Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2025

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Publié par Guy Jovelin le 08 juillet 2025

Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

Olivier Véran, ministre du « renouveau démocratique » chargé de suivre la convention citoyenne, est allé recontrer le docteur François Damas, au centre hospitalier de la Citadelle à Liège. Ce médecin était au centre du documentaire Les Mots de la fin, diffusé sur Arte en juillet, qui montrait son quotidien de spécialiste de l’euthanasie.
Le système belge autorise depuis vingt ans l’aide active à mourir. Le nombre d’euthanasies pratiquées en Belgique est de 2 600 par an, soit 3 % des décès. « Vous avez quand même multiplié par dix en vingt ans », remarque Olivier Véran. Il s’étrangle un peu quand ses hôtes lui expliquent que certains imams acceptent que des musulmans soient euthanasiés, à condition que le médecin récite la première sourate du Coran au moment de l’acte.
Bruxelles a légalisé l’euthanasie en 2002, pour des patients adultes dont l’état physique ne permettait pas d’espérer une amélioration médicale raisonnable. En 2014, la loi a été étendue (comme d’habitude) pour euthanasier des mineurs, et sans limite d’âge. Et au fil des années, les critères se sont étendus : “lassitude de vivre”, déception amoureuse, etc.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 21 décembre 2021
C’est un abonnement à vie aux “services” de Big Pharma que nous proposent les autorités :
Vidéo : https://t.me/ARCHIVESCOVID1984/17991
Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2021

Pour l’OMS et Santé publique France, la résistance des bactéries aux antibiotiques est devenue un problème majeur de santé publique. Ce phénomène pourrait devenir la prochaine catastrophe sanitaire et causer près de 10 millions de morts dans le monde en 2050. Relativisons : ce ne serait pas plus que le cancer en 2020 quoique beaucoup plus que le selfie (43 en 2011-2017).
En revanche la résistance des virus aux vaccins ne présente aucun problème. Olivier Véran le sait bien, c’est pourquoi d’un côté – par des décisions d’urgence (n’oublions pas que nous sommes en guerre) – il incite ou désormais oblige à la vaccination, de l’autre il restreint par décret les traitements à base d’antibiotiques dont l’azithromycine.
Vous ne vous sentez pas bien. Vous allez voir votre médecin, qui vous diagnostique une angine et vous prescrit un antibiotique. Dans la vie d’avant, vous allez chez le pharmacien acheter le médicament et vous vous soignez. À partir du décret du 14 décembre, c’est la vie d’après. Le code de la Santé publique a été modifié par un décret d’Oliver Véran. Il n’est pas tout seul : le premier ministre et le Conseil d’État sont dans le coup. À présent, votre médecin pourra toujours prescrire un antibiotique, ce n’est pas pour autant que vous pourrez vous soigner.
Sur l’ordonnance le médecin devra faire figurer la mention « si TROD [test oro-pharyngé d’orientation diagnostique] angine positif, sous sept jours calendaires ». Donc vous allez vite chez le pharmacien, qui va vous faire subir un TROD des angines à streptocoque beta-hémolytique du groupe A. Si le test est positif, bingo ! Le pharmacien reçoit 6 € et vous allez pouvoir vous soigner. S’il est négatif, le pharmacien reçoit un euro de plus (soit 7 € en tout). C’est le prix pour vous convaincre que vous êtes malade, mais n’avez pas le droit de vous soigner avec le médicament prescrit, car votre médecin est un nul. Malgré ce jugement, le pharmacien va devoir vous convaincre de retourner chez le praticien. Il ne vous reste plus qu’à espérer qu’il vous trouvera une autre maladie ou un autre médicament. Un euro de plus dans la poche du pharmacien pour expliquer tout ça sans prendre un pain dans la gueule, ce n’est pas cher payé.
Non seulement les médecins ne sont plus libres de prescrire, mais un Conseil national de la certification périodique a été créé pour les surveiller. Désormais les professionnels de santé doivent, sur six ans : actualiser leurs connaissances et leurs compétences ; renforcer la qualité de leurs pratiques professionnelles ; améliorer la relation avec leurs patients ; mieux prendre en compte leur santé personnelle (traduction : être vaccinés sous contrôle de l’ARS depuis le 15 septembre 2021).
Chaque médecin doit créer son espace personnel numérique pour être suivi par l’Agence nationale de Développement professionnel cntinu. Tout professionnel de santé hors des clous pourra encourir une sanction de son Ordre ou une suspension temporaire d’exercice pour insuffisance professionnelle.
Les antibiotiques qui peuvent être interdits sont des classiques : amoxicilline, -cefuroxime (sous forme de céfuroxime axétil), cefpodoxime, azithromycine, clarithromycine, josamycine.
Certaines maladies ne pourront plus être soignées par antibiotiques. L’amoxicilline peut toujours être prescrite par votre médecin pour une angine (bactérienne), mais plus pour une otite, une bronchite, une cystite, une parodontite, la maladie de lyme ou une infection à Helicobacter pylori (cause principale de l’ulcère de l’estomac). Quant à l’azithromycine, en bithérapie avec de l’ivermectine, elle peut soigner du covid, mais les autorités interdisent le traitement. Il ne faudrait quand même pas concurrencer les vaccins !
Les médecins ont déjà accepté de ne pas prescrire ivermectine et hydroxychloroquine contre le covid. À présent, ils ne soigneront pas non plus la maladie de lyme, les otites, bronchites, cystites, parodontites et les infections à Helicobacter pylori. Ils vont donc devoir revenir aux remèdes naturels, à l’homéopathie, sinon continuer avec le bon vieux Doliprane qui a fait ses preuves et bien rempli hôpitaux et cimetières.
source : https://lemediaen442.fr
Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2021

Alors que l’hôpital est en crise, Olivier Véran, ministre de la Santé, a révélé qu’environ 15.000 soignants avaient été suspendus, refusant l’obligation vaccinale. Le 16 septembre, il y en avait 3000.
A Nice, des agents du CHU sont en grève de la faim depuis plus de deux semaines pour protester contre cette mesure.
L’hôpital de Chalon-sur-Saône connait une pénurie de médecins anesthésistes. Depuis plusieurs semaines, 400 opérations ont été reportées à une date indéfinie.
Un peu partout, les hôpitaux font face à une pénurie d’infirmiers.
Fin septembre, en raison d’un absentéisme lié à des suspensions faute de vaccination, les hôpitaux de la région de Mulhouse ont déclenché le Plan blanc.
Source : lesalonbeige