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  • Tribune pro-pédophilie : au tribunal, Jack Lang en prend pour son grade

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2021

    Tribune pro-pédophilie : au tribunal, Jack Lang en prend pour son grade

     

    Ce jeudi 17 juin, l’ex-ministre de François Mitterrand était jugé pour « diffamation », après ses propos sur la fille de la célèbre psychiatre Françoise Dolto. Sur Europe 1, Lang a prétendu qu’elle avait, comme lui, signé une tribune pro-pédophilie.

     

    (….)

     

    À l’origine de cette passe d’armes ? Des propos tenus par Jack Lang le 18 janvier dernier. À cette époque – nous sommes peu après la publication de La Familia grande de Camille Kouchner – la France découvre de terribles affaires d’incestes. « Chacun est sommé de se positionner sur ce sujet », rappelle la procureur de la République dans son propos liminaire. Ce jour-là sur Europe 1, au micro de Sonia Mabrouk, l’ancien ministre de la Culture est questionné au sujet d’une tribune pro-pédophilie qu’il a signée en 1977. Le poète Louis Aragon, l’écrivain Gabriel Matzneff et des dizaines d’autres signataires y réclamaient de la clémence pour trois auteurs d’actes de pédophilie : « Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit », écrivaient-ils.

    « C’était une autre époque, c’est une connerie, s’excuse à la radio l’ancien maire de Blois. On était très nombreux à l’époque à signer ça. » Puis, poursuivant : « Nous n’étions pas seuls à dire cela. Il y avait même des personnes éminentes, je pense à Catherine Dolto, même si elle était prudente. » Catherine Dolto n’en croit pas ses oreilles. Le sang de cette médecin et écrivaine de 74 ans ne fait qu’un tour. Elle réplique, dénonce dans nos colonnes un « mensonge éhonté », attaque l’ex-ministre en « diffamation ». Dans une lettre qu’il lui expédie plus tard, Lang reconnaît sa confusion : à ce moment, il songeait en fait à sa mère, Françoise Dolto. Une célèbre psychanalyste décédée en 1988. Sauf qu’elle non plus, n’a pas signé cette tribune…

     

    www.marianne.net via fdesouche

  • Stella Kamnga : « Le mouvement Black Lives Matter est une escroquerie, personne ne devrait ployer le genou ! ».

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2021

    À l’occasion de l’ouverture de l’Euro de football, l’équipe de  a annoncé qu’elle poserait genou à terre avant le match qu’elle disputera avec l’Allemagne, en  au mouvement . Stella Kamnga condamne cette initiative. Elle s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.

    https://soundcloud.com/bvoltaire/stella-kamnga

    La France ouvre son Euro face à l’Allemagne. Il a été annoncé qu’avant le match, l’équipe de France s’agenouillera en hommage au mouvement Black Lives Matter et plus généralement contre le racisme. Condamnez-vous cette initiative ?

    C’est très bien de lutter contre le racisme et encore mieux quand on lutte contre tous les racismes. En revanche, cette  de se mettre à genoux pour soi-disant lutter contre le racisme derrière l’idéologie de Black Lives Matter est une escroquerie, une arnaque. Black Lives Matter ne  concerne ni les Français ni l’, mais bien les Américains.  C’est leur concept et nous n’avons pas à aborder ce concept-là en France et encore moins les Bleus.

    De plus, il y a un problème de crédibilité. Dans un précédent match, Thuram avait craché sur un homme blanc. Son père avait rétorqué que c’était un crachat involontaire. S’il faut donner des leçons de racisme, cela doit commencer au sein de l’équipe des Bleus. Il faut leur apprendre à ne pas cracher sur les gens, à se tenir et à être cohérents envers leurs propres idées.

    Pour l’instant, on constate qu’au début de tous les matchs, ils se mettent à genoux pour lutter contre le racisme. Mais de quel racisme parle-t-on ? Black Lives Matter est une idéologie américaine.

    En France, des problèmes marquent la société, notamment les actes terroristes que nous vivons depuis un moment. Des policiers sont agressés, martyrisés et égorgés. Et pourtant, je n’ai vu aucun Bleu se mettre à genoux en mémoire de toutes ces personnes-là. Comme toujours, on importe des idéologies de l’oncle Sam.

     

    Comment expliquer que certains pays d’Europe, notamment la France, l’Angleterre et d’autres se mettent à genoux en soutien à Black Lives Matter ? En revanche, en Europe de l’Est et notamment la Hongrie, la  ou d’autres nations refusent de le faire. Que révèle cette mentalité différente selon les pays ?

    De prime abord, j’ai une petite idée. La France et le Royaume-Uni sont des pays plutôt proches idéologiquement et politiquement. La  est impactée par la culture américaine. Nos  sont influencés par la culture américaine. L’idéologie  est malheureusement répandue partout dans les pays de l’Europe. Ces pays subissent cette immigration énorme et puisent leur force dans les idéologies de gauche des États-Unis.

     

    Ce signe luttant contre le racisme principalement envers les noirs est né aux États-Unis. En Afrique est-on touché par ces manifestations ?

    Les nations africaines se sentent-elles soutenues lorsqu’elles voient une équipe de blancs occidentaux privilégiée ployer le genou en hommage aux victimes du racisme anti noir ?

    Pas du tout. Au début du mouvement Black Lives Matter, il y avait encore cette émotion-là.

