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  • Près d’un quart des Français a déjà subi un cambriolage de sa résidence principale, une surreprésentation des étrangers parmi les mis en cause

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    « Surreprésentation des étrangers parmi les mis en cause » parmi les cambrioleurs
    
    En 2017, « 11 % ont une nationalité africaine, alors que 3 % de la population qui réside en France est d'une nationalité d'Afrique ». Chiffre auquel s'​ajoutent 7 % qui ont une nationalité hors UE, et encore 11 % d'une nationalité européenne. Un total de 29% d'étrangers alors qu'ils ne représentent que 7,4 % de la population française.
    
    Source : Ministère de l'Intérieur / INSEE

    Près d’un quart des Français a déjà subi un cambriolage de sa résidence principale, et pour plus de la moitié (14%), ce n’est pas une lointaine expérience mais une effraction vécue ces 10 dernières années.

    Tandis que nombre de Français s’apprêtent à prendre la route des vacances pour profiter de la saison estivale, l’Institut français d’opinion publique (Ifop) publie ce mardi 6 juillet une enquête sur leur expérience des cambriolages et leur crainte d’en être victimes. L’étude porte sur toute l’année, tout en accordant une place centrale aux vacances d’été, période propice aux effractions.

    Réalisée pour Internorm auprès d’un échantillon national représentatif de 1000 Français, elle met en exergue quatre points distincts. D’abord, une peur croissante des Français à l’idée de laisser leur maison lorsqu’ils partent en vacances. Ainsi, plus des deux tiers (69%) se disent aujourd’hui inquiets pour leur logement quand ils partent en congé ou en week-end, soit un sentiment d’inquiétude plus répandu que celui que l’on pouvait mesurer il y a une quinzaine d’années (45% en 2006 selon l’Ifop).

    […]

     

    Faire l’objet d’un squat suscite aussi de fortes inquiétudes, que ce soit pour son logement principal (56%) ou pour sa résidence secondaire (72%). Et cette crainte de voir son logement principal squatté n’est pas l’apanage des riches. L’étude de l’Ifop révèle qu’elle affecte au contraire beaucoup plus les Français ayant un niveau de vie inférieur ou égal à 900 euros nets/mois (75%) que ceux ayant des revenus de plus de 2500 euros nets/mois (56%). «La médiatisation qui a été faite ces dernières années autour du squattage des résidences secondaires ou plutôt de la grande difficulté à déloger les squatteurs, a en grande partie créé l’angoisse», observe pour sa part Alain Bauer.

    Le climat d’insécurité qui est celui que nous connaissons ces derniers temps ne s’est pas construit sur rien. L’inquiétude est légitime et ne relève pas du phénomène de la rumeur

    Alain Bauer, professeur de criminologie au Centre national des arts et métiers (Cnam)
    […]

     

    Le Figaro via fdesouche

  • Plus de 50% des enseignants de moins de 30 ans sont pour le burkini, ainsi que des horaires réservés aux femmes dans les piscines municipales

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    L’Observatoire de l’éducation de la Fondation Jean-Jaurès a réalisé avec l’Ifop une enquête permettant de mieux cerner la place que les enseignants accordent aujourd’hui aux religions à l’école, le sens qu’ils donnent à la laïcité, mais aussi leur point de vue sur le port des signes religieux par les différents acteurs (les élèves, les parents…) du système scolaire. Il s’agit du quatrième et dernier volet du Baromètre sur les enseignants publié par la Fondation depuis janvier dernier.

    Au regard de cette enquête menée auprès d’un échantillon représentatif d’enseignants des premier et second degrés, le corps enseignant apparaît imprégné d’une vision de la laïcité qui serait avant tout associée à la liberté de conscience et à une certaine tolérance à l’égard des manifestations de religiosité (par exemple, le voile des accompagnatrices) dans la société en général et à l’école en particulier.

    Méthodologie : Étude Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 10 au 17 décembre 2020 auprès d’un échantillon de 801 personnes, représentatif des enseignants des premier et second degrés en France métropolitaine.

     

    Ensemble des enseignants sondés :

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    Fondation Jean-Jaurès

     

    via fdesouche

  • Orban contre la déferlante progressiste.

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    © DR

    Hier les militants LGBT protestaient dans toute l'Allemagne contre le Premier ministre hongrois Viktor Orban, et l'un deux s'introduisait dans le stade munichois au début du match Allemagne-Hongrie. Face à la déferlante progressiste, Orban ne semble pas faiblir.

