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lorient

  • Il agresse une festivalière pendant le Festival interceltique de Lorient : un migrant tunisien condamné à trois mois de prison ferme et à une OQTF

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

    Lors du Festival interceltique de Lorient, dans la nuit du 13 au 14 août, un homme a agressé sexuellement une femme. Ce mercredi 21 septembre, il a été condamné à trois mois de prison ferme.

    « Il lui a soulevé sa jupe et il a glissé sa main en dessous pour lui caresser les fesses », décrit la présidente. Le 14 août dernier, un trentenaire était placé en garde à vue après un concert du Festival interceltique de Lorient. Le 15 août, la préfecture a pris un arrêté avec obligation de quitter le territoire français, qui a été refusé par le prévenu. Il était jugé, ce mercredi 21 septembre, au tribunal judiciaire, à l’aide d’un interprète, étant Tunisien.

    (…) Télégramme via fdesouche

  • Lorient (56) : en pleine nuit, ils débarquent chez lui, violent sa compagne puis le séquestrent pendant quatre jours

    Publié par Guy Jovelin le 02 avril 2022

    À Lorient, séquestré pendant quatre jours, sa petite amie violée Réservé aux abonnés

    L’affaire, sordide, fait l’objet d’une information judiciaire ouverte par le parquet de Lorient, depuis un peu plus d’une semaine. Mais les faits remontent au début du mois de février.
    Selon nos informations, le soir du mardi 8 février, trois jeunes vingtenaires (un jeune couple et un copain) se trouvent dans l’appartement d’une amie, rue François-Le-Levé, dans le quartier de Kerfichant, à Lorient.

    Déchaînement de violence

    D’après les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, alors que le trio est couché, cinq hommes font irruption dans l’appartement, en fracassant la porte. Ils se dirigent droit sur T., la petite vingtaine, au lit avec sa petite amie.
    D’emblée, il subit une volée de coups : il lui est reproché une dette de stupéfiants, « de près de 30 000 euros », selon une source proche du dossier. Ils le soupçonnent également d’avoir « volé un fusil à pompe ». Ils le traînent dans le salon, où le déchaînement de violence se produit : T. est enchaîné, roué de coups de pied, frappé et étranglé avec une chaîne de vélo, inondé d’alcool et menacé d’être brûlé vif…

    Filmée pendant qu’elle est violée

    Pendant ce temps, l’un des assaillants, âgé de 29 ans, s’isole dans la chambre avec M., la petite amie de T. Il lui demande de lui faire un strip-tease, puis finalement, la viole, filme la scène avec son téléphone et la menace de tout diffuser sur les réseaux sociaux.
    Quant à L., le copain du jeune couple, il se fait voler sa carte bleue, code inclus. Retenu plusieurs heures, il est finalement remis en liberté le mercredi 9 février dans l’après-midi, tout comme la jeune femme. Elle quitte la région lorientaise « pour se protéger ».
    T., lui, est resté séquestré quatre jours. (…)

    www.letelegramme.fr via fdesouche

  • Lorient : un président d’association de 70 ans agressé puis menacé d’égorgement par un jeune homme venu abuser du système de dons avec sa mère

    Publié par Guy Jovelin le 24 octobre 2020

    […] « J’ai dû intervenir auprès d’une mère et de son fils de 25 ans. Normalement les familles sont limitées à dix vêtements, mais là chaque semaine ils viennent et repartent avec trois sacs… Il en faut pour tout le monde. » Jean-Yves Péron, président de Solidarité Lorient, prévient alors les bénéficiaires que la semaine prochaine, ils ne pourront pas avoir de vêtements. « Le jeune homme m’a poussé, je l’ai repoussé, j’ai pris un coup. Je me suis retrouvé par terre au milieu des portants de vêtements. […]

    Ouest-France

    […]Je me suis relevé le plus vite possible car j’avais peur de prendre de nouveaux coups ». Les personnes présentes s’interposent, mais le jeune homme menace alors de lui trancher la gorge par un geste de la main.

     

    Après cette agression, la vingtaine de bénévoles de l’association sont sous le choc. « On n’est pas là pour recevoir des coups. Nous sommes bénévoles, tous retraités. J’ai 70 ans. La bénévole qui était à côté de moi a 83 ans. C’est gratuit. On ne comprend pas ». […]

    Le Télégramme