Publié par Guy Jovelin le 29 janvier 2025
Les deux dingues les plus puissants du monde monopolisent toutes les conversations.
A ma droite, l’inénarrable Donald, nouvelle martingale des youpes qui l’ont converti plus ou moins de force et le laissent faire et dire n’importe quoi pourvu qu’il leur assure une impunité totale et investisse des fortunes pour faire de Gaza rasée un nouvel Eldorado dans le genre Dubaï ou Miami. Sans les Palestiniens bien sûr, déportés un partout… Biden le sénile, essoré jusqu’à la moelle, n’avait pas pourtant pas démérité.
Donald et ses déclarations d’intention font frémir les droitiers qui voient en lui « l’homme de la situation », la figure altière de « l’anti anti-France », bref, une sorte de Le Pen américain qui fait ce qu’il dit et qui dit ce qu’il fait… qui déporte les Mexicains comme il faudrait expulser les Algériens…
Ce que je préfère chez lui, outre sa femme et sa fille, sublimes slaves, c’est le fait qu’il aime les Russes et entretienne de bonnes relations personnelles avec Poutine. Au contraire, Zelenski, n’ayant pas atteint les objectifs fixés par la maison-mère – malgré près de 500 000 goys morts pour Black Rock – est sur un siège éjectable en attendant d’être assassiné ou renversé par la CIA…
Et puis, il y a le Musk, psychopathe asperger qui postule pour jouer le méchant dans James Bond. Il pousse si loin le personnage qu’il va jusqu’à saluer son auditoire en tendant le bras ; peut-être pour flatter les « nazis allemands » dont il affirme soutenir le « kampf » ou les Ukrainiens d’Azov qui n’en sont plus à leur première faute de goût. …
C’est la coqueluche de la génération XYZ, grand manitou des puceaux devant leur écran H24. Ses bagnoles sinistres, ses t-shirt de vieux teenager avachi, ses casquettes de base ball, son enthousiasme de geek qui vient de sortir une nouvelle appli pour draguer des filles de 15 ans, sont la façade d’une boutique bien moins fun que prévue. Avec lui et ses disciples, tous Léonard de Vinci 2.0, on s’enfonce un peu plus encore dans la nuit numérique et les ténèbres de la modernité. Espérons qu’un de ses gadgets lui pète très vite à la gueule…
C. Rol
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