Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

suppression

  • Sondage : 55% des Français sont favorables à la suppression du regroupement familial, 58% veulent l’instauration du droit du sang

    Publié par Guy Jovelin le 16 novembre 2020

    Jérôme Fourquet: «Pour une majorité de Français, le pays ne peut plus accueillir de nouveaux arrivants»

    Les conclusions de l’enquête exclusive de l’Ifop, que commentent Jérôme Fourquet, sont nettes. Seuls 32% des Français considèrent que les pouvoirs publics luttent efficacement contre l’immigration clandestine. Une large majorité d’entre eux sont favorables à des mesures vigoureuses pour limiter les flux ; 78% pensent qu’il faut une immigration choisie et non pas subie ; 55% sont favorables à la suppression du regroupement familial. Et 58% souhaitent l’instauration du droit du sang. Nous publions ici quelques extraits de cet entretien dont vous pourrez retrouver l’intégralité dans Le Figaro Enquêtes (1), en vente le 16 novembre.

    37% des Français pensent que l’immigration est une chance (49% en 2007).

    Les Français interrogés sont 64% à penser qu’« on en fait plus pour les immigrés que pour les Français »

    (…) Le Figaro Source : fdesouche

  • Suppression du défilé du 14 juillet: un signal fort contre la France française.

    Publié par Guy Jovelin le 04 juin 2020

    En décidant d'annuler cette année le défilé militaire du 14 juillet "pour raisons sanitaires" alors même que restaurants, bars, cinémas, parcs d'attractions, plages etc seront ouverts et feront le plein — et c'est tant mieux — Emmanuel Macron vient de souligner au trait rouge le profond mépris dans lequel il tient nos armées.

    Cette mesure arbitraire préfigure sans doute le sort réservé à notre effort de défense dans les mois à venir. Considérée depuis longtemps comme une variable d'ajustement budgétaire, l'Armée sera, à n'en pas douter, la victime expiatoire de la gestion aberrante, nationalement destructrice, économiquement ruineuse et socialement ravageuse, de la crise du coronavirus par le pouvoir français.

    Alors que l'épidémie dont tout indique qu'elle a été largement surestimée dans sa nature et dans ses effets par les pouvoirs publics, recule, rien ne justifie cette interdiction.

    Dernier symbole de notre grandeur, outil nécessaire de notre indépendance et de notre sécurité, corps de la Nation et âme de ses traditions, l'armée française est aussi, dans le contexte de rupture que tentent aujourd'hui d'imposer organisations gauchistes, militants communautaristes et associations racialistes, indigènistes et immigrationnistes, le dernier rempart contre les émeutes qui approchent et le chaos qui vient.

    C'est sans doute pour cela que tant de forces sombres se liguent pour l'affaiblir. Macron vient de leur adresser un signal fort du recul supplémentaire de l'Etat et du triomphe post national de la société arc-en-ciel et cosmopolite.

    Gageons que les champs Elysées seront pourtant noirs de monde le 13 juillet. Comme chaque année la racaille sera au rendez vous.

    Jean-François Touzé

    L’image contient peut-être : plein air
  • Suppression de l'ENA : un objectif peut en cacher un autre

    Publié par Guy Jovelin le 29 avril 2019

    logo07-ena.jpg

    Emmanuel Macron a donc confirmé au cours de sa conférence de presse sa décision de supprimer l'ENA

    Pourquoi pas, s'il s'agit d'en finir avec le clanisme que l'on sait, l'enfermement technocratique et l'entre soi, source de copinage et de gestion cooptative des carrières que la Droite nationale n'a cessé de dénoncer depuis des décennies.

    Mais faire de cette école conçue à sa création pour former les serviteurs de l'État, la responsable de tous les maux de la politique et de l'administration françaises, c'est confondre la cause et les effets.

    L’effondrement du sens de l'État de nos prétendues élites et l'abdication de leur foi nationale au profit du mondialisme, voilà l'agent pathogène introduit depuis des décennies dans le corps de la Nation.

    Remplacer l'École Nationale d'Administration par une autre structure de même type habitée de la même déréliction spirituelle et du même abandon patriotique ne changera donc rien.

    Le Parti de la France considère qu'une école des cadres de l'administration constituerait un outil majeur pour le bien public au cœur d'un État national. À quatre conditions.

    • Que ses élèves soient formés au seul service de la Nation, en excluant toute dérive pro business, toute possibilité de pantouflage dans le privé.
    • Que tout haut fonctionnaire élu à un mandat politique ou nommé au gouvernement soit dans l'obligation de renoncer à son statut et de démissionner de la fonction publique.
    • Que soit mis fin à la toute-puissance des Grands corps de l'État quel que soit le nom qu'ils porteront demain.
    • Que le politique reprenne le pas sur l'administration en imposant ses choix et en veillant à l'application rapide des décisions.

    Mais, au-delà de la simple démagogie, la volonté de Macron de supprimer l'ENA a un tout autre but. Il s'agit en réalité de permettre une refondation sur le modèle de celle menée à Sciences Po il y a quelques années par son sulfureux directeur Richard Descoings dont la mort à New York dans des conditions les plus glauques, fit la une des gazettes. Objectif : permettre l'entrée massive au sein de l'École de la « diversité » en en ouvrant tout grand les portes aux populations des cités.

    La nouvelle école d'administration sera donc comme sa cousine de la rue Saint Dominique l'est devenue, un tiers bobo, un tiers gauchiste et un tiers allogène.

    C'est bien là l'intention de Macron. Une forme de Grand remplacement au sein de la Haute administration encore française.

    Jean-François Touzé - Délégué National du Parti de la France aux Études et Argumentaire