Publié par Guy Jovelin le 12 octobre 2021
12/10/21
Un urologue a rendu le résultat d’une expertise sur le sexe d’Aïssa Z., jugé en appel depuis le 28 septembre pour avoir commis des viols ou agressions sexuelles sur 34 femmes à la fin des années 1990. Plusieurs victimes avaient décrit un violeur «avec un micropénis».
07/10/20
Si l’accusé continue de nier en bloc, une nouvelle technique d’analyse ADN avait permis d’identifier «presque certainement» son ADN sur plusieurs de ses victimes.
Le parquet a requis, mercredi 7 octobre devant la Cour d’assises de l’Essonne, 20 ans de réclusion contre Aïssa Z. pour une trentaine de viols ou agressions sexuelles commis dans la forêt de Sénart (Essonne) entre 1995 et 2000.
«Lorsqu’on indique que (l’accusé, ndlr) est l’auteur des faits, on le fait à partir d’éléments purement scientifiques», a estimé l’avocat général Marc Mulet, en requérant la peine maximale. «Face à l’ADN, il y a très peu de possibilités de s’en sortir», a-t-il insisté, alors que l’accusé, père de famille de 45 ans, nie en bloc.