Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 38

  • Bourses : le conte de fée post-covid pourrait bien virer au drame.

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2021

    Wall Street finit ce vendredi à des niveaux records, portée par les 850.000 postes créés en juin. La Bourse de Paris affiche un repli de 1,06 % sur la semaine, mais une hausse de 17,25 % depuis le début de l’année (14,59 % pour le Dow Jones et 14,01 % pour le Dax). Pourtant, avant même la crise du Covid, début 2020, certains économistes criaient déjà au loup et au krach à venir… Alors où est l’os ? Que se passe-t-il ?

    bourses,conte de fée post-covid,drameSuite à la crise du Covid, le CAC 40 a progressé de +75 % depuis son point le plus bas du 18 mars 2020. Le CAC 40 a même dépassé le sommet de 6.168 d’avant la crise des « subprimes » en 2008, et il tangente à 6.552 le sommet historique de 6.922 du 4 septembre 2020 d’avant l’éclatement de la bulle internet !

    Si l’on écoute Bruno Le Maire, tout va très bien ! Même pas besoin d’un second plan de relance à la . La  sera de 5 % en 2021, 6 % même selon l’INSEE. Le rebond de l’économie en septembre dépendra seulement de la vaccination et d’un plan d’investissements publics dans les secteurs innovants en jouant la carte de la coopération en . La seule mesure qui s’impose, c’est la retraite à 64 ans, après le retour à l’équilibre de l’assurance , et 321.000 emplois seront de nouveau créés en 2021. Quant à la BCE, elle s’engage à maintenir une aide de création monétaire jusqu’en mars 2022, soit 80 milliards d’euros mensuels du plan PEPP et 20 milliards d’euros mensuels du programme traditionnel d’achats (APP). L’inflation, elle, culminerait à 2 % pendant l’été, mais régresserait ensuite pour atteindre environ 1,5 %.

    Aux Etats-Unis, même conte de fées pour le « progrès historique » selon Joe Biden, avec un taux de croissance de 7 % en 2021, le plus élevé depuis 1984, et un taux de chômage de 5,9 % ! La Fed doit continuer son programme d’achat de 120 milliards de dollars mensuels, dont 80 milliards d’obligations d’Etat et 40 milliards d’actifs adossés à des prêts hypothécaires (MBS). Tout va donc très bien aux Etats-Unis, nonobstant les 6,8 millions d’emplois qu’il manque encore par rapport à février 2020.

    Alors vive le Covid qui ne serait pas un virus, mais bel et bien un don du ciel pour faire monter les bourses ! La deuxième jambe de descente des cours aux enfers lors de la crise de 1929, non seulement n’a pas eu lieu en 2020, mais a été remplacée bien au contraire par une montée lente et continue jusqu’à fin 2020 et premier semestre 2021. Mais si les Bourses ont monté, c’est uniquement parce les Etats ont distribué à gogo de l’argent emprunté qu’ils n’avaient pas et parce que les  centrales ont pratiqué une politique monétaire non conventionnelle en actionnant la planche à billets du « QE » ! Il n’y a donc pas de miracle Covid !

    La dette de la France, suite à la facture astronomique de 424 milliards d’euros du « n’importe quoi, quoi qu’il en coûte » de la crise sanitaire entre 2020 et 2022, atteint aussi un record absolu effrayant ! La baisse de la dette prévue à 118 % du PIB pour 2027, c’est du pipeau ! Les étrangers n’achètent plus d’ores et déjà la dette de la France. Grosso modo, le stock actuel de la dette française, c’est 25 % pour les établissements français, 25 % pour la BCE et 50 % pour les étrangers. Même schéma, à quelques nuances près, aux Etats-Unis, avec un endettement démentiel et le risque croissant de la crise à venir du dollar. La France est en fait déjà en faillite avec des taux proches de 0 %, mais seule l’augmentation naturelle des taux d’intérêt provoquera la banqueroute.

