Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Supprimons les subventions aux « fact-checkers »

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mai 2024

     

    Derniers « fact-checkers » à s’être illustrés : ceux de France Info qui, ce week-end, ont expliqué qu’il est faux, complotiste et « antivax » de dire que le vaccin anti-Covid d’Astra Zeneca est dangereux et retiré du commerce pour sa dangerosité. La « preuve » avancée par les « fact-checkers » ? La communication officielle du groupe Astra Zeneca ! Non mais quelle farce…

    Alors que les vaccins anti-Covid n’ont servi qu’à entretenir le Covid et les délires politiques qui y sont liés, preuve en est qu’on ne parle plus de ce Covid depuis que l’Assemblée Nationale a rejeté la prolongation du pass-sanitaire et qu’en conséquence les Français s’en contrefoutent désormais de se faire vacciner, les fact-checkers en sont réduits à copier/coller les communiqués des services de communication des laboratoires pharmaceutiques, voilà de quoi creuser un peu plus le fossé entre la prose des « journalistes » et la confiance des Français envers les médias.

    Il est raisonnablement d’utilité publique de mettre un coup d’arrêt à cette pathétique propagande, que cela soit sur les vaccins anti-Covid comme sur les autres sujets, et de couper immédiatement les subventions que les médias adeptes du « fact-checking » reçoivent de la poche des Français tout en crachant au visage des mêmes Français.

  • L'immigration extra-européenne, en particulier musulmane, représente un danger mortel. Il faut le marteler.

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mai 2024

    Thomas Joly

    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Les élections européennes sont le moment idéal pour rappeler que l'Europe a toujours été un continent homogène ethniquement et qu'elle doit impérativement le rester. L'immigration extra-européenne, en particulier musulmane, représente un danger mortel. Il faut le marteler. »

    442409197_757305669918372_2754009597391626509_n.jpg

  • Le projet éolien au large de Port-La Nouvelle est menacé... 

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mai 2024

    lafautearousseau

    (Dans L'Indépendant) Bonne nouvelle ! Le projet éolien au large de Port-La Nouvelle est menacé... À part l'emploi de l'horrible et ridicule "paca" au lieu de "Provence", et de l'impropre "occitanie" au lieu de "Languedoc" ou "Languedoc-Roussillon", nous nous réjouissons de lire cet article, évoquant l'abandon possible d'un projet dément : nous sommes résolument hostiles à l'éolien, que ce soit sur les terres ou "en mer" (là aussi, pourquoi ce ridicule "off-shore" ?) : nous avons le nucléaire : il est inutile et insensé de gaspiller des milliards pour polluer et défigurer nos paysages, en mer et sur terre, alors que l'argent manque partout ailleurs...

    https://www.lindependant.fr/2024/05/11/la-tribune-des-senatrices-et-senateurs-doccitanie-et-de-paca-en-soutien-a-leolien-off-shore-11944189.php

    Sur le chantier colossal de Port-La Nouvelle.

     

  • Les Jeux Olympiques de Paris 2024 transformés en entreprise de promotion LGBT

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mai 2024

    Le site des Jeux Olympiques de Paris 2024 annonce une Maison des fiertés LGBT
    Le site des Jeux Olympiques de Paris 2024 annonce une Maison des fiertés LGBT

    Les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont récupérés par une vaste opération idéologique de promotion du lobby LGBT. Certains diront qu’il n’y a là rien de surprenant vu la composition de l’actuel gouvernement. Mais l’image de la France à l’Etranger va encore un prendre un sérieux coup.

    Il y avait déjà eu l’annonce qu’un “drag-queen” portera la flamme olympique à Paris. Mais cela ne suffisait pas aux promoteurs de ce lobby. Sur son site officiel, l’organisation des Jeux Olympiques de Paris 2024 annonce maintenant la création pendant les Jeux d’une “Maison des Fiertés” LGBT. Toujours sur le site officiel des JO de Paris, on peut lire ceci :

    Logo des Jeux Olympiques de Paris 2024, version LGBT

    L’EMBLÈME DE PARIS 2024 SE PARE DES COULEURS DU RAINBOW FLAG

    Le 17 mai 2023, pour la Journée de mondiale contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie, l’emblème de Paris 2024 s’est paré des couleurs du rainbow flag. Paris 2024 soutient ainsi symboliquement les membres de la communauté LGBTI+ tout en rendant visible la lutte contre les discriminations à leur encontre.

