Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Clermont-Ferrand : condamné pour le viol d’une étudiante, Ismail Ezzouak n’ira pas en prison

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021

    Du sursis pour un ancien interne en médecine condamné pour viol en appel par la cour d’assises de l’Allier à Moulins

    […]

    La cour d’assises du Puy-de-Dôme, le 15 mars 2019, avait condamné Ismail Ezzouak à quatre ans de prison, dont deux avec sursis. L’accusé, âgé de 32 ans, devenu psychiatre, avait fait appel. Il a été rejugé ce vendredi 5 mars 2021 devant la cour d’assises de l’Allier, à Moulins, qui l’a condamné à une peine de quatre ans d’emprisonnement intégralement assortie de sursis.

    […]

    L’article dans son intégralité sur La Montagne

  • La ministre des Armées sanctionne lourdement un capitaine de gendarmerie qui dénonce l’explosion de la délinquance

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021

    fdesouche

    Le militaire a écopé d’un blâme, l’une des plus lourdes sanctions qui puisse être infligée à un officier français, pour être sorti de son devoir de réserve en publiant un livre.

    Puni pour avoir dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Récemment, le capitaine de gendarmerie Hervé Moreau a publié un livre pour dénoncer l’explosion de la délinquance et les manquements de la justice. Baptisé Vérités d’un capitaine de gendarmerie, ce brûlot édité à compte d’auteur s’est déjà vendu à 5 000 exemplaires, sans aucun diffuseur, rapporte Le Figaro, qui dresse le portrait de l’officier. Pour être sorti de son devoir de réserve, Hervé Moreau savait qu’il allait écoper d’une sanction. Mais il ne s’attendait pas à une telle sévérité, comme il le confie au quotidien.

    En effet, la ministre des Armées Florence Parly lui a infligé un blâme, l’une des plus lourdes sanctions qui puisse être infligée à un officier français. Pour faire un exemple ? « Je suis tout simplement abasourdi. Je m’étais préparé à des arrêts de rigueur, mais pas à ce désaveu terrible de la part d’une institution que je sers fidèlement depuis près de 30 ans, dans l’armée de terre, puis dans la gendarmerie nationale », confie ce saint-cyrien au Figaro. « Désormais, je suis prêt à prendre tous les risques pour donner la parole aux gendarmes qui vivent des situations de plus en plus intenables et aux victimes que l’incurie de notre système judiciaire muselle et bafoue », ajoute-t-il.

    (…) Valeurs

    PORTRAIT – L’ancien commandant en second de la compagnie de gendarmerie départementale de Beaune, en Bourgogne, a décidé de rompre le devoir de réserve pour dénoncer l’explosion de la délinquance et les manquements de la justice.

    «La violence qui gangrène aujourd’hui notre société, comme en témoignent les récentes affaires d’affrontements entre bandes rivales dans les quartiers dits sensibles, mais aussi dans les zones rurales ou périurbaines, n’arrive pas à être prise en compte de manière judiciaire», lance le capitaine Moreau.

    «Malgré le formidable travail mené sur le terrain par les gendarmes et les forces de l’ordre en général, combien de fois ai-je vu des auteurs d’agressions, interpellés en flagrant délit ou après une enquête minutieuse, ressortir sans aucune condamnation avec dans les yeux une expression de défi? Pendant combien de temps nos compatriotes vont-ils encore tolérer cela?»

    Le Figaro

  • En Indonésie, la loi permet d’infliger une amende et de priver d’aides sociales ceux qui refusent la vaccination obligatoire anti-Covid

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021

    Le président de l’Indonésie a décrété que de lourdes sanctions financières pourraient être imposées aux citoyens qui ne se conforment pas aux campagnes de vaccination obligatoire anti- COVID, y compris des amendes et la suppression des prestations d’aide sociale.

    Jakarta, la capitale animée du pays, abrite quelque 10 millions de personnes et est la première région du pays, et du monde, à mettre en œuvre les nouvelles règles, imposant des amendes allant jusqu’à 5 millions de roupies indonésiennes (environ 350 dollars) pour non-conformité à la vaccination obligatoire. Les 33 provinces restantes, qui ont la prérogative d’appliquer les nouvelles règles du président, n’ont pas encore choisi d’imposer ces sanctions.

    Le vice-gouverneur de Jakarta, Ahmad Riza Patria, a défendu les nouvelles mesures, avertissant les dissidents potentiels : «Si vous la rejetez, il y a deux choses, l’aide sociale ne sera pas accordée, et vous aurez une amende.»

    Le ministère de la Santé indonésien a rapporté que 65% des Indonésiens sont prêts à se faire vacciner contre le COVID-19, avec seulement 8% admettant qu’ils refuseraient catégoriquement le vaccin.

    Le Dr Febi Dwirahmadi, professeur associé indonésien à l’Université Griffith d’Australie, a qualifié ces mesures de «coercitives».

    «La confiance sociale est absente. Les gens se demandent toujours si cela est sans danger pour les personnes âgées ou les femmes enceintes », a-t-elle déclaré.

    Usman Hamid, directeur d’Amnesty International Indonésie, a critiqué le gouvernement indonésien pour avoir imposé un «mandat général en matière de vaccination, en particulier un mandat comportant des sanctions pénales», le qualifiant de «violation flagrante des droits humains».

