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séquestration

  • Paris XIVe : comment une photo diffusée sur Snapchat a provoqué un rapt suivi de séquestration entre des lycéens

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mars 2023

    Les faits remontent à mai 2022. Un adolescent qui avait diffusé la photo d’un de ses camarades de classe du lycée parisien Raspail (XIVe) s’est vu réclamer 400 euros avant d’être enlevé… Quatre jeunes viennent d’être reconnus coupables par le tribunal pour enfants de Paris pour ce rapt suivi de séquestration, qui aurait pu se finir devant les assises.

    Une entourloupe sur fond de location de voiture et d’une caution chapardée, un adolescent qui envoie sur Snapchat la photo du jeune aigrefin qui est aussi son camarade de classe. Et une expédition punitive ponctuée d’humiliations qui se conclut par le paiement d’une « amende », autrement dit une rançon de… 400 euros pour la libération de Yanis (tous les prénoms ont été changés), 17 ans. Cet adolescent, élève du lycée Raspail (Paris XIVe), a vécu un enfer le 20 mai 2022. Pour ces faits, cinq lycéens ont été jugés fin janvier par le tribunal pour enfants de Paris. Quatre d’entre eux ont été reconnus coupables et seront fixés sur leur peine le 27 septembre 2023.

    Malmené, bousculé, giflé dans l’enceinte de son lycée

    Il est 10 heures ce jour-là quand Yanis est accompagné aux WC de son établissement scolaire par Mehdi, un camarade de classe. Un différend oppose les deux ados depuis que Mehdi a arnaqué un proche de Yanis en faisant l’intermédiaire pour une location de voiture. Il a bien empoché la caution de 1 000 euros. Mais il n’a jamais livré le véhicule. Questionné sur Mehdi par ses amis, Yanis diffuse une photo du compte Instagram de Mehdi sur le réseau social Snapchat, ainsi que des informations personnelles.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Séquestrations et viols de mineurs en série : l’un des plus riches PDG de France incarcéré

    Publié par Guy Jovelin le 24 mai 2022

    Zeramdine : Arrestation d'un individu pour viol et séquestration d'une  mineure de 14 ans - Kapitalis

    On apprend que Jacques Bouthier (75 ans), PDG d’Assu 2000 et l’une des plus grandes fortunes de France, a été placé en détention provisoire pour des faits particulièrement sordides.

    « Ce chef d’entreprise dans le domaine des assurances est placé depuis le samedi 21 mai en détention provisoire, mis en examen – entre autres – pour traite d’êtres humains mineurs, viols sur mineurs, et participation à une association de malfaiteurs en vue de commettre un enlèvement ou une séquestration en bande organisée.

    Après une minutieuse enquête qui a mobilisé une bonne partie des effectifs de la Brigade de Protection des Mineurs (BPM) de la PJ Parisienne, c’est tout un système qui a été découvert par les policiers.

    Selon les informations de RTL, une jeune femme de 22 ans s’est présentée aux policiers parisiens en mars dernier. Elle leur a expliqué que depuis 5 ans, elle était « captive » d’un homme richissime, qui la logeait dans un de ses appartements et la violait à plusieurs reprises. Pire encore, alors que selon ses dires, elle devenait « trop âgée pour lui », la jeune femme aurait été forcée de trouver une « remplaçante » pour prendre sa suite. C’est ainsi qu’une jeune fille de 14 ans aurait ensuite été logée dans cet appartement.

    La plaignante est parvenue à filmer le PDG et la jeune fille de 14 ans ensemble dans un lit. Cette vidéo a été confiée aux enquêteurs.

    L’histoire ne s’arrête pas là. Alors que le PDG est au courant de l’existence de cette vidéo, il va tenter de faire taire la plaignante. La justice le soupçonne d’avoir voulu mettre sur pied une équipe pour enlever la jeune femme, saisir la vidéo, et la forcer à quitter la France. Pour cela, le septuagénaire aurait sollicité sa femme, deux employés de sa compagnie, une jeune femme proche de la plaignante, ainsi qu’un ancien gendarme membre du GIGN.

    Tous les cinq ont été interpellés la semaine dernière, et mis en examen samedi pour « non-dénonciation d’agression sexuelle sur mineur, et participation à une association de malfaiteurs en vue de commettre un enlèvement ou une séquestration en bande organisée ». Ils ont été placés, eux aussi, en détention provisoire, a confirmé le Parquet de Paris auprès de RTL. Leurs rôles et leurs objectifs respectifs restent encore à déterminer à ce stade.

    Selon nos informations, les enquêteurs ont aussi retracé le passé de cet homme. Ils ont découvert l’existence d’au moins 7 jeunes femmes, mineures ou jeunes majeures, qui se sont succédé dans cet appartement. L’enquête a permis de déterminer qu’il s’agissait de jeunes filles aux profils similaires : désœuvrées ou fugueuses, en rupture avec leur famille ou la société.

    Toujours le même mécanisme en place, une fois atteint la vingtaine d’années, le PDG disait se désintéresser d’elles et leur demandait d’aller trouver une jeune fille plus jeune pour prendre leur place dans l’appartement. […] » (source RTL)

  • Lorient (56) : en pleine nuit, ils débarquent chez lui, violent sa compagne puis le séquestrent pendant quatre jours

    Publié par Guy Jovelin le 02 avril 2022

    À Lorient, séquestré pendant quatre jours, sa petite amie violée Réservé aux abonnés

    L’affaire, sordide, fait l’objet d’une information judiciaire ouverte par le parquet de Lorient, depuis un peu plus d’une semaine. Mais les faits remontent au début du mois de février.
    Selon nos informations, le soir du mardi 8 février, trois jeunes vingtenaires (un jeune couple et un copain) se trouvent dans l’appartement d’une amie, rue François-Le-Levé, dans le quartier de Kerfichant, à Lorient.

    Déchaînement de violence

    D’après les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, alors que le trio est couché, cinq hommes font irruption dans l’appartement, en fracassant la porte. Ils se dirigent droit sur T., la petite vingtaine, au lit avec sa petite amie.
    D’emblée, il subit une volée de coups : il lui est reproché une dette de stupéfiants, « de près de 30 000 euros », selon une source proche du dossier. Ils le soupçonnent également d’avoir « volé un fusil à pompe ». Ils le traînent dans le salon, où le déchaînement de violence se produit : T. est enchaîné, roué de coups de pied, frappé et étranglé avec une chaîne de vélo, inondé d’alcool et menacé d’être brûlé vif…

    Filmée pendant qu’elle est violée

    Pendant ce temps, l’un des assaillants, âgé de 29 ans, s’isole dans la chambre avec M., la petite amie de T. Il lui demande de lui faire un strip-tease, puis finalement, la viole, filme la scène avec son téléphone et la menace de tout diffuser sur les réseaux sociaux.
    Quant à L., le copain du jeune couple, il se fait voler sa carte bleue, code inclus. Retenu plusieurs heures, il est finalement remis en liberté le mercredi 9 février dans l’après-midi, tout comme la jeune femme. Elle quitte la région lorientaise « pour se protéger ».
    T., lui, est resté séquestré quatre jours. (…)

    www.letelegramme.fr via fdesouche