    Un militant LGBT s’est introduit sur la pelouse du stade de Munich au début du match entre la Hongrie et l’Allemagne, pour brandir le drapeau arc-en-ciel face à l’équipe hongroise. La ville de Munich avait prévu de colorer son stade aux couleurs du même drapeau en signe de protestation contre la politique conservatrice et prétendument homophobe de Viktor Orban. Il avait en conséquence refusé de se déplacer pour l’occasion malgré sa passion pour le football. L’UEFA, organisateur du tournoi, a finalement décidé d’annuler l’initiative, invoquant la neutralité politique et religieuse de la compétition. Décision qui a suscité une vague de critiques, et qui a entraîné cet acte militant. Aussi, le drapeau arc-en-ciel décorait hier l’Allemagne en plusieurs endroits – le musée juif de Munich, les stades de plusieurs villes, le compte Twitter de la police de la ville, des locomotives de la société de chemins de fer locale, et certaines entreprises comme Volkswagen et BMW, qui ont sauté sur l’occasion pour faire du pinkwashing.

    En France, Clément Beaune, secrétaire d’État aux affaires européennes, a qualifié ce refus de « décision politique ». Mieux encore, la jadis conservatrice Valérie Pécresse, invitée sur France Info ce matin, a déclaré : « Aujourd’hui, ce que fait monsieur Orban vis-à-vis des Hongrois homosexuels est inacceptable ». De son côté, le ministre des Affaires étrangères hongrois s’est dit rassuré : « Dieu merci, les dirigeants du football européen ont fait preuve de bon sens ».

    Mais quelle est la politique du Premier ministre qui est à ce point décriée ? La Hongrie a adopté le 15 juin dernier, à 157 voix contre une, un texte de loi qui « interdit la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs »« La pornographie et les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l’identité de genre, le changement de sexe et l’homosexualité ne doivent pas être accessibles aux moins de 18 ans ». L’objectif est de « protéger les droits des enfants ». Si l’on n’est pas encore certain du périmètre d’application du texte, sont dans le viseur les programmes télévisés, publicités et livres pour enfants remaniés pour « dédramatiser l’homosexualité ». Question d’éducation donc, et de perpétuation d’une norme sociale.

    Face aux nombreuses contestations, en particulier de ses homologues européens dont Emmanuel Macron, Orban a rappelé que cette loi ne concernait pas les homosexuels mais « la façon dont les parents veulent faire l’éducation sexuelle de leurs enfants », et qu’il « défend les droits des homosexuels ». Le texte en lui-même est relativement ambigu, certainement pour essayer de passer à travers le filet de la Commission européenne. Cette dernière a tout de même engagé la procédure prévue par l’article 7 du traité de l’UE pour violation présumée de l’État de droit. Sa présidente, Ursula Von Der Leyen, avait réagi : « Ce projet de loi hongrois est une honte. Il discrimine sur la base de l’orientation sexuelle et s’oppose aux valeurs fondamentales de l’UE. On ne fera pas de compromis ».

    En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple

    Des milliers de manifestants étaient descendus dans les rues pour dénoncer la « cruelle campagne politique » du pouvoir. Le texte s’inscrivait dans une série de lois visant à lutter contre la pédophilie, un « amalgame » dénoncé par les militants. En décembre, le gouvernement avait interdit l’adoption par des couples homosexuels et inscrit la notion traditionnelle de la famille et du « genre » dans la Constitution. Le texte ajoutait : « L’éducation est assurée conformément aux valeurs fondées sur l’identité constitutionnelle et la culture chrétienne de la Hongrie »« C’est un jour sombre pour les LGBT et un jour sombre pour les droits humains » larmoyait Amnesty International.

    Orban a retiré dans la foulée les accréditations des études de genre. Une ambition conservatrice, ou « illibérale », que le Premier ministre hongrois affiche depuis le début de son mandat – en 2018, il entamait une politique familiale ambitieuse, subventionnant les familles d’au moins trois enfants, lui-même montrant l’exemple avec ses cinq enfants. Des choix qui provoquent un bras de fer avec Bruxelles depuis longtemps, sa Charte des droits fondamentaux interdisant « toute discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ». En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple quand on est dans l’UE. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a déclaré jeudi « La Hongrie n’a plus rien à faire dans l’UE ». Nous n’aurions pas dit mieux.

