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sarah el haïry

  • Champagne chez les progressistes, ils ont créé un nouvel orphelin

    Publié par Guy de Laferrière le 10 octobre 2023

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    Pendant qu’on nous excite sur des conflits en Russie ou en Palestine entre deux variants du Covid, la secte progressiste continue sa propagande.

    Aujourd’hui, c’est au tour du secrétaire d’Etat à la biodiversité, Sarah El Haïry, d’annoncer qu’elle est enceinte grâce à une « PMA sans père », puisque l’enfant naîtra au sein du « couple » qu’elle forme avec une autre femme, comme elle l’a « révélé » en avril dernier. Aujourd’hui, la secrétaire d’Etat et les serviles médias progressistes tombent d’admiration devant la création d’un orphelin de père, mais qui s’en soucie ? L’équilibre et le bien-être de l’enfant ne valent rien comparés au « droit à l’enfant » de ceux qui ont pourtant fait le choix d’un style de vie par définition stérile.

    Mais dans un pays qui traite le film Sound of Freedom comme le dernier des gags complotistes, qui assassine les enfants dans le ventre de leurs mères et qui considère comme arriérés ceux qui refusent qu’on apprenne aux enfants qu’ils peuvent choisir leur sexe quand et comme ils le veulent ou qui s’opposent aux spectacles de drag queens dans les écoles, bref, face à un régime objectivement infanticide et pédophile, on ne peut pas s’étonner que l’aberrant et capricieux « droit à l’enfant » soit infiniment supérieur aux nécessaires droits de l’enfant.

    Comme un symbole, Paris Match nous indique qu’il s’agit du premier bébé du Gouvernement Borne, alors que Sarah El Haïry est en couple avec une autre femme… Difficile de faire plus révélateur sur la nature stratosphériquement hors-sol des pitres parvenus qui se prennent pour nos élites.

    Opposé à la PMA sans père ou sans mère, opposé à la GPA, opposé à l’infâme IVG, le Parti de la France n’a pas de quoi faire rêver dans les salles de rédaction ou au ministère de la biodiversité, mais il a bien mieux que ça : l’honneur de ne pas sacrifier le combat pour la vie et la santé des innocents sur l’autel de la dédiabolisation et du politiquement correct.