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idéologie du genre

  • ALERTE : spectacle idéologie du genre à Nantes

    Publié par Guy de Laferrière le 14 mars 2023

    ALERTE : spectacle idéologie du genre à Nantes

     

    AUX PARENTS QUI AIMENT LEURS ENFANTS

    Au moins 35 classes nantaises – y compris des établissements privés- sont conviées au spectacle musical « Fille ou garçon » les 6 et 7 avril à Nantes.
    Spectacle de Marion ROUXIN et Eric DORIA, organisé par l’association nantaise La Bouche d’Air, Il est destiné à « tout public à partir de 5 ans ».

    Cette représentation s’inspire en fait d’un livre disque de 11 portraits chantés par Madame ROUXIN qui posent « la question des différences entre les sexes et l’influence du monde adulte sur les enfants ».

    L’histoire trace l’itinéraire de Camille, « une fille dans un corps de garçon », en abordant « le thème de l’homoparentalité ou en s’interrogeant sur leur identité », et vise à « remettre en cause les stéréotypes », peut-on lire sur le site de l’ouvrage. Il s’agit en fait d’une propagande grossière des théories subversives et déconstructrices de la famille naturelle et traditionnelle dont la philosophe américaine Judith BUTLER, féministe radicale, fut la théoricienne dans les années 1980.

    Parents qui aimez vos enfants, faites connaître votre désaccord aux enseignants, refusez d’inscrire vos enfants à cette sortie, alertez les autres parents d’élèves et la paroisse dont dépend votre école ! Dites NON au prétendu droit de l’école de disposer de vos enfants par cette intrusion idéologique intolérable et cette caution donnée à des plaidoyers militants, au détriment du bien de l’enfant.

    civitas-institut.com
    civitas.loire.atlantique@gmail.com

     

    Source : lesalonbeige

  • Manifestation au Mexique contre l’idéologie du genre

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Mexique – Des milliers de personnes ont manifesté devant le Congrès pour exiger des parlementaires que les lois défendent véritablement les enfants mexicains contre l’idéologie du genre et interdisent les traitements chimiques et chirurgicaux de changement de sexe sur mineurs.

    Il y a une semaine, des organisations LGBT et transgenres attaquaient le Congrès à Mexico parce qu’avait été déposé un projet de loi visant à interdire ces pratiques de changement de sexe sur des mineurs. Cette fois, ce sont les défenseurs de la Famille et des enfants qui ont manifesté, et en grand nombre.

    La marche, qui s’est tenue à Mexico, a été convoquée par les plateformes de l’Initiative citoyenne et du Front national pour la famille (FNF).

    Selon un communiqué, Rosa Mary Morales, porte-parole du FNF, a dénoncé lors de cette grande manifestation comment le lobby LGBT cherche à “imposer ses idées et à semer la peur chez les législateurs, le peuple et même les médias “.

    Rosa Mary Morales a déclaré que les plateformes de défense de la famille « s’opposent à ce que l’on fasse du mal aux enfants avec des bloqueurs de croissance, des hormones croisées et des amputations de membres sains qui causent des dommages irréversibles aux enfants ».

    Les participants à la marche ont exprimé leur soutien aux initiatives législatives telles que celles présentées par la députée América Rangel, devant le Congrès de Mexico, et Mónica Rodríguez Della Vecchia, devant le Congrès de l’État de Puebla. Les deux projets de loi visent à interdire et à pénaliser les traitements hormonaux et chirurgicaux de changement de sexe pour les enfants .

    En outre, ils ont encouragé la députée fédérale María Teresa Castell à présenter une initiative similaire au niveau national.

    Au cours de la marche, ils ont également exigé que le droit des parents de choisir l’éducation de leurs enfants soit respecté. D’autre part, il a été demandé que les femmes soient valorisées et respectées, faisant allusion à certains emplois de termes qui cherchent à effacer la distinction entre hommes et femmes.

    Les défenseurs de la famille se sont également opposés au paquet de réformes sur “l’égalité substantielle” et “l’équité entre les sexes” que le Congrès de l’Union tient parmi ses questions en suspens depuis quelques années, et qui comprend des changements constitutionnels qui ouvriraient les portes à l’avortement et à l’idéologie du genre.

