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  • Les héroïnes de Besançon :

    Publié par Guy de Laferrière le 11 avril 2024

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    Deux jeunes femmes au courage exemplaire ont participé à leur manière au carnaval de Besançon dimanche dernier. Elles ont en effet défilé en brandissant des pancartes dénonçant le développement de la criminalité liée à l'immigration incontrôlée. Ces jeunes femmes appartiennent au collectif identitaire Némésis cliquez ici qui, depuis quelques années, agit efficacement pour soutenir les femmes agressées.

    Il n'en fallait pas plus pour susciter l'hystérie des valets locaux du Système qui, par l'intermédiaire du maire de la capitale franc-comtoise, une dénommée Anne Vignot (écolo immigrationniste), en appellent à la répression contre ces valeureuses résistantes. 

    Pourtant, cette manifestation improvisée a eu le mérite de susciter dans la nombreuse assistance présente l'approbation ou, tout du moins, l'interrogation. Il s'agit donc d'une victoire pour nos jeunes et téméraires camarades. Cela, le maire écolo et ses sbires ne peuvent le supporter.

    Viendra vite le temps où la Vignot et les autres collabos de cette ville devront, ici comme ailleurs, enfin rendre des comptes. 

    S N

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    Au même moment, des militantes ont déployé une banderole cliquez là en plein centre ville de Besançon.

  • Besançon (25) : Zine El Abidine Boubake séquestre et violente une femme censée faire du ménage, son calvaire a duré 8 h

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    Un homme de 31 ans a comparu ce mercredi devant le tribunal de Besançon. Le 9 novembre dernier, il a retenu prisonnière une femme censée faire du ménage. La victime a été retrouvée en état de choc dans l’appartement. Le prévenu a été condamné à deux ans et huit mois de prison ferme.

    C’est un homme à la personnalité « inquiétante et déroutante », décrit la procureure Alexia Marquis. Zine El Abidine Boubaker nie, ne comprends pas ou pire : il sourit froidement aux questions qui lui sont posées par le président Alain Troilo. Cet homme de faible corpulence, a la peau légèrement matte et aux cheveux bouclés est pourtant suspecté de faits très grave. Le 9 novembre dernier, les policiers ont libéré une femme dans son appartement. Elle venait d’être violentée et poignardée aux bras. Son calvaire a duré 8 h.

    En novembre, c’est la mère du suspect qui alerte un témoin : « Une femme est retenue dans l’appartement de mon fils ». Une victime de nationalité albanaise, qui rend régulièrement service à la famille. Plusieurs personnes se présentent aux abords du logement et tentent d’alpaguer l’occupant des lieux. « Partez », répète l’homme. La police est avisée et aux alentours de 19 h, une patrouille se présente devant la porte. Ils frappent à plusieurs reprises, sans résultat. C’est le cri d’une femme qui va pousser les fonctionnaires à enfoncer la porte.

    […]

     

    L’Est-Republicain via fdesouche

  • Besançon (25): la mairie EELV donne l’ordre à la police municipale de ne plus intervenir près des points de deal

    Publié par Guy de Laferrière le 21 décembre 2022

    La consigne a été passée en fin de semaine dernière par la direction de la Ville de Besançon. Un mail a été envoyé aux agents pour leur demander de ne plus intervenir sur les principaux points de deal du quartier. Une décision raisonnable pour certains, un abandon du service public et des habitants pour d’autres.

    Le quartier de Planoise est toujours en proie à une violente guerre des bandes. Une poignée de délinquants règlent leurs comptes à coups de calibres depuis quelques mois et terrorisent les 20 000 personnes qui y habitent. Face à cette situation, un mail a été envoyé aux agents de la police municipale leur demandant de ne plus intervenir sur les points de deal. Pour certains, cette décision est compréhensible tant qu’ils ne sont pas armés. Pour d’autres, il s’agit d’un abandon de leur mission et de leur présence sur le terrain.

    (…) L’Est Républicain via fdesouche

  • Besançon : Un jeune allume un mortier pour le lancer sur les policiers mais l’engin lui explose dans les mains, il est grièvement blessé. “Les policiers lui ont apporté les premiers soins”

    Publié par Guy Jovelin le 16 juillet 2022

    À l’occasion du 14-Juillet, des affrontements entre policiers et jeunes individus agressifs ont émaillé la nuit dans les quartiers de Planoise et des Clairs-Soleils, à Besançon. Les forces de l’ordre ont procédé à dix interpellations. Un mortier destiné à la police a explosé à proximité d’un jeune homme, gravement blessé aux mains. La victime a été transportée au CHU.

    De jeunes individus, pour la plupart mineurs, ont dégradé un abri de bus et allumé des feux de poubelles, qui étaient ensuite volontairement abandonnées sur les voies du tramway côté Planoise. Un « jeu » délétère qu’avait anticipé la police. « Nous avions déployé un dispositif de 120 agents sur Besançon pour la sécurisation des festivités et la répression des troubles publics en cas de violences urbaines », indique le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP), Yves Cellier.

    (…) C’est dans ces conditions que vers 2 h 20 du matin, rue du Luxembourg, un jeune homme a été gravement blessé au visage et aux mains, au point de perdre connaissance. Un des mortiers qu’il manipulait à la hâte a explosé avant d’être lancé. Les policiers lui ont apporté les premiers soins, dans l’attente des secours. Les pompiers ont ensuite pris le relais pour le conduire à l’hôpital.

    L’Est Républicain via fdesouche

  • Besançon : Florence entame une grève de la faim pour exiger la régularisation de son mari Ahmed, un clandestin marocain faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire

    Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2021

    Ahmed et Florence se sont mariés par amour en janvier 2020, après trois ans de vie commune. Mais parce qu’Ahmed est entré illégalement sur le territoire français, il est sous le coup d’une obligation de quitter le territoire. Pour ne pas être séparés, ils ont commencé une grève de la faim.

    (…) Le 13 janvier dernier, la demande de régularisation d’Ahmed a été rejetée par la préfecture. Dans la foulée, il reçoit une OQTF, une obligation de quitter le territoire. Depuis, il risque l’expulsion à tout moment. « C’est très difficile, vous n’imaginez même pas » soupire Ahmed. Sans papier, il ne pouvait déjà pas travailler. Désormais, sortir lui fait peur. « Je ne peux rien faire ». Un simple contrôle de pass sanitaire en terrasse, s’il est fait par les forces de l’ordre, peut le conduire à l’expulsion, du jour au lendemain. Au Maroc, le pays de ses parents, mais loin de Florence, qui ne peut quitter ses enfants et son travail.  

    « Je ne me vois pas envoyer Ahmed au Maroc et me dire peut-être qu’il reviendra, peut-être pas ».

    (…) « Aujourd’hui, on vit avec mon salaire, c’est compliqué » se désole Florence. « On n’arrive pas à avancer, à se projeter ». Alors, elle le répète : « J’irai jusqu’à bout ».  Cette grève de la faim, « on va la faire ensemble », ajoute Ahmed. « Pour le meilleur et pour le pire. C’est bien ce qu’on dit quand on se marie ? ».

    (…) France 3 via fdesouche