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L’idéologie du genre détruit des jeunes

Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

L’idéologie du genre détruit des jeunesL’idéologie du genre détruit des jeunes

Alors que les demandes de changement de sexe chez les mineurs sont en très forte augmentation en France, l’Académie de médecine alerte sur le

«nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant “détransitionner”» .

Elle a appelé fin février à une «grande prudence médicale» chez l’enfant et l’adolescent,

« compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles» .

Ypomoni, un collectif de parents qui milite «pour une approche éthique des questions de genre» rapporte

«des histoires qui se ressemblent toutes: ados harcelés, agressés sexuellement, haut potentiel intellectuel (HPI), autistes, consultations expédiées, certificats de complaisance…»

Inquiétant phénomène d’embrigadement : les cas d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes qui pensent ne pas être «nés dans le bon genre» et veulent changer de sexe se sont multipliés ces dernières années. En mai, le suicide d’un élève transgenre de 15 ans dans son lycée a suscité l’émotion. C’est une épidémie de suicides. Chez les adultes, le nombre de personnes prises en charge médicalement (admises en affection longue durée) pour transidentité a été multiplié par dix en dix ans, pour atteindre environ 9000 personnes en 2020, selon des chiffres de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).

«Isolées de la vie réelle, des jeunes filles se sont convaincues en ligne, en quelques semaines, qu’elles étaient des garçons. Des adolescentes m’ont raconté qu’elles étaient en permanence connectées à des forums de communautés trans qui jouent sur la victimisation. Elles avaient l’impression de rejoindre le camp du bien, des opprimés, et se voyaient acclamées quand elles se déclaraient non-binaires».

Même constat pour l’association SOS Éducation :

L’emprise des idéologies militantes trans-affirmatives fait croire à de plus en plus de jeunes en questionnement que le changement de sexe est la seule solution pour échapper à la souffrance identitaire qu’ils traversent.

Aveuglés par les réseaux sociaux, pris dans les mailles d’un dispositif associatif sectaire, le risque est qu’ils s’engagent, en marge de leur famille, mais adoubés à l’école, dans des transitions irréversibles. Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. Pourquoi l’Éducation nationale n’en tient-elle pas compte?

Passé la période de l’adolescence, un certain nombre de ces jeunes se rendent compte qu’ils ont fait fausse route ; mais c’est une démarche très difficile de revenir en arrière.

 

Source : lesalonbeige

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