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racistes

  • Maroc, Algérie, Tunisie : pas un noir dans leur équipe. Pourquoi ? Ils sont racistes ?...

    Publié par Guy de Laferrière le 28 novembre 2022

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    Source : lafautearousseau

  • Et pendant ce temps-là, les antiracistes pompaient, pompaient…

    Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2021

    synthesenationale

    antiracistes,racistesLa chronique

    de Philippe Randa

    À notre époque de grandes dingueries en tous genres, l’antiracisme occupe une place de choix. Pour preuve, la « Déclaration d’Iéna », adoptée en septembre 2019 par l’Institut de zoologie et de recherche sur l’évolution de l’Université Friedrich Schiller, affirmant que « l’exclusion du terme race doit désormais faire partie de l’éthique scientifique ». Pourquoi ? Mais, ce serait bien sûr, parce que « le racisme a inventé les races » (sic) ! Pas évident ? Sauf à s’appeler Watson, peut-être.

    Toutefois, la suppression du mot « race » n’est pas sans tourmenter certains lobbyistes antiracistes, véritables shadoks de l’époque moderne, qui s’y opposent fermement, à l’instar de la sociologue Natasha A. Kelly, spécialiste du colonialisme et du féminisme, membre fondateur du Black European Academic Network (BEAN), une plate-forme pour les universitaires qui promeut la formation de réseaux pour la diffusion de l’histoire des Noirs européens : « Le terme juridique de “race” est un instrument nécessaire pour pouvoir lutter par le biais de la loi contre le racisme anti-noir. Il est donc indispensable d’adopter le terme “race” dans le vocabulaire de la résistance anti-raciste. »

    Difficile, en effet, d’être anti-raciste si les races n’existent pas… ou plus.

    Le toujours bien informé Observatoire du journalisme (OJIM) nous apprend à propos de l’intéressée que « Kelly met l’accent sur l’utilisation de la “race” comme catégorie sociale et non biologique. Son argumentation se résume à nier la réalité tangible – y compris sociale – et à modeler une réalité idéologisée jusqu’à fantasmer une “histoire allemande Noire (n majuscule dans le texte original)” et critique le fait que, “qui dit Allemand dit Blanc”. »

    Et d’ajouter : « Le daltonisme – que l’on retrouve dans la “Déclaration d’Iéna” – est unilatéral et aveugle à la réalité : il refuse d’accepter le fait que l’antiracisme s’est transformé en racisme contre les Blancs. »

    En attendant, laissons le mot de la fin au journaliste Nicolas Gauthier qui affirmait il y a peu sur Boulevard Voltaire : « Les racistes peuvent être souvent pénibles, mais parfois se reposent ; alors que les antiracistes, eux, ne comptent pas leurs heures… »

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  • Mathieu Kassovitz : “Dans 50 ans, il n’y aura plus de racistes, juste des poches de blancs séparatistes. On va tous se mélanger; le métissage est inévitable”

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2020

    (…) Mais faut pas confondre les choses. Il n’y avait pas de banlieusards parmi les Gilets jaunes. Les Gilets jaunes, c’est la France profonde, cela n’a rien à voir avec la banlieue, ni avec la brutalité policière. Il n’y a aucun rapport entre manifester pour vivre mieux et parce que le prix de l’essence a augmenté de 10 centimes et manifester parce que son frère s’est fait abattre par un flic dans un commissariat. C’est un privilège de blancs de pouvoir manifester dans la rue pour le prix du pétrole. Ceux qui sont vraiment dans la galère, ils manifestent pour des choses vraiment importante, ils se battent pour survivre.

    (…) Dans 50 ans, il n’y aura plus de racistes, juste des poches de blancs séparatistes. On va tous se mélanger; le métissage est inévitable. Et au bout d’un moment, cela ne fera même plus partie de la conscience commune de juger quelqu’un pour la couleur de sa peau, parce que tu sauras même plus de quelle couleur est sa peau.

    (…) La libre via fdesouche