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  • Mali : la force Barkhane frappée par une voiture piégée, plusieurs blessés (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2021



    Une attaque à la voiture piégée visant les forces de l’opération Barkhane a fait plusieurs blessés, lundi à Gossi, dans le centre du Mali, selon les informations rapportées par des sources locales à France 24.

    Les forces françaises de l’opération Barkhane ont été frappées, lundi 21 juin au matin, par une attaque à la voiture piégée dans le quartier de Kaigourou, à Gossi (centre du Mali), selon les informations de France 24. Selon des sources locales, l’importante déflagration a fait plusieurs blessés.

    Un témoin a rapporté que plusieurs hélicoptère étaient dépêchés depuis Gao.

    France24 via fdesouche

  • Régionales et départementales 2021

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2021

    L'énorme abstention qui a marqué les scrutins des Régionales et des Départementales prouve, non pas le désengouement des Français pour la chose politique, mais un rejet massif de la classe politique, de la Macronie jusqu'à ses faux opposants. Le théâtre ne prend plus auprès des électeurs dont les préoccupations ne sont prises en compte par personne.
    La dédiabolisation obsessionnelle et la normalisation de son discours - désormais inaudible même pour sa base - ont largement contribué à l'échec cuisant des listes et des candidats du RN. Marine Le Pen s'enfonce dans une stratégie suicidaire de recentrage, voire de gauchisation de son programme, et mène le camp national au désastre malgré le boulevard politique qui s'offre à elle depuis une décennie.
    Tout ceci démontre la nécessité de l'émergence d'une droite nationale alternative et de conviction pour les échéances électorales de 2022 afin de redonner aux Français la possibilité de reprendre en main leur destin. Le Parti de la France participera bien sûr à ce combat pour la France française et l'instauration d'un État national au service du peuple et de la patrie.
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  • Délinquance et immigration

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2021

    Délinquance et immigration

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    L’Institut pour la Justice (IPJ) a publié une note révélant des chiffres alarmants sur la délinquance et les étrangers en France.

    Les seuls chiffres officiels dont nous disposions sont ceux relatifs à la délinquance des étrangers. Nous savons par exemple que, au 1er octobre 2020, les étrangers représentaient 24% des détenus dans les établissements pénitentiaires français. Ils sont donc surreprésentés parmi les détenus dans une proportion supérieure à trois.

    Parmi les détenus étrangers, ceux originaires du continent africain représentaient 54% et ceux originaires du continent européen 33%, soit respectivement 13% et 7,6% de l’ensemble des détenus. Les étrangers originaires du continent africain représentaient en 2019 presque 44% des étrangers présents en France et 3,2% de la population française totale tandis que les étrangers originaires du continent européen représentaient respectivement 38% et 2,8%.

    On peut donc constater que les étrangers originaires du continent africain sont surreprésentés parmi les détenus, aussi bien par rapport à leur part dans la population générale (quatre fois plus nombreux) que par rapport à leur part dans la population des étrangers (1,2 fois plus).

    Si nous passons maintenant aux personnes mises en cause par la police et la gendarmerie en 2019, nous avons les chiffres suivants :

    • Homicides – Étrangers : 17% des mis en cause. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 9%.
    • Coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus – Étrangers : 15%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 10%.
    • Crimes et délits à caractère sexuel – Étrangers : 14%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 9%.
    • Vols avec arme – Etrangers : 18%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 13%.
    • Vols violents sans arme – Étrangers : 31%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 25%.
    • Vols sans violence – Étrangers : 30%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 21%.
    • Cambriolages – Étrangers : 29%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 15%.
    • Vols de véhicule – Étrangers : 8%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 4%.
    • Vols d’accessoires et dans les véhicules – Étrangers : 27%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 19%
    • Escroqueries – Étrangers : 13%. Dont ayant une nationalité d’un pays d’Afrique : 8%.

    Source : lesalonbeige

  • Si l’inflation doit être temporaire, pourquoi les Bourses s’affolent-elles ?

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2021

    Marc Rousset

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    La Bourse de Paris, qui n’en finissait pas de monter tous les jours un peu plus haut vers les niveaux de la bulle de septembre 2000, a brusquement chuté de -1,46 %, ce vendredi. À Wall Street, le Dow Jones a enregistré sa plus grosse perte hebdomadaire (-3,45 %) depuis fin octobre, tandis que le NASDAQ perdait 0,92 % et le S&P 500 1,91 %. Lors d’une réunion monétaire, la Fed a en effet envisagé pour la première fois, ce jeudi, deux hausses de ses taux directeurs d’ici 2023, tout en rappelant que l’accélération de l’inflation était temporaire et qu’elle devrait se stabiliser en 2022 et 2023. Quant au taux à dix ans sur la dette américaine, il a reflué légèrement à 1,51 %.