    Les précisions suivent :

    Pilotée par l’association Fier-Play en collaboration étroite avec Paris 2024, la Maison des Fiertés sera mise en place dans le parc de la Villette, au cœur des Jeux et à quelques encablures de sites de compétition comme l’Arena La Chapelle, le Stade de France ou encore La Concorde.

    La Maison des Fiertés est un lieu sûr, identifiable et accueillant pour tous et toutes : les supporters, les athlètes, et les alliés LGBTI+. Son but est de rendre visible et de célébrer les athlètes LGBTI+ au cours d’une programmation d’activités festives, culturelles et pédagogiques pendant toute la durée des Jeux.

    Permettant aux athlètes qui veulent s’exprimer sur ces sujets de trouver une plateforme idéale et un lieu dédié pour pouvoir le faire, la Maison des Fiertés est ouverte à toutes celles et ceux qui croient en la nécessité d’un sport plus inclusif, autour de trois objectifs :

    Sensibiliser sur l’inclusion des personnes LGBTI+ dans le monde du sport en leur permettant de s’exprimer depuis un lieu dédié ;

    Offrir un lieu de célébration des performances des athlètes LGBTI+ en leur permettant de rencontrer leurs supporters ;

    Il n’est donc plus question ici de poursuivre l’esprit initial des Jeux Olympiques mais d’exploiter ceux-ci et de s’en servir pour mettre en place une vitrine mondiale de la propagande LGBT et de son communautarisme forcené.

    Une obsession qui nuit à l’image de la France dans le monde

    Malgré le battage médiatique étouffant en faveur du lobby LGBT, il faut rappeler que seul l’Occident en fait son nouveau modèle de société. Cette récupération scandaleuse des JO de Paris par le lobby LGBT ne manquera donc pas de susciter bien des critiques partout ailleurs qu’en Occident et de nuire considérablement à l’image de la France alors même que celle-ci se fait de plus en plus évincer du continent africain.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • Un tabou brisé : les viols de Françaises par des G.I. américains en 1944 lors de la “libération”…

    Publié par Guy de Laferrière le 13 mai 2024

    80 ans après la Libération, la parole se

    libère dans les campagnes bretonnes.

    Pendant 80 ans, Aimée Dupré a préféré garder le silence sur le viol de sa mère en 1944.

    A l’approche des célébrations du Débarquement des troupes alliées en France, elle ne veut plus se taire et raconte le viol dont elle a été victime, commis par deux soldats américains, un “fait de guerre”.

    Le 6 juin 1944, 156 000 soldats américains, britanniques et français débarquent sur les plages de Normandie. Dans son petit village breton, à Montours (Ille-et-Vilaine), Aimée a 19 ans et comme tous ses voisins, elle se réjouit de l’arrivée de ces “libérateurs”, qui annonce la fin de l’occupation allemande.

    Mais très vite, elle déchante.

    Le soir du 10 août, deux G.I. – le surnom donné aux soldats américains – entrent dans la ferme familiale. “Ils étaient ivres et il leur fallait une femme”.

    La fermière raconte d’abord comment les soldats ont tiré sur son mari, les balles trouant son béret, puis se sont dirigés, menaçants, vers sa fille : “Je suis sortie pour la protéger et ils m’ont emmenée dans les champs. Ils m’ont violée quatre fois chacun, en tournant”.

    En octobre 1944, à la fin de la décisive Bataille de Normandie, les autorités militaires américaines ont jugé 152 soldats pour le viol de femmes françaises.

    Un nombre “largement sous-estimé”, affirme Mary Louise Roberts, l’une des rares historiennes à s’être penchée sur ce “grand tabou de la Seconde guerre mondiale”.

    “Beaucoup de femmes ont préféré se taire: en plus de la honte liée au viol, l’atmosphère était à la joie, à la célébration des libérateurs”, explique-t-elle.

    “Personne ne veut perdre ce héros américain qui nous rend fiers : le brave et intègre G.I. américain, protecteur des femmes”, note-t-elle.

    “Quitte à perpétuer le mensonge.”

    Le voile se lève enfin sur certains de nos “libérateurs” sur lesquels il était interdit d’émettre le moindre doute sous peine d’être taxé de tenir des propos “nauséabonds”…

    Paul DEROGIS

     

    Source : medias-presse.info