
    Notre libéralisme à nous est national et européen. Il suppose la libre concurrence, mais dans la protection de nos marchés. Un libéralisme entrepreneurial tempéré par le rôle stratégique de l'Etat et le souci constant de l'équité pour tous les Français, des équilibres territoriaux et de la sauvegarde des services publics. Un libéralisme social, enfin, avec pour ligne de référence magnétique la recherche constante de l'intérêt général guidée par l'affirmation des principes de préférence et de priorité nationales.