    En mars 2021, la prévision d’inflation de la Fed était de 2,4 % pour l’année. En juin, la Fed vient d’estimer que l’inflation serait de 3,4 %. La question est de savoir quel sera le taux d’emballement réel de l’inflation en septembre, auquel cas, la Fed sera amenée à envisager des augmentations de taux plus rapides et plus élevées que les deux petites hausses de taux de 0,25 %, ce qui correspondrait à un taux de 0,75 % d’ici 2023, au lieu des 0 % à 0,25 % actuels. Cet emballement potentiel de l’inflation, avec des conséquences sur les taux, préoccupe les marchés.

    Un grand nombre d’économistes, ne serait-ce qu’à cause de la hausse vertigineuse de certaines matières premières et du prix de certains produits chinois, estiment que l’inflation sera importante et permanente. L’indice des prix à la production a bondi de 0,8 % en mai, aux États-Unis, ce qui porte la hausse à 6,6 % sur 12 mois. Le taux de chômage de 14,4 %, en avril 2020, est retombé à 5,8 % et le taux de croissance de 6,4 % en taux annuel du premier trimestre 2021 devrait être encore plus élevé au deuxième trimestre. Il n’est pas du tout certain que les facteurs temporaires de hausse d’inflation (insuffisance momentanée de l’offre et goulots d’étranglement) prédominent sur les facteurs de tendances de fond (liquidités abondantes, augmentation de la vitesse de circulation de la monnaie, énormité des dépenses publiques envisagées par Biden, augmentation post-Covid de la demande en biens et services des particuliers, hausse des matières premières, manque de main-d’œuvre à bas salaire).

    En France, les dépenses publiques censées, aujourd’hui, rémunérer les chômeurs ou aider les entreprises ne font que s’ajouter à la gabegie honteuse qui dure depuis quarante ans. L’ancien socialiste Pierre Moscovici, nommé premier président de la Cour des comptes par Macron, est juste capable de nous dire « que nous devons retrouver des marges de manœuvre pour préparer les prochaines crises éventuelles ». Il reconnaît que « la croissance ne suffira pas à réduire la dette publique et qu’une maîtrise des dépenses doit être engagée ». Il demande de faire refluer la dette publique à partir de 2027 au lieu de 2030 alors que la France sera en faillite bien avant cette date, suite à la hausse inéluctable à venir des taux à long terme.

    Le président de la Banque de France Villeroy de Galhau nous dit qu’il est temps de sortir aujourd’hui du « quoi qu’il en coûte », mais la réalité, c’est que la crise a été surfinancée par le Président Macron : sur les trois années 2020-2022, les mesures de soutien auront atteint 424 milliards d’euros, soit deux fois plus que la perte de PIB de 250 milliards d’euros sur la même période, selon l’institut de conjoncture Rexecode.

    Le gouvernement actuel a cependant la sagesse de ne pas écouter les « hurluberlus » du CAE (Conseil d’analyse économique) et de l’École d’économie de Paris, qui préconisent la « monnaie hélicoptère » pratiquée par la BCE, avec un chèque de 800 euros par citoyen. On raserait de nouveau gratis avec ces technocrates de salon en augmentant l’inflation, suite à une création monétaire sans contrepartie, et donc une perte, à l’actif du bilan de la BCE.

    Inflation, hausse des taux à venir inéluctable : les mailles du filet se resserrent sur la France qui paiera un jour ou l’autre par la faillite et/ou l’hyperinflation son laxisme socialiste de droite et de gauche depuis quarante ans ainsi que l’irresponsabilité, la lâcheté, la fuite en avant de ses dirigeants républicains droit-de-l’hommistes bien-pensants.

     

    Source : synthesenationale

  • Grèce : les habitants de Lesbos en colère contre la construction d’un nouveau camp de migrants. “Cela défigure notre littoral !”

    Publié par Guy Jovelin le 21 juin 2021

    Les habitants de Leros sont en colère contre l’un des cinq nouveaux centres de premier accueil en construction dans les îles de la mer Égée, destinés à fixer les migrants sur place.

    «C’est la première chose que l’on voit lorsqu’on pénètre dans le port. Ce camp, dont la construction a démarré en février, défigure notre littoral», peste l’habitant de l’île montagneuse de 8000 habitants où se dessinent les communes aux maisons blanches. L’édifice qui s’étale sur 63’000 mètres carrés est l’un des cinq nouveaux centres de premier accueil (RIC, «Reception and identification centers») pour migrants, actuellement en construction sur les îles égéennes à proximité de la Turquie. L’Union européenne a investi 276 millions d’euros pour remplacer les anciens camps, érigés en 2016 sur les îles de Kos, Samos, Lesbos, Chios et Leros et qui comptent aujourd’hui 9000 demandeurs d’asile.

    (…)

    «Les autorités nous disent que c’est temporaire. Nous n’y croyons pas. De plus, ce nouveau camp détruit la nature et affectera notre tourisme.»

    Michael Kolias, maire de Leros

    (…)

    Tribune de Genève via fdesouche