    Lors de la manifestation, l’ancienne sénatrice Lisbeth Hernández a exigé que les législateurs mexicains “respectent et observent les traités internationaux et qu’ils ne modifient pas notre Constitution, qu’ils légifèrent toujours dans une perspective familiale, qu’ils respectent et promeuvent la famille composée d’un homme et d’une femme ».

    “Et, surtout, compte tenu des taux élevés de violence que traverse notre pays, que le droit à la vie soit reconnu et promu, ainsi que la stabilité affective de nos enfants”, a-t-elle demandé.

     

    Source : medias-presse.info

  • L’idéologie du genre s’invite chez les Anglicans

    Publié par Guy de Laferrière le 12 février 2023

    L’idéologie du genre s’invite chez les Anglicans

    Après la dénaturation du mariage, les Anglicans se penchent non sur le sexe des anges mais sur le genre de Dieu. Ils viennent de créer une nouvelle commission pour mener une réflexion sur la désignation de Dieu par le genre masculin ou celui féminin. Selon le Rt Rev Dr Michael Ipgrave, évêque de Lichfield et vice-président de la commission liturgique responsable de la question, la communion anglicane avait « exploré l’utilisation d’un langage du genre par rapport à Dieu depuis plusieurs années ».

    « Après un dialogue entre les deux commissions dans ce domaine, un nouveau projet conjoint sur le langage du genre débutera ce printemps ». « Comme pour d’autres modifications potentielles des dispositions liturgiques autorisées, la modification du libellé et du nombre de formes d’absolution autorisées nécessiterait un processus synodique complet pour approbation. ».

    L’intervention de ce responsable fait suite à la question soulevée par la révérende Joanna Stobart, vicaire d’Ilminster et de Whitelacington dans le Somerset, sur les progrès réalisés dans le développement d’un “langage plus inclusif” dans les services.

    La branche conservatrice n’est pas allée par quatre chemins pour réagir face à cette déclaration. Selon des confidences qui ont été faites par le révérend Dr Ian Paul au Telegraph, tout ceci serait l’abandon de la doctrine.

    « Le fait que Dieu soit appelé ‘Père’ ne peut être remplacé par ‘Mère’ sans changer de sens, ni ne peut être neutralisé en tant que ‘Parent’ sans perte de sens »« Ce n’est pas nouveau. Les chrétiens ont reconnu depuis les temps anciens que Dieu n’est ni un homme ni une femme, mais la variété des façons d’aborder et de décrire Dieu trouvée dans les Écritures n’a pas toujours été reflétée dans notre culte ».

     

    Source : lesalonbeige

  • L’idéologie du genre dans les colonies de vacances

    Publié par Guy Jovelin le 12 juillet 2022

    L’idéologie du genre dans les colonies de vacances
    L’idéologie du genre dans les colonies de vacances

    Des amis lecteurs nous envoient copie d’une lettre qu’ils ont reçue d’une colonie de vacances (écriture inclusive comprise naturellement!). Précisons que ce texte ahurissant concerne des adolescents de 13 à 17 ans:

    Se pose alors la question des règles qui encadrent le choix de la composition des chambres par les jeunes, et notamment celle de laisser ou non la possibilité d’une mixité de genre.

    Aujourd’hui, la loi dispose que : « Les accueils avec hébergement doivent être organisés de façon à permettre aux filles et aux garçons âgés de plus de six ans de dormir dans des lieux séparés. Chaque mineur hébergé doit disposer d’un moyen de couchage individuel » à l’article R227-6 du Code de l’action sociale et des familles.

    Il faut comprendre de cette disposition que la loi n’impose pas la séparation des filles et des garçons dans les chambres, mais impose que l’organisation des locaux rende cette séparation possible.

    A […], nous nous sommes interrogés sur l’origine de cette non-mixité suggérée mais pas imposée

    • Pourquoi afficher une certaine volonté de regrouper les filles entre elles et les garçons entre eux 7 Est-ce purement un héritage des écoles de filles et écoles de garçons d’antan ?

