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rodéo

  • Toulouse : un étudiant de 24 ans, qui tentait de mettre fin à un rodéo urbain, battu à coups de casque par un adolescent de 16 ans

    Publié par Guy Jovelin le 20 septembre 2022

    Un étudiant de 24 ans qui s’efforçait de stopper un rodéo urbain à Toulouse, mercredi 14 septembre, a été violemment agressé par le conducteur du bolide, un adolescent de 16 ans.

    Les faits, qui se sont déroulés à Toulouse (Haute-Garonne), sont d’une violence inouïe. Mercredi 14 septembre, aux alentours de 16 heures, un étudiant de 24 ans qui s’efforçait de mettre un terme à un rodéo urbain aux abords de la faculté du Mirail, a été violemment frappé à coups de casque par le conducteur du scooter, un adolescent âgé de 16 ans, rapporte Actu.fr, vendredi 16 septembre.

    Dans le détail, selon les informations dont disposent nos confrères, le pilote du scooter et son passager zigzaguaient dangereusement, enchaînant les roues arrière. Et cela, au beau milieu des étudiants qui se trouvaient dans l’enceinte de la faculté du Mirail. Préoccupé par la tournure que les événements prenaient, l’étudiant de 24 ans a tenté de mettre fin à ce rodéo urbain. Une démarche citoyenne qui lui a coûté une violente agression. En effet, piqué au vif par sa démarche, le jeune chauffard est descendu de son engin pour le frapper à coups de casque au niveau du visage.

    (…) Malgré son jeune âge, l’adolescent est « déjà connu des services » de police, selon une source qui s’est confiée à Actu.fr.

    Valeurs via fdesouche

  • Toulouse. La police se fait menacer par la foule après avoir arrêté un chauffard à deux doigts de renverser des enfants

    Publié par Guy Jovelin le 25 août 2022

    Après avoir arrêté un jeune homme à scooter dans les rues du quartier Bagatelle à Toulouse, les policiers ont dû utiliser du gaz lacrymogène pour disperser une foule hostile.

    Le chauffard abandonne le véhicule et se réfugie dans la cour d’une habitation. Les policiers attendent le bon moment et lui mettent la main dessus. C’est alors qu’une vingtaine de personnes très véhémentes encerclent les représentants des forces de l’ordre. La tension monte. Les policiers n’ont d’autre choix que d’utiliser du gaz lacrymogène pour disperser la foule.

    La dépêche via fdesouche

  • Saint-Denis (93) : le cortège de mariage dégénère en rodéo sauvage sous les fenêtres de la mairie

    Publié par Guy Jovelin le 26 juillet 2022

    Klaxons et pneus hurlants, passagers vêtus de blanc assis sur le rebord des portières de berlines de luxe. Vendredi après midi, un bruyant manège démarre sur le parvis piéton de la mairie de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Des toits des véhicules ou par les fenêtres, des drapeaux aux couleurs rouge, jaune et vert pavoisent. Les conducteurs font des cercles concentriques et se rapprochent petit à petit de trois personnes et d’un enfant dans une poussette, plantés au beau milieu de la place et tétanisés par ce jeu dangereux. On voit un instant l’un d’eux cacher son visage entre ses mains.

    Alertée par les bruits de klaxon, Katy Bontinck, la première adjointe au maire, filme la scène depuis l’hôtel de ville. On entend quelqu’un dire : « Ah putain, les gens ils vont se faire buter. » Le cortège d’une dizaine de véhicules abrite les invités d’un mariage qui a dégénéré en rodéo urbain. Il s’engouffre dans la rue de la République, une artère commerçante du centre-ville. Des détonations se font entendre : des tirs de mortier qui éclatent sur le passage des mariés et de leurs amis. Un véritable feu d’artifice fuse au pied du KFC, un fast-food toujours très fréquenté.

    Ulcérés par ces débordements, les représentants de la ville de Saint-Denis ont saisi le procureur au titre de l’article 40 pour « un rodéo qui aurait pu très très mal finir », déclare Katy Bontinck. Il stipule que « toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République ». La municipalité lance aussi un appel à témoins en direction des piétons qui étaient sur la place. Heureusement, aucun blessé n’est à déplorer.