    Source : https://lincorrect.org/

  • Ignace – Le vaccin pour marcher dans les clous

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    Auteur : 
    Ignace - Le vaccin pour marcher dans les clous
    Ignace – Le vaccin pour marcher dans les clous

    Source : medias-presse.info
  • APRES LE MARIAGE POUR TOUS, LE VACCIN POUR TOUS ?

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    apartheid,le vaccin pour tous

    Pieter Kerstens

    Comme un virus peut en cacher un autre, par exemple le virus du contrôle généralisé, on s’aperçoit que l’épidémie du Covid-19 a aussi contaminé les esprits et supprimé toute forme de jugement sain.

    La plupart des gouvernements européens, sous la contrainte des eurocrates de Bruxelles, nous ont imposé des couvre-feux, des astreintes à domicile et des interdictions diverses depuis 18 mois, sans consultation des assemblées élues ni des citoyens. Par contre, jour après jour, nous avons été matraqués par des informations plus pessimistes les unes que les autres, installant de cette manière un climat d’anxiété et de peur parmi la population.

    Protéger les vieux, les obèses, les diabétiques ou les cardiaques ?

    Incapables de stopper cette épidémie, d’abord par manque de masques et de tests de dépistages, puis par l’encombrement des services de réanimation et enfin par une gestion calamiteuse de la campagne de vaccination, les princes qui nous gouvernent nous avaient répété plusieurs fois que les vaccins ne seraient pas obligatoires.

    En occident, et en Europe en particulier, très peu de virologues ou d’épidémiologistes ont eu la possibilité de nous démontrer que ce SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), en provenance de Chine, suivait une longue liste d’épidémies respiratoires et n’était pas plus mortel que les précédents si l’on suivait 3 règles de bon sens, appliquées ailleurs dans le monde :

    • Port d’un masque en milieu fermé et non aéré.
    • Dépistage des individus contaminés
    • Isolement en quarantaine des malades.

    C’est pourtant ce qui avait été appliqué par la France lors du rapatriement de 225 citoyens résidants à Huhan en janvier 2020 qui avaient été mis en quarantaine dans un village de vacances dans le sud du pays et isolés du reste de la population. Résultat = pas de propagation ni d’hospitalisation ! Alors pourquoi cette mesure contraignante n’a-t-elle pas été imposée aux centaines de milliers d’autres malades depuis ? Par manque de volonté et de courage politique !

    C’est aussi ce qui est imposé pour toutes les maladies contagieuses (tuberculose, hépatites, choléra, ou autres) partout dans le monde. D’autant plus que les hôtels étant fermés par arrêtés ministériels successifs, il était donc possible de les réquisitionner pour recevoir les dizaines de milliers de malades durant 10 jours en isolement total dans leurs chambres. 

    Apartheid, discrimination et séparation.

    On en arrive après de longs mois de tergiversation à brûler un cierge et à invoquer la Pachamama pour que le Covid cesse de nous emmerder et de mettre notre économie à genoux.

    De nombreux secteurs de l’activité économique en Europe sont proches de l’asphyxie et des dizaines de milliers d’entreprises vont devoir mettre la clef sous la porte à cause des décisions imbéciles de ministres incompétents et arrogants.

    Et le pire est en train de se mettre en place : le passeport sanitaire.

    En plus du carnet de vaccination, du passeport de voyages et du carnet jaune international, ce « passeport sanitaire » imaginé par les bureaucrates de Bruxelles identifiera les individus vaccinés et leur permettra certains privilèges. N’oublions pas que « la vaccination n’est pas obligatoire », selon les déclarations gouvernementales.

    C’est la énième mesure de séparation entre les citoyens, qui empêcherait la propagation et l’extinction de l’épidémie. Ainsi, les avions, les night clubs, les stades, les musées, les salles de concerts, les cinémas, les casinos, les restaurants et autres lieux de rassemblements ne seront plus accessibles à ceux qui ne seraient pas vaccinés ! Plus de rav’parties ou de fêtes sauvages pour les récalcitrants…

    Cette discrimination pourrait également être étendue aux métros, trams, bus, agences bancaires, bureaux de la Poste, les agences pour l’emploi, les gares, les salles de shoot, les homes ou les restos du cœur, si l’on veut rester dans la logique et l’esprit de ce nouvel apartheid qui interdirait la mixité entre vaccinés et pestiférés !

     

    Source : synthesenationale