    Si oui, est-ce qu’il n’est pas temps de reconsidérer cette tradition ?

    • Est-ce le résultat d’une peur de permettre des relations sexuelles entre jeunes sur les séjours ?

    Mais tous les jeunes que nous recevons en séjour ne sont pas hétérosexuel-le-s... Et cela reviendrait à nier le travail d’éducation à la sexualité et de prévention effectué par les équipes pédagogiques.

    • Est-ce parce qu’on part du principe que les garçons se sentiront plus en sécurité entre eux et les filles entre elles ?

    Mais notre expérience nous prouve que c’est loin d’être systématiquement le cas.

    Nous n’avons pas forcément de réponse à toutes les problématiques que ces questionnements soulèvent, mais ce que nous savons c’est que nous souhaitons par-dessus tout permettre à chaque enfant que nous accueillonsde se sentir en sécurité pour pouvoir grandir et s’émanciper pendant nos séjours.

    Nous serons quoi qu’il en soit à l’écoute des demandes et des besoins de chacun­ e, au-delà d’une règle soufflée mais non posée par la réglementation. Ce qui nous semble le plus important, c’est que chacun-e trouve dans sa chambre un espace sécurisant et adapté au besoin qu’elle ou il en a.

    En outre, promouvoir et affirmer son militantisme autour de la mixité sociale en colonies de vacances, c’est aussi faire le constat que la barrière posée il y a longtemps entre les filles et les garçons n’est plus qu’un filet de pêche bien ajouré. Que la notion même de fille ou de garçon est aujourd’hui remise en cause par les besoins individuels dechaque personne.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’idéologie du genre détruit des jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    L’idéologie du genre détruit des jeunesL’idéologie du genre détruit des jeunes

    Alors que les demandes de changement de sexe chez les mineurs sont en très forte augmentation en France, l’Académie de médecine alerte sur le

    «nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant “détransitionner”» .

    Elle a appelé fin février à une «grande prudence médicale» chez l’enfant et l’adolescent,

    « compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles» .

    Ypomoni, un collectif de parents qui milite «pour une approche éthique des questions de genre» rapporte

    «des histoires qui se ressemblent toutes: ados harcelés, agressés sexuellement, haut potentiel intellectuel (HPI), autistes, consultations expédiées, certificats de complaisance…»

    Inquiétant phénomène d’embrigadement : les cas d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes qui pensent ne pas être «nés dans le bon genre» et veulent changer de sexe se sont multipliés ces dernières années. En mai, le suicide d’un élève transgenre de 15 ans dans son lycée a suscité l’émotion. C’est une épidémie de suicides. Chez les adultes, le nombre de personnes prises en charge médicalement (admises en affection longue durée) pour transidentité a été multiplié par dix en dix ans, pour atteindre environ 9000 personnes en 2020, selon des chiffres de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).

    «Isolées de la vie réelle, des jeunes filles se sont convaincues en ligne, en quelques semaines, qu’elles étaient des garçons. Des adolescentes m’ont raconté qu’elles étaient en permanence connectées à des forums de communautés trans qui jouent sur la victimisation. Elles avaient l’impression de rejoindre le camp du bien, des opprimés, et se voyaient acclamées quand elles se déclaraient non-binaires».

    Même constat pour l’association SOS Éducation :

    L’emprise des idéologies militantes trans-affirmatives fait croire à de plus en plus de jeunes en questionnement que le changement de sexe est la seule solution pour échapper à la souffrance identitaire qu’ils traversent.

    Aveuglés par les réseaux sociaux, pris dans les mailles d’un dispositif associatif sectaire, le risque est qu’ils s’engagent, en marge de leur famille, mais adoubés à l’école, dans des transitions irréversibles. Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. Pourquoi l’Éducation nationale n’en tient-elle pas compte?

    Passé la période de l’adolescence, un certain nombre de ces jeunes se rendent compte qu’ils ont fait fausse route ; mais c’est une démarche très difficile de revenir en arrière.

     

    Source : lesalonbeige