    Il ne faut pas oublier non plus l’affrontement -USA, les risques sanitaires possibles du variant delta, le risque d’inflation qui pourrait ne pas être transitoire aux Etats-Unis (prix des maisons +14,88 % en un an) si la vitesse de la circulation de la monnaie augmente, les délocalisations qui continuent sournoisement et le chômage structurel qui risque de s’accélérer avec le télétravail des services dans les pays émergents…

    Toutes choses égales par ailleurs, nous venons d’éviter la crise de 1929 à deux reprises, en 2008 et en 2020, avec des moyens non conventionnels, mais la contrepartie, c’est que nous nous dirigeons vers le « Méga1929 » du siècle des siècles, avec l’effondrement du système, l’hyper-inflation, et l’écroulement des monnaies. Nous vivons présentement les « roaring twenties » des années 1920. Les Français ont en fait une dette de 7.000 milliards d’euros, soit plus de 100.000 euros par habitant impossible à rembourser, si l’on tient compte des dettes hors bilan ! Voilà la triste réalité. Les Bourses qui montent actuellement jusqu’au ciel, c’est tout simplement l’arbre qui cache momentanément la forêt de la décadence économique et civilisationnelle de l’Occident, et plus particulièrement de la France et de l’Italie.

     

    Marc Rousset

    Économiste
    Ancien haut dirigeant d'entreprise
  • L’immunité collective post-injection pseudo-vaccinale anti-Covid : mythe versus faits avérés (Dr Gérard Delépine)

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2021

    Auteur : 

    Actuellement tous les membres du gouvernement et les médias nous promettent qu’on sera débarrassé du Covid et qu’on retrouvera nos libertés dès que nous serons tous vaccinés grâce à l’immunité collective. Avant de les croire, vérifions les faits avérés dans le monde réel.

    Quatre grands pays (GB, Israël, Chili, Seychelles) et un mini état (Gibraltar), champions de la vaccination, constituent les modèles de « réussite vaccinale » avec plus de 60 % de leurs populations vaccinées et un recul moyen de six mois.

    L’examen de leur situation sanitaire Covid19 basé sur les données de l’OMS et OurWorldinData permet de mesurer objectivement l’effet d’une couverture vaccinale élevée.

    Explosion post-vaccinale des contaminations et de la mortalité à Gibraltar

    À Gibraltar, la vaccination a commencé en décembre 2020, et a inclus les visiteurs espagnols permettant d’atteindre un taux de couverture vaccinale de 115 %.

    Six mois après cette vaccination les chiffres officiels de l’OMS objectivent une explosion des contaminations (multiplié par 4) et des morts attribuées au Covid19 (multipliées par 19).

    Les autorités sanitaires qui ont organisé la campagne de vaccination prétendent qu’il n’y a aucune relation de cause à effet sans donner la moindre explication alternative.

    Situation très préoccupante aux Seychelles depuis la vaccination

    L’archipel de près de 100 000 habitants avait été presque entièrement épargné par l’épidémie avant la campagne de vaccination qui a commencé en janvier 2021. Champion africain de la vaccination, il compte actuellement près de 70 % de sa population entièrement vaccinée et doit faire face depuis à une situation sanitaire incontrôlée.

    Selon l’agence de presse des Seychelles, un tiers des cas actifs impliquait des personnes entièrement vaccinées. Les autres avaient reçu une seule dose ou alors n’étaient pas encore vaccinées.

    En réponse à cette flambée de l’épidémie, l’archipel a durci les mesures. Les écoles sont fermées, les réunions entre membres de foyers différents ne sont plus autorisées et le télétravail est fortement encouragé. De plus, les bars, restaurants et commerces doivent désormais fermer plus tôt le soir et les activités sportives sont annulées.

    Le couvre-feu à 23 heures reste quant à lui toujours d’actualité. La ministre de la Santé Peggy Vidot parle même d’une « situation critique ». La saison touristique 2021 est maintenant fortement compromise.

    La victoire à la Pyrrhus britannique

    Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats de la vaccination sont excellents en Grande-Bretagne champion européen de l’Astra Zeneca. Pourtant curieusement les données de l’OMS et de OurWorldinData montrent le contraire.

    En effet, les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté pendant les trois mois post-vaccination cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

    De même, la vaccination a été suivie d’une forte hausse des contaminations journalières

    Avant la vaccination au 7/12/2020, après dix mois d’épidémie la Grande-Bretagne recensait 1 753 599 cas confirmés contre 4 828 467 aujourd’hui (+175 %)

    Et si une certaine diminution des contaminations, transitoire en mars et début avril a fait espérer que le vaccin protégerait l’avenir, l’apparition d’un variant a fait disparaître cet espoir avec reprise forte des contaminations depuis début juin.

    Le 2 juillet l’incidence des nouveaux cas confirmés dépassait les 20 000 cas

     représentant le chiffre le plus élevé depuis le 2 février 21.

    Cette évolution montre qu’après une forte poussée de mortalité et de contamination post vaccinale précoce, les vaccins ne protègent pas d’une récidive de l’épidémie.