    D’une certaine manière, tous les noirs même en Afrique se sentaient concernés. Ensuite, il y a eu les différentes crises politiques notamment au Sénégal et au Mali où les dirigeants massacraient la population. Des Maliens et des Sénégalais en France ne se sentaient pas concernés par ce qu’il se passait au Sénégal et au Mali. Il y a deux semaines, la communauté LGBT était martyrisée, frappée, tuée et emprisonnée au Sénégal et nous n’avons pas vu de mouvement Black Lives Matter supporter les noirs gays au Sénégal. Très peu de noirs aujourd’hui dans les pays africains soutiennent encore Black Lives Matter. Ils ont compris que Black Lives Matter s’arrêtait aux États-Unis.

    Les noirs vivant en Afrique ont conscience que le mouvement Blacks Lives Matter ne les concerne pas. Ces personnes réalisent enfin que Blacks Lives Matter est une escroquerie surtout depuis que l’on sait que les « leaders » de ce mouvement ont détourné des sommes astronomiques pour construire leur maison et construisent leur avenir avec de l’argent qui était prévu pour aider les jeunes des quartiers. Ils n’ont jamais reçu l’argent en question. Non seulement c’est un détournement de fonds, mais en plus ils ont changé de situation. Ils expliquent aux autres qu’il faut aller manifester. Blacks Lives Matter est une escroquerie et personne ne devrait ployer le genou sous l’égérie d’une arnaque.

    [Mise à jour du 15/06/2021 à 22h55, NDLR : l’équipe de France ne s’est finalement pas agenouillée].

     

    Stella Kamnga

    Chroniqueuse
     
  • Etats-Unis : le Texas autorise le port d’arme à feu en public et sans permis

    Publié par Guy Jovelin le 18 juin 2021

    Promulguée mercredi, la nouvelle loi texane autorisant le port d’arme en public sans permis entrera en vigueur le 1er septembre.

    Un pas de plus vers la décomplexion concernant le port d’arme. Le gouverneur républicain du Texas a promulgué mercredi une loi autorisant le port d’arme à feu en public et sans permis. Cette loi est la dernière d’une série de mesures élargissant les droits en matière d’armes à feu dans les Etats conservateurs aux Etats-Unis.

    Cette loi, adoptée en mai par un Sénat et une Chambre des représentants dominés par les républicains dans cet Etat du sud, permet à toute personne âgée de 21 ans ou plus et n’étant pas visée par une interdiction de détenir une arme à feu d’en porter une en public sans permis. Elle doit entrer en vigueur le 1er septembre.

    Le texte considère que les Constitutions des Etats-Unis et du Texas autorisent les citoyens à porter une arme à feu et que, par conséquent, il devrait y avoir moins d’obstacles en la matière. Le gouverneur Greg Abbott compte présider une cérémonie de promulgation du texte jeudi, d’après le journal Texas Tribune.

    […]

     

    La représentante Vikki Goodwin avait demandé lundi au gouverneur d’opposer son véto à la loi après la fusillade à Austin. « Nous devons intervenir pour briser ce cercle vicieux », a-t-elle indiqué.

    Le Parisien via fdesouche

     

  • Un écolier de Poix-de-Picardie (80) interroge Emmanuel Macron : « Ça va, la claque ? »

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

     

    Source : fdesouche
  • Cognac (16) : un professeur réclame sa mutation après avoir été pris à partie et accusé d’islamophobie par un parent d’élève

    Publié par Guy Jovelin le 17 juin 2021

    fdesouche

    C’était le 16 décembre 2020, deux mois jour pour jour après la décapitation du professeur Samuel Paty par un jeune Tchétchène radicalisé. Ce matin-là, aux alentours de 10 heures, Stéphane Didier, professeur d’histoire-géographie au collège Claude-Boucher de Cognac, a rendez-vous avec la mère d’une élève, Mme K., pour parler de la situation de sa fille, dont les résultats sont en baisse. Le rendez-vous se déroule dans la salle des professeurs. Deux autres collègues de Stéphane Didier, cachés par une cloison, sont également présents dans la pièce – où ils prennent leur pose, et deviendront des témoins auditifs clés de l’altercation.

    Rapidement la conversation s’envenime avec Mme K. « Durant notre échange, cette femme a volontairement porté des propos diffamatoires intimidants, avec menaces verbales, et outrageux relatifs au racisme antimusulman à l’égard de sa fille », indique Stéphane Didier, dans le procès-verbal de sa plainte, déposée quelques heures plus tard. Dans ce document – que Valeurs actuelles a pu consulter -, il affirme « n’avoir jamais tenu de tels propos » dans ses cours. « Je suis républicain et je respecte la laïcité appliquée dans mon pays », déclare le professeur, qui se voit reprocher par la mère de l’élève, musulmane, de pousser sa fille au suicide. La discussion monte d’un cran lorsqu’elle l’accuse de « regarder sa fille de travers » et de la « harceler » avec ses « remarques sur son travail et ses mauvais résultats ».

    Ce ne sont pourtant pas ces allégations qui inciteront Stéphane Didier à porter plainte, mais la suite de l’entretien, lors duquel Mme K. « a alors évoqué toute seule l’affaire Samuel Paty » tentant de « faire le lien entre le meurtre de cet homme et mon enseignement », affirme le professeur. « Elle a réitéré ses propos et ajouté dans un accès de colère irrationnel : “Vous savez ce qu’est l’affaire Samuel Paty. ” » Stéphane Didier décide de couper court à l’entretien, mais se voit encore traiter de « sale prof raciste »« En état de choc psychologique », il se rend le même jour chez le médecin, qui lui prescrit deux jours d’arrêt maladie, soit jusqu’au 18 décembre, date du début des vacances scolaires de Noël. Les professeurs témoins de la scène accepteront quant à eux de se rendre au commissariat. Tous deux confirment les insultes et l’évocation de l’affaire Samuel Paty comme point de départ de ces insultes.

    La suite de l’enquête sur Valeurs Actuelles