Publié par Guy Jovelin le 21 octobre 2019
L'avis de Jean-François Touzé membre du Bureau Politique du Parti de la France
Après avoir présenté des candidats aux élections législatives de 2017 et une liste aux dernières Européennes, l'Union des Démocrates Musulmans de France (UDMF) se prépare pour les Municipales de 2020 et annonce sa présence a Paris, Marseille, Nice, Vaulx en Velin, Maubeuge (dans un des quartiers de la ville, l'UDMF a atteint 40% aux Européennes), ainsi que dans la plupart des communes où le parti islamique a enregistré ses meilleurs résultats en 2019 comme Garges-Lès-Gonesse (Val-d'Oise), où l'UDMF totalisait 7,43% des suffrages et terminait en 4e position, devant Benoît Hamon, le Parti socialiste, les Verts et Les Républicains, à Mantes-la-Jolie, dans les Yvelines (6,77% pour la liste de Nagib Azergui avec un pic notable de 16,74% dans le quartier du Val-Fourré) ou à Trappes (Yvelines), avec 4,04% des voix et un score de 8,14% dans la Plaine de Neauphle. Sans parler de Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne), La Courneuve (Seine-Saint-Denis), Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) ou l'UDMF dépassait les 6%.
Un certain nombre de voix s'élèvent, de Bruno Retailleau à Eric Ciotti en passant pas Marine Le Pen et Nadine Morano pour interdire à L'UDMF de présenter des listes. Au nom de la laïcité.
Ce serait une erreur. Casser le thermomètre électoral ne ferait que dissimuler la fièvre et camoufler le mal qui monte, ronge et finira par tuer si les vrais remèdes ne sont pas mis en œuvre.
Aux grands maux, les grands remèdes, en effet : c'est par un vaste plan global visant à l'éradication de la menace islamique que la France trouvera son salut. Répression des groupes activistes, nettoyage des cités, reconquête des zones séparatistes de la Nation, interdiction du salafisme, sont des éléments incontournables d'un tel plan.
Mais ce n'est que par l'arrêt total de l'immigration et l'organisation d'un vaste mouvement de retour au pays d'origine que le danger sera définitivement écarté.
Quand le sage montre la lune, l'idiot regarde le doigt. La classe politico-médiatique voit le voile et se fixe sur les signes "communautaires" mais ferme les yeux devant la réalité.
Il est pourtant plus que temps de les ouvrir.