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violences conjugales

  • Le fils d’Éric Dupond-Moretti placé en garde à vue à Courchevel pour des soupçons de “violences conjugales”

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    Raphaël Dupond-Moretti, le fils du ministre de la Justice, a été placé en garde à vue pour des soupçons de “violences conjugales”.

    Raphaël Dupond-Moretti, le fils du ministre de la Justice, a été placé en garde à vue, ce vendredi matin à la gendarmerie de Courchevel, en Savoie, pour des soupçons de “violences conjugales”, a appris BFMTV de source proche du dossier, confirmant une information de TF1.

    BFMTV via fdesouche

  • Gérald Darmanin demande aux préfets de régulariser toutes les femmes en situation irrégulière victimes de violences conjugales

    Publié par Guy Jovelin le 24 novembre 2021

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a demandé aux préfets de régulariser les femmes qui se trouveraient en France en situation irrégulière et dont il est avéré qu’elles sont victimes de violences conjugales, révèle France Inter mardi 23 novembre. Un titre de séjour de plusieurs années, renouvelable, sera délivré à ces femmes. Les préfets recevront cette consigne d’ici jeudi.

    Selon Gérald Darmanin, “ces femmes hésitent peut-être trop souvent à aller dans un commissariat ou une brigade de gendarmerie et à saisir le procureur de la République”. Or, “si la justice vient à démontrer que la personne contre qui la plainte est déposée est, en effet, responsable d’un viol ou de violences conjugales”, les femmes victimes seront régularisées promet le ministre de l’Intérieur sur France Inter, “au nom de la protection que nous leur devons”.

    (…)

    “Tant que la plainte n’est pas totalement étudiée, ces femmes ne peuvent pas être expulsées du territoire de la République”, a insisté le ministre de l’Intérieur.

    Le ministre a rappelé également que les femmes venues en France après que leur mari a obtenu un titre de séjour bénéficient déjà d’une protection spécifique, “le temps que l’enquête puisse arriver à son terme et surtout le temps que l’on puisse s’occuper de votre mari”. Ce titre de séjour est aujourd’hui octroyé à 220 à 250 personnes par an. “Nous pourrions faire bien plus et bien mieux”, a estimé Gérald Darmanin, qui s’est engagé à discuter avec les associations et les avocats. Le ministère de l’Intérieur estime qu’il y a, en France, 600 000 à 700 000 étrangers en situation régulière.

    Franceinfo via fdesouche

  • Violences conjugales : les hommes battus et les LGBT qui se battent entre eux, ça existe aussi !

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2021

    On aimerait en savoir plus sur les milieux familiaux dans lesquels de tels drames se sont produits. Mais, faute de , on se bornera à avancer que cette recrudescence est peut-être aussi due en grande partie à des personnes dont les cultures ne sont pas toujours marquées du sceau de l’amour courtois.

    Chiffre tout aussi intéressant, et sur lequel s’est penché le quotidien  du 23 mai dernier : ces 27 hommes, eux aussi décédés, toujours en 2019, sous les coups de leurs conjointes. Soit, à en croire l’Observatoire nationale de la délinquance et de la réponse pénale (ONDRP), fermé depuis, un ratio, sur la période 2012-2018, de 69 % de femmes et de 31 % d’hommes chez ces victimes. Ce n’est pas rien.

    Pire encore, chez la femme battue, il y a certes la honte de porter plainte ; mais chez l’homme battu, cette dernière est encore plus forte. La preuve en est qu’en France n’existent que trois associations consacrées à cette cause, lesquelles ne bénéficient pas de la moindre aide de l’État. Ni de sa considération, par ailleurs : « Contacté par Libération sur l’absence de  spécifique dédiée à cette problématique, le cabinet de la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les hommes et les femmes, indique que “madame Élisabeth Moreno n’a pas le temps”. » À l’heure où la  des minorités est plus qu’à la mode, celle des hommes battus ne paraît pas être au calendrier des urgences du moment.

    Citée, il y a un an, par le site Slate, Valérie Roy, professeur titulaire en sciences sociales à l’École de travail social et de criminologie de l’université de Laval (Canada), avançait un début de réponse : « Il existe une conception hétéronormative de la violence qui fait que l’homme serait nécessairement auteur et la femme victime. »

    Autre minorité victime d’invisibilité en la matière, comme diraient les indigénistes : les +. Et là, c’est une autre association des plus modestes, le Groupe action gay et lesbien du Loiret (c’est dire), qui fait référence sur le sujet, toujours selon Libération : « On a tâté le terrain et on a eu des réactions un peu bizarres. Pour les militants, les violences conjugales se résumaient au fait que les mecs frappent leurs nanas. On nous répondait : “Ça n’existe pas. […] Vous allez faire du tort à la cause”. »

    Le problème n’a pourtant rien d’anodin, à en croire une étude de la National Intimate Partner and Sexual Violence Survey, qui s’alarmait déjà en 2010 : « 35 % des femmes hétérosexuelles ont subi des violences de la part de leur partenaire, contre 43,8 % des lesbiennes et 61,1 % des bisexuelles. Du côté des hommes, c’est 29 % chez les hétéros, 26 % chez les gays et 37,3 % chez les bis. » Comme quoi nous n’avons rien à envier aux  sur ces questions…

