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soignants suspendus

  • 15 000 soignants suspendus au sein du système de santé “que le monde nous envie”

    Publié par Guy Jovelin le 14 octobre 2021

    15 000 soignants suspendus au sein du système de santé “que le monde nous envie”

    Alors que l’hôpital est en crise, Olivier Véran, ministre de la Santé, a révélé qu’environ 15.000 soignants avaient été suspendus, refusant l’obligation vaccinale. Le 16 septembre, il y en avait 3000.

    A Nice, des agents du CHU sont en grève de la faim depuis plus de deux semaines pour protester contre cette mesure.

    L’hôpital de Chalon-sur-Saône connait une pénurie de médecins anesthésistes. Depuis plusieurs semaines, 400 opérations ont été reportées à une date indéfinie.

    Un peu partout, les hôpitaux font face à une pénurie d’infirmiers.

    Fin septembre, en raison d’un absentéisme lié à des suspensions faute de vaccination, les hôpitaux de la région de Mulhouse ont déclenché le Plan blanc.

     

    Source : lesalonbeige

  • 3.000 soignants ont été suspendus mercredi.

    Publié par Guy Jovelin le 19 septembre 2021

    Si le gouvernement pouvait afficher la même fermeté et traiter la  sécuritaire avec la même pugnacité, la France redeviendrait ce pays où il fait bon vivre, où l’insécurité n’est plus qu’un lointain « sentiment » et où le terroriste ne risque plus de traverser nos frontières clandestinement et infiltrer les flots de migrants.

    contrat de travail,contrôles surprises,soignants suspendusCar en matière sanitaire, la tolérance zéro est de mise pour nos héros.

    « Nous ne reculerons pas », prévient Jean Castex. « Le refus de se vacciner ne donnera lieu à aucun arrêt maladie », ajoute Olivier Véran, promettant d’effectuer des « contrôles systématiques » non pas en zones où il n’y a plus de république mais plutôt où il y a urgence : pour « toute prescription jugée suspecte ». Ou quand certains  sont renvoyés au rang de délinquants. « Les  sont des gens responsables et dévoués et ne pas être vacciné n’est pas un acte criminel ! » rappelle le Dr Gérald Kierzek, dans Le Figaro.

    « On va avoir la position la plus dure possible », renchérit le bon petit soldat Benoît Elleboode, directeur de l’ARS Nouvelle-Aquitaine, qui annonce, lui aussi, « démarrer très rapidement » des « contrôles surprise » dans les établissements et chez les libéraux. Et voilà que ce gouvernement, clairement dur avec les faibles et faible avec les forts, se félicite des « effets très positifs » de sa menace de suspension immédiate du contrat de travail sans rémunération.

    « Il y a eu hier quelque 3.000 suspensions qui ont été signifiées à du personnel des établissements de santé ou médico-sociaux qui n’étaient pas encore rentrés dans un parcours de vaccination sur 2,7 millions de salariés », indiquait Olivier Véran au micro d’Yves Calvi, soulignant que « la continuité des soins a été assurée », mercredi. Pour autant, malgré une situation en apparence maîtrisée, des opérations sont déprogrammées, des consultations reportées, comme à l’hôpital de Montélimar du fait de l’absence de trois médecins anesthésistes travaillant au bloc. La direction envisage de « réduire la voilure » dans un autre service où « trois allergologues seront aussi absents », rapporte, à l’AFP, Philippe Charre, le directeur adjoint.

    Et le Dr Véran de qualifier un peu rapidement ces personnes suspendues qu’il décrit comme « essentiellement du personnel de service support, très peu de blouses blanches, c’est-à-dire surtout dans les secteurs de blanchisserie ou d’alimentation, ou voilà… Vous voyez ce que je veux dire… », lâche-t-il d’un air entendu. Mais quel message veut-il faire passer, exactement ? Que ce sont des emplois moins qualifiés et que cela explique leurs réticences, qu’il y aurait corrélation entre interrogations et niveau de formation ? Ou que ce sont plutôt des personnes en seconde ligne dans les hôpitaux et, donc, sans contact direct avec les patients ?

    Pas vraiment de quoi s’enorgueillir, donc, tandis que du personnel manque à l’appel et « que le dialogue est rompu à l’hôpital (ou dans le système de santé d’ailleurs) entre le “management” et les acteurs du soin, entre ceux qui décident et ceux qui font. On peut véritablement parler de maltraitance institutionnelle et de harcèlement, maintenant », selon le Dr Kierzek. Rappelons que le coût du contrôle des passes sanitaires à l’entrée des hôpitaux est estimé à 60 millions d’euros par mois, selon la Fédération hospitalière de France. Un budget qui, dans un monde normal, aurait pu être affecté autrement…

     

    Iris Bridier

    Journaliste

    Auteur
  • François Bayrou souhaite que les soignants qui refusent de se faire vacciner soient «suspendus»

    Publié par Guy Jovelin le 11 juillet 2021

    fdesouchefaire

    Le Figaro

    Alors que le gouvernement prépare de nouvelles annonces pour tenter de contenir le variant Delta du Covid-19, l’inquiétude monte quant au refus catégorique de certains soignants de se faire vacciner. Invité de BFMTV ce dimanche, François Bayrou a rappelé que selon lui, la situation épidémique n’aurait «pas d’autre issue (…) que la vaccination obligatoire pour tout le monde». Le Haut-commissaire au Plan estime comme de la «non-assistance en personne en danger» le refus des soignants de se faire vacciner.

    Le Haut-commissaire au Plan juge par ailleurs comme de la «non-assistance en personne en danger» le refus de certains soignants de se faire vacciner. Selon lui, lorsqu’un soignant travaillant dans un hôpital public se soustrait à la vaccination, il doit être «suspendu de son travail».

    «Qu’est-ce que vous feriez dans l’hôpital public si un chirurgien refusait de se laver les mains et de mettre des gants pour une opération ? On lui dirait «vous ne pouvez pas exercer votre métier»», argue François Bayrou.  […]

    Le Figaro