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  • 13 000 naissances en moins dans notre pays en 2020

    Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2021

    13 000 naissances en moins dans notre pays en 2020, soit une baisse de 1,8 % par rapport à 2019. A titre d'exemple, en 2014, il y eut 79 000 nouveaux nés de plus que dans les douze mois ecoulés. Et bien sûr, dans ces chiffres, il convient de comptabiliser les naissances allogènes.
    Comment s'étonner de cet effondrement ?
    Confrontés aux crises sanitaires, économiques et sociales qui se renforcent les unes par les autres, menacés dans leur sécurité et leurs biens, conscients des nuages planétaires qui s'accumulent au dessus de leurs têtes, atteints dans leurs libertés, bouleversés dans leur mode de vie et leurs traditions à la fois par la déferlante migratoire et par la déconstruction systématique des piliers de force de la civilisation européenne que sont la famille, la morale, les valeurs, la fidélité aux origines et le respect de la vie, les Français ne croient plus en eux mêmes et voient l'avenir sous la forme d'un trou noir dévoreur de matière.
    On chercherait en vain dans les politiques publiques — ce serait pourtant le minimum minimorum — la trace d'un début de commencement d'ébauche d'incitation nataliste: logements familiaux, salaire maternel pour les femmes qui veulent élever leurs enfants à plein temps, créations de crèches pour faire garder ceux dont les mères choisissent de travailler, préférence nationale... Mais, en réalité, le vrai sursaut ne peut être que global. Il passe par le réarmement moral de la France, la confiance réaffirmée et insufflée dans l'esprit de chacun en notre destin et le retour des principes civilisationnels sans lesquels toute entreprise vitaliste est vouée à l'échec.
    Il passe donc par l'instauration d'un État national.
    Jean-François Touzé.
     
    L’image contient peut-être : une personne ou plus et personnes qui dorment
     
     
     
    Vous, Thomas Joly, Jean Perros et 1 autre personne
     
  • Le ministre Olivier Véran se transforme en agent publicitaire d’une marque de vêtements

    Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2021

    La marque préférée des racailles, ça tombe bien.

    Véran prépare-t-il la suite de sa carrière après son funeste rôle au ministère de la « Santé » ?

    De toute façon ces gens sont habituellement les agents d’intérêts privés.

    « Ce matin j’allume Cnews pour avoir un bruit de fond pendant que je règle quelques affaires, et je vois apparaître Véran en plein exercice d’auto-congratulation, consciencieusement dissimulé derrière son masque… Lacoste ! Le célèbre logo de la marque (un crocodile) figure en bonne place sur le masque noir, transformant notre brave ministre en panneau publicitaire gratuit pour la marque.
    Aussitôt je m’interroge : est-ce bien légal ?
    Puisque dans ce pays tout est absolument et exagérément encadré par un million de textes, de lois, de codes et de décrets, n’y a-t-il pas, au milieu de ce fatras juridique, un petit article qui règlemente l’activité publicitaire, quelque chose en rapport avec la concurrence d’une part, et, pourquoi pas dans ces choses un peu oubliées que l’on appelle la déontologie et la neutralité du service public, un texte qui impose à un représentant de l’autorité publique de ne pas faire de publicité ostentatoire pour une marque en particulier ?
    Véran assure-t-il la promotion de la marque Lacoste gracieusement ou en échange de quelque rétribution ? Car attention, on ne parle pas ici d’un ministre qui porterait le caleçon, les chaussures ou la chemise d’une marque en particulier, ce qu’il aurait évidemment le droit de faire. On parle d’un ministre qui, sur l’endroit que l’on regarde en premier chez lui, c’est-à-dire son visage, exhibe ouvertement et par définition ostensiblement le logo absolument reconnaissable d’une marque en particulier. Est-ce bien son rôle ?
    Puisqu’on parle de Véran, j’en profite pour saluer sa connaissance profonde des finesses esthétiques de notre belle langue française. Par exemple, dans cette même intervention publicitaire pour Lacoste, il a prononcé au milieu d’une phrase cette formule d’un genre original et puissant : « La réponse elle est non ».

    « La réponse elle est non », mais franchement qui parle comme ça ? »

    de Jonathan Sturel

     

    Source : .contre-info

  • « Opération Pièces jaunes » : un rappel

    Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2021

    Voici comment ça se passait il y a quelques années, avec la mère Chirac.

    Attention, nous ne disons pas que cela se passe toujours ainsi et que Brigitte Macron fait toujours de même. Mais c’est bon de se rappeler comme on se moque de nous, y compris des enfants.

    Aucune description de photo disponible.

     

    Source : contre-info.

  • C’était aussi un 19 janvier…

    Publié par Guy Jovelin le 19 janvier 2021

    • 639 : mort du grand roi des francs Dagobert Ier. Ce descendant de Clovis meurt à 36 ans, dans l’abbaye de Saint-Denis qu’il a richement dotée, et il est le premier roi à y être inhumé.
    Il régna sur l’Austrasie de 622 à 632 et fut roi des Francs de 629 à 639 : c’est l’un des derniers grands rois mérovingiens.
    Il sut se faire entourer de très bons conseillers tels que Saint Eloi (évêque de Noyon) et de Saint Ouen (évêque de Rouen).
    Son règne, long de 10 ans, fut marqué par l’unification du Royaume franc auquel il donna Paris pour capitale.

    • 1945 : condamnation à mort de l’écrivain Robert Brasillach.
    Après la Libération, en septembre 1944, sa mère et son beau-frère, Maurice Bardèche, ayant été arrêtés pour faire pression sur lui, il se constitue prisonnier auprès de la Préfecture de police de Paris. Il est emprisonné à la prison de Fresnes (actuel Val-de-Marne) et poursuivi pour intelligence avec l’ennemi. Son procès, qui s’ouvre le 19 janvier 1945 devant la cour d’assises de la Seine, dure six heures. Il est condamné à mort le jour même, après une délibération de vingt minutes.
    Dans les jours qui suivent, une pétition d’artistes et d’intellectuels renommés, parmi lesquels Paul Valéry, Paul Claudel, François Mauriac, Daniel-Rops, Albert Camus, Marcel Aymé, Jean Paulhan, Roland Dorgelès, Jean Cocteau, Colette, Arthur Honegger, Maurice de Vlaminck, Jean Anouilh, André Barsacq, Jean-Louis Barrault, Thierry Maulnier, etc. demanda au général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire, la grâce du condamné. Le général choisit de ne pas commuer la peine prononcée, ce qui entraîna l’exécution de la sentence, le 6 février suivant, lorsque Brasillach fut fusillé au fort de Montrouge.

    On peut trouver les livres de Robert Brasillach ainsi que des livres sur lui ici.

    1960 : De Gaulle sanctionne et rappelle le général Massu en métropole.
    Massu était commandant du corps d’armée d’Alger en novembre 1958 et très vite se tailla une réputation en remportant brillamment sur le FLN la bataille d’Alger.
    Il sera malheureusement sanctionné par De Gaulle, sous le prétexte de propos tenus dans un journal allemand la veille :  Süddeutsche Zeitung lui prête des paroles critiques vis-à-vis de la politique menée par le Président en Algérie. Les Français d’Algérie n’accepteront pas ce départ contraint qui ne fera que creuser le fossé entre eux et De Gaulle.

     

    Source : contre-info