    Un certain nombre de gouvernements à travers le monde – tout en n’imposant pas la vaccination – commencent à mettre en œuvre des mesures strictes qui reviennent à forcer la vaccination.

    Israël est en tête à cet égard, venant juste de commencer à rouvrir une partie de son économie aux citoyens qui ont été vaccinés contre le COVID-19 après un verrouillage de deux mois. Ceux qui n’ont pas encore reçu le vaccin COVID, ou qui ont refusé de prendre le vaccin, resteront dans l’impossibilité d’accéder à un certain nombre de lieux et d’entreprises.

    En outre, les autorités israéliennes ont adopté une loi permettant que les informations personnelles de ceux qui ont refusé les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 puissent être collectées et partagées à divers organismes gouvernementaux par le ministère de la Santé. La législation s’étend à ceux qui ont reçu leur première dose du vaccin anti-COVID, mais qui ne sont pas revenus pour la seconde.

    Alors que le gouvernement israélien envisage une législation qui permettrait aux entreprises privées d’imposer que leur personnel soit vacciné, Mobileye, un développeur de voitures autonomes israélien et filiale d’Intel, a déjà annoncé qu’il interdirait aux employés qui rejettent une vaccination contre le coronavirus de pouvoir travailler dans les locaux de l’entreprise.

    De même, en Suède, des mesures coercitives sont mises en œuvre qui rendent la vie de plus en plus difficile à ceux qui refusent les vaccins anti-COVID-19, que ce soit pour des raisons morales, médicales ou religieuses.

    Le ministre suédois du développement numérique, Anders Ygeman, a annoncé que «lorsque la Suède et les pays qui nous entourent commenceront à s’ouvrir, il sera probablement nécessaire d’avoir un certificat de vaccination pour voyager et participer à d’autres activités», y compris l’accès aux divertissements, aux loisirs et aux entreprises.

    Le président américain Joe Biden a lui signé en janvier un décret  ordonnant au gouvernement d’évaluer la «faisabilité» des passeports vaccinaux.

    Mais l’effort international pour contraindre les populations à recevoir les vaccins expérimentaux anti-COVID-19 produit des résultats mortels. Les données du ministère israélien de la Santé ont confirmé que le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer a tué «environ 40 fois plus de personnes (âgées) (en Israël) que la maladie elle-même n’en aurait tué» au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines.

     

    Source : medias-presse.info

  • Olivier Veran s’enorgueillit de “rendre leur liberté” aux personnes âgées

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021

    Il ne fait pas bon vivre dans un EHPAD aujourd’hui.

    Il suffit pour s’en convaincre d’écouter les derniers propos hallucinants d’Olivier Veran, l’actuel ministre de la santé qui a une étrange façon de s’occuper de la santé des anciens. Reconverti en kapo des maisons de retraites devenues des camps de la mort pour personnes âgées, il manie la schlag et le bâton, la seringue et l’injection, après avoir imposé le mortel Rivotril et l’absence de soins adéquats pour ne pas engorger des hôpitaux dont il a œuvré à la dégradation par des coupes sombres dans le budget et les fermetures de lit.

    « Nous rendrons progressivement leur liberté aux personnes âgées… s’ils sont vaccinés ! » a déclaré aux micros de BFMTV, en exerçant ce chantage ignoble, l’arrogant ministre fier de lui, qui de respect pour les personnes âgées, et leur consentement éclairé comme il est dit, n’en a point !

     

    Et pas de liberté pour les anciens qui ne veulent ou ne peuvent se faire vacciner…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • « Ce n’est qu’une question de temps avant que la Bible ne soit censurée »

    Publié par Guy Jovelin le 06 mars 2021

    « Ce n’est qu’une question de temps avant que la Bible ne soit censurée »

    bible censurée,michael sweet

    Michael Sweet est le chanteur, guitariste et principal compositeur du groupe de Heavy Metal ouvertement chrétien Stryper. Il exprime son inquiétude face aux avancées de la censure anti-chrétienne :

    Tout récemment, M. Sweet s’est connecté à son Twitter pour partager une photo de la couverture de la Sainte Bible, et il a inclus le message suivant :

    Nous distribuons des Bibles depuis près de 40 ans. Pour la première fois de ma vie, je me suis posé cette question : “Je me demande combien de temps il faudra avant que ce livre ne soit censuré ?”. Je sais que cela peut sembler stupide, mais ce n’est pas le cas. Ce n’est qu’une question de temps. C’est effrayant !

    Les derniers commentaires de M. Sweet semblent être en accord avec les griefs des conservateurs et de la droite concernant la “cancel culture”, soulignant que ceux de la gauche empiètent constamment sur leur liberté d’expression.

    Formé il y a 38 ans, le nom de Stryper vient d’Isaïe 53:5, qui dit :

    Mais il a été blessé pour nos péchés,
    Brisé pour nos iniquités;
    Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui,
    Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.

    We’ve been handing out bibles for almost 40 years. For the first time in my life I’m asking myself this question – I wonder how long it will be before this book is cancelled? I know it may seem like a silly thought but it’s really not. It’s just a matter of time. Frightening! pic.twitter.com/ikiDaHfDq5

    — MichaelSweet Stryper (@michaelhsweet) March 2, 2021

     

    Source : lesalonbeige