    La catastrophe chilienne malgré une vaccination très large

    Le Chili est le champion sud-américain de la vaccination, avec près des deux tiers de la population vaccinée. La campagne de vaccination contre le coronavirus a commencé vendredi 24 décembre et au 25 juin 2021, un total de 21 966 892 doses a été administré.

    Mais cette vaccination a été suivie malgré des confinements récidivants par une forte hausse, tant des contaminations que de la mortalité.

    La mortalité hebdomadaire a été multipliée par 2,5 depuis la vaccination et ne paraît pas devoir diminuer malgré une reprise des confinements.

    Dans ce pays, on peut réellement parler de catastrophe vaccinale. Il faut espérer que les autorités sanitaires sauront sortir du dogme vaccinal et recommanderont enfin les traitements précoces qui ont été utilisés avec succès en Inde et au Mexique (entre autres).

    Le faux succès d’Israël

    Israël est le champion moyen-oriental du vaccin Pfizer. En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63 % de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

    Mais du point de vue médical, c’est un échec.

    La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

    En novembre 2020, 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

    Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination), après dix mois d’épidémie Israël comptait 366 000 cas confirmés. Les sept mois suivant la vaccination ont fait passer ce nombre à 842 218.

    Cette période post vaccinale a aussi été marquée par une mortalité sans précédent.

    Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

    Et, comme en Grande-Bretagne, après une accalmie transitoire, on observe actuellement une reprise de l’épidémie depuis la mi-juin

    L’autre argument traditionnel des pro vaccins est que la vaccination n’aurait pas eu le temps d’agir, mais les exemples du Chili et des Émirats Arabes Unis montrent que même six mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

    Conclusions

    Dans tous les pays champions de la vaccination, celles-ci ont été suivies d’une augmentation considérable des contaminations et de la mortalité pendant 8 à 24 semaines.

    Les accalmies de 2 à 3 mois qui ont parfois suivi ne témoignent pas d’une immunité vaccinale, puisqu’autant en Grande-Bretagne qu’en Israël, on assiste à des reprises de l’épidémie par les variants que la vaccination a favorisés.

    Espérons que la raison reviendra aux dirigeants pour qu’ils arrêtent cette course insensée à la vaccination pour une épidémie peu létale, sauf pour une petite minorité de la population, et pratiquement terminée en France. Les dramatiques effets secondaires de ces injections en essai thérapeutique jusqu’en 2023 sont un élément de plus qui devrait rendre les prescripteurs prudents sur ce gigantesque essai mondial.

     

    Source : medias-presse.info

  • La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) opposée à ce que le gouvernement fournisse aux médecins la liste de leurs patients non-vaccinés contre le Covid

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2021

    Revers pour le gouvernement qui se heurte aux “réticentes très sérieuses” de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) concernant le projet de fournir aux médecins libéraux la liste de leurs patients non vaccinés contre le Covid-19. Le ministre de la Santé Olivier Véran était certain que les médecins auraient très vite les listes promises par le gouvernement. Mais la Cnil émet des réticences concernant “les croisements de fichiers contenant des données personnelles et médicales” et “l’absence d’accord préalable des personnes vaccinées” pour que l’Assurance maladie transmette ces informations à leur médecin traitant.

     

    Source : medias-presse.info

  • Paris : un homme tué à coups de couteau par un Soudanais dans le métro à la station Bercy après une rixe (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2021

    couteua,homme tué,métro bercy,soudanais

    Le suspect, né en 1992 et de nationalité soudanaise, a été interpellé par le Groupe de protection et de sécurité des réseaux (GPSR) de la RATP. Une enquête, ouverte pour «homicide volontaire», a été confiée au 2e district de police judiciaire, selon le parquet de Paris.

    Le Figaro


    Un homme a été tué samedi soir à la station de métro Bercy (desservie par les lignes 6 et 14), après une rixe avec un autre homme, a-t-on appris ce dimanche 4 juillet. Les raisons de leur différend étaient encore inconnues.

    (…) Selon les premiers éléments de l’enquête, l’un aurait «porté un coup de couteau à l’autre». Ce dernier se serait alors «défendu», «projetant» le suspect sur les voies.

    Mais leur altercation ne s’est pas arrêtée là, puisque l’homme porteur de l’arme, qui se trouvait sur les voies pendant que la victime était encore sur le quai, lui aurait ensuite porté «un second coup de couteau à l’abdomen».

    (…) CNews

  • Cobaye

    Publié par Guy Jovelin le 04 juillet 2021

    210965848_10226340916894943_4616737612558243865_n.jpg