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garde à vue

  • « Ce n’est pas lui le bandit » : le village de Romagnieu (38) soutient son garagiste, Didier, 53 ans, placé en GAV après avoir tiré sur un cambrioleur ; la nuit dernière, un autre cambrioleur avait déjà visité son garage

    Publié par Guy Jovelin le 04 décembre 2025

    Lundi soir, un garagiste et son fils ont tiré au fusil de chasse sur des cambrioleurs qui tentaient de voler des pièces de voiture. Le concessionnaire automobile a été placé en garde à vue après avoir blessé l’un des malfaiteurs. Mais les habitants du village de Romagnieu, en Isère, ne comprennent pas cette décision et le défendent.

    En Isère, dans le petit village de Romagnieu, 1.800 habitants, un garagiste et son fils vont probablement être mis en examen. La justice leur reproche d’avoir tiré au fusil de chasse lundi soir sur des cambrioleurs qui tentaient de voler des pièces de voitures, après avoir forcé l’entrée du garage.

    L’un de ces malfaiteurs, âgé de 15 ans, a reçu des plombs dans la poitrine et a été hospitalisé. Mais dans le village de Romagnieu, les habitants soutiennent le garagiste qui n’a fait que se défendre.

    Didier Yvrai, 53 ans, est un homme apprécié dans sa commune. Un garagiste dévoué et toujours disponible pour les habitants et leurs voitures. Un homme décrit comme “un gros bosseur”, qui fait ses 15 heures par jour. Alors le voir mis en cause par la justice pour avoir défendu son garage contre les cambrioleurs, Roger, 80 ans, ne l’accepte pas.

    “Je trouve ça scandaleux. Il faudrait se laisser faire ? Baisser le pantalon ? Je trouve ça dégueulasse. Légitime défense ou pas, les gars, ils n’ont rien à foutre dans un garage ou dans une maison ou n’importe où. Il n’y aucune raison que l’on se laisse faire comme ça ! Didier, c’est un bon gars !”, assure-t-il. Pour ce retraité, le garagiste est “un type serviable, pas un voyou”. Même sentiment chez Patrice Lamberti, le second garagiste du village. “Nous, on est des chefs d’entreprise. Donc on veut défendre notre bien. Donc je comprends qu’on puisse voir rouge, s’énerver… Après, on ne ne peut pas non plus tirer sur des personnes”, juge-t-il au micro d’Europe 1.

    […]

    Europe1

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    Selon les proches du garagiste, “c’était la deuxième nuit consécutive que le garage était visité par des cambrioleurs”. La veille, cinq personnes s’y étaient introduites “pour voler des pièces”, selon l’un des employés au chômage technique. Excédé par cette nouvelle intrusion, le gérant de 53 ans a décidé d’intervenir, armé de son fusil de chasse, avec lequel il a tiré en direction des cambrioleurs. Un mineur de 15 ans a été grièvement blessé, touché par les plombs au niveau du haut du corps.

    Interrogés, les clients du garage sont sous le choc. “C’est un vrai gentil ! J’allais très souvent chez lui, il était très serviable, très arrangeant sur le règlement des factures, il m’a déjà fait crédit”, se souvient Chloé, interrogée dans un café non-loin du garage. La maire de Romagnieu parle également d’un homme “très honorable”, et “regrette profondément la situation”, selon Céline Revol. Une enquête a été ouverte, confiée à la brigade de La Tour-du-Pin.

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    France Bleu

  • Le militant LFI Gérard Miller est dans la tourmente.

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2025

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    Le militant LFI Gérard Miller est dans la tourmente. Comme tous les militants de gauche, il a vibré à « Balance ton porc » et à « Me Too ». Et à tous les combats féministes. Mais ingrates, les femmes qu’il a honorées en les endormant se retournent contre lui.
    Les plaintes affluent, et la question se pose : Gérard Miller est-il pire que Dominique Pelicot, et les féministes vont-elles se mobiliser à l’occasion de son procès comme elles l’ont fait pour Gisèle Pelicot ?
    Pour visionner la vidéo de Pierre Cassen à ce sujet, c'est ici : https://youtu.be/RkzQ8WHmio4
  • Paris. Sept chrétiens venus d’Espagne avec un bus floqué contre une scène de la cérémonie d’ouverture des JO interpellés et mis en GAV, finalement libérés pour vice de procédure

    Publié par Guy de Laferrière le 06 août 2024


    Sept personnes ont été placées en garde à vue lundi en fin de journée après avoir circulé dans les rues de Paris avec un car floqué de l’inscription « Stop Attacks on Christians » (arrêtez les attaques contre les chrétiens). Le tout accompagné des anneaux olympiques et d’une photo du tableau « Festivités », interprété par certains comme une représentation de la Cène.

    Des compagnies de circulation, spécialisées dans la règlementation des transports sont dépêchées pour un contrôle un peu plus poussé. Mais tout est en règle, aucune infraction n’est relevée. Une heure plus tard, les policiers sont rejoints par d’autres personnes qui se présentent comme membres d’une association nommée CitizenGO. Elles expliquent avoir fait réaliser ce flocage.
    Au total, ils sont sept. Contrôle des papiers, bus immobilisé avenue de Wagram. Ceux qui se présentent comme des « chrétiens espagnols » sont conduits au commissariat du XVIIe avant d’être transférés à celui du XVIe arrondissements pour être placés en garde à vue par un officier de police judiciaire.

    Sauf que la procédure n’est pas très solide. Contacté, le parquet de Paris indique avoir « levé les gardes à vue et classé la procédure pour irrégularité, le délai de présentation à un officier de police judiciaire étant trop tardif et le motif des interpellations non indiqué de façon suffisamment précise ».

    Le Parisien via fdesouche

  • Les policiers vent debout contre la réforme de la garde à vue qui accorde «des droits supplémentaires pour les mis en cause»

    Publié par Guy de Laferrière le 18 juin 2024


    Les enquêteurs redoutent que le renforcement du pouvoir des avocats leur confère un pouvoir de bloquer les auditions, au détriment du droit des victimes.

    Le syndicat de police Synergie-Officiers monte au créneau contre la réforme de la garde à vue, tout juste publiée au Journal Officiel. Dans son dernier bulletin mensuel, il regrette que cette loi du 22 avril 2024, qui accorde «des droits supplémentaires pour les mis en cause», complique un peu plus la tâche des enquêteurs. «Rien d’étonnant finalement, puisqu’il s’agit d’une transposition dans le droit national de dispositions européennes, dont le but affiché est d’augmenter les droits de la défense», affirme un officier de police parisien.

    Jean-Paul Mégret, le numéro deux du Syndicat indépendant des commissaires de police (SICP), s’inquiète également des conséquences possibles de ce texte qui, selon lui, n’aurait pas été assez «anticipé». Il entrera en vigueur, il est vrai, dans quinze jours à peine, à la veille des JO et les praticiens de l’enquête, chez les magistrats ou dans les rangs des forces de l’ordre, attendent des précisions, une circulaire du garde des Sceaux au moins.

    Le Figaro via fdesouche

  • Persécutions politiques

    Publié par Guy de Laferrière le 12 février 2024

    Thomas Joly

    Arrestation et placement en garde à vue totalement arbitraires samedi de 39 nationalistes qui ont seulement rendu hommage à Robert Brasillach au cimetière parisien de Charronne dans le plus grand calme.
    Ces persécutions politiques sont dignes de l'époque soviétique de triste mémoire. Comme si les forces de l'ordre n'avaient pas mieux à faire dans une ville ravagée par l'immigration et l'insécurité comme Paris...
     
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