Publié par Guy de Laferrière le 06 janvier 2023
prisons
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Nationalité étrangère la plus courante dans les prisons de chaque pays européen.
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Prisons françaises : Une lettre ouverte adressée à Élisabeth Borne par plus de 640 signataires, dont des députés LFI, réclame l’accès à Internet pour les détenus
Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022
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Internet en prison pour les détenus : c’est ce que réclament plus de 640 signataires d’une lettre ouverte adressée, ce mercredi 28 septembre, à la Première ministre, Élisabeth Borne. Parmi eux : l’Observatoire international des prisons (OIP), la Ligue des droits de l’homme, le Secours catholique, la CGT insertion-probation, l’Association nationale des juges de l’application des peines, de nombreux avocats et visiteurs de prison.Parmi eux, des responsables d’associations et de structures d’insertion, des conseillers de probation, des avocats, des magistrats et plusieurs députés dont Ségolène Amiot (LFI), Ugo Bernalicis (LFI) et Arthur Delaporte (PS).
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Coronavirus : « Nous allons distribuer 100.000 masques en prison », annonce Nicole Belloubet
Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2020
Nicole Belloubet (évidemment socialiste), la ministre de la Justice, dévoile pour « 20 Minutes » les mesures mises en place dans les prisons pour éviter la propagation du coronavirus
- En raison de l’épidémie du coronavirus et du risque de propagation, les parloirs vont être suspendus à partir de ce mercredi dans les prisons de France.
- Pour éviter un risque de mutinerie dans les établissements, Nicole Belloubet appelle les détenus « à la responsabilité ».
- Pour rassurer les personnels, elle annonce également la distribution de 100.000 masques dans les jours à venir.
C’est devenu un rituel. Tous les soirs, Nicole Belloubet, la ministre de la Justice, participe à une réunion en visioconférence avec les responsables de l’administration pénitentiaire. Le but ? Faire le point sur la propagation de l’épidémie de coronavirus derrière les barreaux. « Selon le dernier bilan, nous dénombrons un cas positif chez un détenu de la prison de Fresnes (Val-de-Marne). Et trois cas parmi le personnel de l’établissement : deux infirmières et la directrice des ressources humaines », révèle-t-elle ce mardi à 20 Minutes.
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Prison : des téléphones fixes dans chaque cellule d’ici 2021
Publié par Guy Jovelin le 27 février 2020
Début 2021, toutes les prisons de France seront équipées. Ces appareils permettent seulement d’appeler des numéros autorisés.
C’est une petite révolution qui prend place derrière les grilles et les barreaux des prisons françaises. D’ici au début de l’année 2021, chaque cellule des 188 établissements pénitentiaires français sera équipée d’un téléphone fixe. Ces appareils qui permettent uniquement de contacter des numéros autorisés, pourraient permettre de réduire l’intérêt des trafics de portables.
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Prisons françaises : les islamistes font la loi !
Publié par Guy Jovelin le 08 mars 2019
Rédigé par notre équipe le 07 mars 2019.
Vent de panique, mouvement de stupeur, on ne sait pas trop comment qualifier le énième rappel à la réalité que vient de se prendre le Gouvernement. Il y aurait des islamistes dans les prisons françaises et ces derniers auraient des envies de meurtres sur le personnel pénitentiaire ! La double agression à la prison d’Alençon – Condé-sur-Sarthe (Orne), ce mardi 5 mars, a finalement débouché sur la mort d’une islamiste, mais son mari d’agresseur va continuer de couler des jours heureux en prison au milieu de codétenus prêts à se radicaliser et de surveillants à poignarder. Bienvenue dans les prisons françaises !
La rédaction de 24 heures actu serait presque stupéfaite des événements qui se sont déroulés à la prison d’Alençon – Condé-sur-Sarthe. Un détenu radicalisé aurait été découvert au milieu de ses codétenus. Un détenu « marié religieusement » qui aurait profité de la visite de sa compagne pour se procurer des armes contendantes et les planter dans le corps de deux de ses gardiens. Une scène qui dérange par une violence qu’on aurait pu croire réservée aux seules rues de France où la plupart des islamistes courent toujours, un projet d’attentat en tête.
La prison, un lieu difficile où (sur)vivre pour le personnel pénitentiaire
Il y a dans nos rues énormément d’islamistes, de radicalisés, d’admirateurs de l’Etat islamique, appelez-les comme vous voudrez. Il y en a aussi quelques uns en prison. La faute à un juge qui a un peu trop suivi la loi à la lettre. Celui qui a condamné Michaël Chiolo à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir torturé et massacré un homme de 89 ans ne se doutait peut-être pas que l’assassin n’en avait pas terminé avec sa folie meurtrière. Ce que tous les acteurs du procès savaient pourtant est que ce Chiolo était à l’époque très religieux. Un chapelet à la main, il tournait son regard vers La Mecque… A croire qu’il n’a pas reçu la foi la plus tranquille car malgré sa religiosité, il a arraché la vie à un quasi-nonagénaire dans des conditions monstrueuses.
Arrivé en prison, il s’est fait des amis dont un certain Cherif Chekatt, le futur auteur de l’attentat meurtrier de Strasbourg (novembre 2018). Deux compères islamistes qui ont continué d’échanger une fois Chekatt libéré et donc libre de tuer dans les rues de France. Un destin qu’aurait pu avoir Chiolo, mais la volonté de tuer au nom d’Allah était trop forte alors sa compagne lui a ramené du matériel pour qu’il puisse faire périr deux gardiens de prison. Ils ne seront « que » blessés et auront le droit à un traumatisme psychologique à vie. Un islamiste prosélyte (redondance) libre de ses mouvements au milieu de tous les autres détenus, à qui ont donne un droit de visite maritale, c’est beaucoup de libertés pour un homme assoiffé de sang !
Et là notre chère ministre de la Justice débarque et se rend compte qu’il y a peut-être des « failles » et qu’une « inspection » doit faire la lumière sur toute cette affaire. Belloubet fait semblant de ne pas voir un passé pas si lointain. L’année dernière, un autre détenu islamiste avait tenté de tuer trois gardiens. Malgré les mouvements de colère des personnels de la pénitentiaire, rien n’a changé et rien ne changera non plus cette fois. Les surveillants sont condamnés à jouer le rôle de cibles pour des islamistes qui ne peuvent pas attendre leur prochaine sortie pour s’adonner à leurs envies de meurtre. Pas étonnant que les candidats à cette fonction ne se bousculent pas. Etre payé moins de 1 500 euros par mois pour éviter les coûts de couteau, autant ne pas traverser la rue comme l’exige l’autre.
Source : 24heuresactu