Publié par Guy de Laferrière le 24 juin 2024
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Publié par Guy de Laferrière le 24 juin 2024
Publié par Guy Jovelin le 26 juin 2020
On se souvient qu’à l’occasion du confinement, le ministre de l’injustice Nicole Belloubet avait décidé de faire libérer un certain nombre de détenus. Les conséquences ne se sont pas faites attendre très longtemps.
Le premier détenu à avoir bénéficié d’une libération anticipée grâce au Coronavirus vient d’être condamné pour un coup de couteau. Alors qu’il a une douzaine de mentions à son casier judiciaire, il était à nouveau devant la justice mardi 23 juin, en comparution immédiate, pour des violences aggravées par arme, un couteau, et en état d’ivresse manifeste. Le tout en état de récidive.
C’est aussi le ministre qui devrait faire l’objet de poursuites judiciaires.
FDesouche dresse une liste non exhaustive de ceslibérés « grâce au Covid » qui sont retournés en prison :
Les députés ont voté, dans la nuit du lundi 22 au mardi 23 juin, la proposition de loi « instaurant des mesures de sûreté à l’encontre des auteurs d’infractions terroristes à l’issue de leur peine ». Selon les chiffres dévoilés lundi par le ministre de la justice, 31 détenus condamnés pour des infractions terroristes sortiront de prison en 2020 après avoir purgé l’intégralité de leur peine, 62 autres en 2021 et 50 en 2022.
La disposition la plus débattue concernait la possibilité de placer sous une surveillance électronique mobile ces personnes. Le ministre était contre, mais les députés ont voté pour. Nicole Belloubet a estimé que cette mesure est disproportionnée :
« Il faut veiller à ce que les mesures que nous élaborons ne les enferment pas davantage encore dans leur misanthropie ».« Assurer un suivi électronique permanent d’une personne constitue une mesure particulièrement restrictive de liberté, disproportionnée pour une personne qui a déjà purgé sa peine ».
Rappelant que l’auteur de l’attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray était sous bracelet électronique, le ministre a affirmé que « c’est un leurre que de le considérer comme une solution de prévention idéale ». Certes. Autant les laisser en prison.
Source : lesalonbeige le
Publié par Guy Jovelin le 18 mars 2020
Nicole Belloubet (évidemment socialiste), la ministre de la Justice, dévoile pour « 20 Minutes » les mesures mises en place dans les prisons pour éviter la propagation du coronavirus
C’est devenu un rituel. Tous les soirs, Nicole Belloubet, la ministre de la Justice, participe à une réunion en visioconférence avec les responsables de l’administration pénitentiaire. Le but ? Faire le point sur la propagation de l’épidémie de coronavirus derrière les barreaux. « Selon le dernier bilan, nous dénombrons un cas positif chez un détenu de la prison de Fresnes (Val-de-Marne). Et trois cas parmi le personnel de l’établissement : deux infirmières et la directrice des ressources humaines », révèle-t-elle ce mardi à 20 Minutes.
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Publié par Guy Jovelin le 25 février 2020
Par Tancrède le 24/02/2020
La ministre de la Justice Nicole Belloubet a annoncé ce lundi que « 43 personnes » condamnées pour terrorisme devraient être libérées en 2020, au cours d’une interview sur RTL. Ils devraient être « une soixantaine en 2021 » à quitter leur cellule. Au total, la Garde des sceaux a assuré que d’ici 2023, ils devraient être 300 détenus à retrouver la liberté.
Ensuite, Nicole Belloubet a souligné que ces individus seront suivis par la justice. « Ils font l’objet d’une double mesure: un contrôle judiciaire qui fait qu’ils sont pris en charge à leur sortie et des mesures administratives de surveillance. […] Les services de renseignement les suivent de manière très précises » a-t-elle expliqué.
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