    Alors, homosexuels et lesbiennes auraient-ils une part de responsabilité dans ce fléau ? Pas du tout, affirme Johan Cavirot, président de l’association FLAG!, qui fédère les homosexuels des ministères de l’Intérieur et de la , policiers municipaux et alliés : « Il existe des freins supplémentaires pour une personne LGBTQI+ pour porter plainte. Par exemple, la crainte d’être victime de LGBTQIphobies au sein des structures de la part des policiers ou des gendarmes, celle de ne pas être cru.e en raison des préjugés sociétaux. »

    La faute des forces de l’ordre, donc. Celle-là, il fallait tout de même l’inventer. Voilà qui est fait.

     

    Source : bvoltaire

  • Doc Gyneco en garde à vue pour violences conjugales. Le parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance (MàJ : des « violences habituelles », condamné à 5 mois de prison avec sursis)

    Publié par Guy Jovelin le 19 mai 2021

    18/05/21

    L’artiste Doc Gyneco a été condamné mardi à Paris à cinq mois d’emprisonnement avec sursis et à 2000 euros d’amende pour violences conjugales, après avoir donné quatre violentes gifles et insulté son épouse en mars, des faits qu’il a reconnus. Cette peine est légèrement en deçà des réquisitions du parquet, qui avait demandé en fin de matinée six mois de prison avec sursis.

    […]

     

    Confronté aux témoignages de sa femme et de leurs deux filles qui ont elles évoqué des « violences habituelles », ainsi qu’une « emprise » du père de famille sur son épouse, Doc Gyneco avait fini par reconnaître des violences plus anciennes. 

    […]

    Partie civile mais absente à l’audience, elle a expliqué dans un courrier lu par le président qu’elle avait toujours une trace d’hématome sur le visage, évoquant également sa « peur » de son mari et son incapacité à être près de lui. Elle n’a pas fait de demande de dommages et intérêts.

    […]

    Le Parisien


    11/03/21

    Selon une information du Parisien. Le parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi.

    Les policiers remarquent que la femme présente un œdème au niveau de l’œil, qui continue de gonfler. Elle relate alors une dispute, sur fond de jalousie de la part de Doc Gynéco, qui il lui aurait mis quatre gifles. Le chanteur a reconnu les faits et son épouse a été conduite à l’hôpital. Elle ne souhaite pas porter plainte. Quant à l’enquête, elle a été confiée au commissariat du XVIIIe arrondissement.

    Placé en garde à vue, il n’a, selon nos informations, opposé aucune résistance. Le chanteur n’était par ailleurs pas alcoolisé.

    […]

    Le Parisien


    10/03/21

    Le chanteur a été interpellé et placé en garde à vue ce mercredi soir pour des soupçons de violences conjugales. Son épouse, frappée au visage, a été conduite à l’hôpital.

    Le rappeur et producteur Doc Gynéco, de son vrai nom Bruno Beausir, a été interpellé à son domicile, ce mercredi soir, et placé en garde à vue en fin d’après-midi pour violences conjugales, selon une information du Parisien.

    Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi après-midi.

    L’épouse du chanteur, qui aurait reçu des coups au visage lors d’une dispute dans l’après-midi, a été conduite à l’hôpital. L’enquête a été confiée au commissariat du XVIIIème arrondissement de Paris.

    Le Parisien

  • Doc Gyneco en garde à vue pour violences conjugales. Le parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance (MàJ : il a reconnu les faits)

    Publié par Guy Jovelin le 11 mars 2021

    11/03/21

    Selon une information du Parisien. Le parquet de Paris a ouvert une enquête en flagrance pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi.

    Les policiers remarquent que la femme présente un œdème au niveau de l’œil, qui continue de gonfler. Elle relate alors une dispute, sur fond de jalousie de la part de Doc Gynéco, qui il lui aurait mis quatre gifles. Le chanteur a reconnu les faits et son épouse a été conduite à l’hôpital. Elle ne souhaite pas porter plainte. Quant à l’enquête, elle a été confiée au commissariat du XVIIIe arrondissement.

    Placé en garde à vue, il n’a, selon nos informations, opposé aucune résistance. Le chanteur n’était par ailleurs pas alcoolisé.

    […]

    Le Parisien


    10/03/21

    Le chanteur a été interpellé et placé en garde à vue ce mercredi soir pour des soupçons de violences conjugales. Son épouse, frappée au visage, a été conduite à l’hôpital.

    Le rappeur et producteur Doc Gynéco, de son vrai nom Bruno Beausir, a été interpellé à son domicile, ce mercredi soir, et placé en garde à vue en fin d’après-midi pour violences conjugales, selon une information du Parisien.

    Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour violences volontaires par conjoint pour des faits qui se sont produits ce mercredi après-midi.

    L’épouse du chanteur, qui aurait reçu des coups au visage lors d’une dispute dans l’après-midi, a été conduite à l’hôpital. L’enquête a été confiée au commissariat du XVIIIème arrondissement de Paris.

    Le Parisien