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L’université de Bordeaux cède aux menaces violentes du diktat LGBT et annule un débat avec une philosophe opposée à la GPA

Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2019

La dictature LGBT vient encore de frapper. La philosophe Sylviane Agacinski, opposante à la GPA, est contrainte de renoncer à participer à un débat sur la «reproductibilité» de l’être humain prévu à Bordeaux. La rencontre débat a été annulée à la suite de « menaces violentes », a indiqué l’université de Bordeaux.

L’université de Bordeaux-Montaigne a confirmé que « des groupes ont décidé d’empêcher la tenue d’un échange légitime et évidemment contradictoire sur ces questions d’ordre éthique et juridique dans le contexte des débats actuels sur la PMA et la GPA ».

«Ne pouvant assurer pleinement la sécurité des biens et des personnes ni les conditions d’un débat vif mais respectueux face à des menaces violentes», l’université signale par voie de communiqué avoir «décidé d’annuler cette rencontre».

Il s’agit donc bien de méthodes extrémistes menées par des groupes LGBT pour empêcher que puisse s’exprimer toute voix discordante.

Depuis le début du mois d’octobre, plusieurs organisations, dont Riposte Trans, Association des jeunes et étudiant-e-s LGBT de Bordeaux, Solidaires étudiant-e-s, ou encore le Collectif étudiant-e-s anti-patriarcat faisaient pression au sein de l’université pour empêcher la tenue de ce débat et la présence d’une conférencière dont elles qualifiaient les positions de «réactionnaires, transphobes et homophobes ». Le collectif avait invité les étudiants à se mobiliser contre cette venue, et affirmait mettre «tout en œuvre afin que cette conférence n’ait pas lieu».

La dictature arc-en-ciel est en marche…

 

Source : medias-presse.info

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