    […]

     

    Le Parisien via fdesouche

  • Rodéo : l’indécence en roue arrière au Festival de Cannes

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2022

    26 Mai 2022, 10:42am | Publié par Thomas Joly

    Chaque année, le gratin culturel du progressisme se retrouve sur la Croisette pour ce qui est devenu l’incontournable rendez-vous du cinéma mondial : le Festival de Cannes. Chaque année sa petite provoc’. Cette édition 2022 du festival au tapis rouge nous a livré son lot de bonnes surprises progressistes. Irruption d’une Femen lors de la montée des marches, plaidoyer pour une Amérique plus inclusive par le réalisateur James Gray ou encore introduction de la « Queer Palm Lab », un appel à projet dédié uniquement aux LGBT… Parmi toutes ces joyeusetés cinématographiques, il en est une qui a particulièrement fait parler d’elle, il s’agit du film-documentaire Rodéo réalisé par Lola Quiveron, jeune réalisatrice homosexuelle qui ne cache pas son intention « d’effacer les stéréotypes de genre » dans ses films.

    Rodéo : un plaidoyer pour l'illégalité et les rodéos sauvages

    Rodéo raconte l'histoire d’une jeune femme, au « genre » « ni féminin ni masculin » et qui s’éprend d’une passion pour la « Bike Life », cette activité motorisée qui consiste à rouler très vite et à faire toutes sortes d’acrobaties au guidon d’une moto ou d’un scooter. Le tout, le plus souvent,> sur des voies publiques.

    Sorte de plaidoyer pour l’illégalité et les rodéos sauvages, le film de Lola Quiveron incarne parfaitement la vision fantasmagorique qu’ont certains réalisateurs français de la banlieue et de la « street culture ». Ils ressuscitent la lutte des opprimés contre les oppresseurs, et la réalisatrice ne s’en cache pas. Dans une interview accordée à Konbini, Lola Quiveron explique qu'en France, « on parle de rodéos urbains ou sauvages, mais ce sont des imageries qui sont réactionnaires ». Elle ajoute : « Quand on cherche à faire du bruit, c’est qu’on veut être entendu. » Évidemment, tout le monde sait que ces bandes de jeunes qui roulent en motocross à 150 km/h et menacent la vie des passants ou des automobilistes français à chaque instant ne cherchent qu’à être « entendus ». Ce petit jeu très drôle a fait des morts innocents à Libercourt, Nantes, Amiens, Clermont-Ferrand, Toulouse...

    L’affaire aurait pu en rester là. Après tout, qui s’étonne aujourd’hui de voir les princes et divas du cinéma mondial, tenants du progressisme le plus décomplexé, distribuer leurs cachetons de moraline à ceux qui veulent bien les gober ?

    Mais Lola Quiveron insiste avec indécence, toujours dans cet entretien pour Konbini, accuse la police de « causer les accidents en prenant en chasse les bikers ». Ne vaudrait-il pas mieux les laisser faire ce qu’ils veulent ? Après tout, ils ont besoin d’être « entendus ». Ce n’est pas l’avis de Michel Thooris, délégué syndical à France Police-Policiers en colère, interrogé par Boulevard Voltaire : « C’est toute une profession qui est insultée, juge-t-il. Ces propos sont diffamants envers la police nationale. Ils sont également mensongers : je voudrais rappeler à cette réalisatrice que nous n’avons plus le droit de prendre en chasse les auteurs de rodéos sauvages. » Exaspéré, le policier ajoute : « On ne peut imputer ces morts à la police ; ce sont ces personnes qui décident de mettre leur vie en danger, mais aussi celles des autres. D’autant plus qu’ils sont rarement pilotes professionnels, ce sont eux et seulement eux qui décident de jouer avec la vie. »

    Diffamantes et trompeuses, les paroles de la réalisatrice Lola Quiveron n’ont, finalement, rien de vraiment disruptif. Depuis quelques années déjà, le Festival de Cannes se politise et fait la part belle aux provocations venues de la gauche. Cette année, nos policiers en auront donc fait les frais, dans un silence assourdissant des pouvoirs publics. Alors que l’actuel climat d’insécurité en France fait peser une menace toujours plus lourde sur les forces de l’ordre et sur les Français, Gérald Darmanin n’a pas eu un seul mot pour ceux que cette réalisatrice accuse d’être des meurtriers.

    Geoffroy Antoine

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Montagnole (73) : un individu faisait du rodéo dans un champ cultivé, l’agriculteur embroche la voiture avec son tracteur

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2022

    Scène surréaliste hier sur les hauteurs de Chambéry où un homme s’est mis en tête de faire du rodéo avec une vieille voiture en plein champ cultivé. Dérapage, accélération, glissade, la météo lui a permis toute sorte de frasques qui n’aura heureusement pas duré trop longtemps.

    L’agriculteur, propriétaire du champ, rapidement prévenu s’est rendu sur place et a réglé le problème en embrochant littéralement la voiture avec une fourche à foin. Transpercée de part et d’autre, le véhicule a été ainsi sorti du champ.

    Une telle incivilité laisse pantois et on se demande comment peut-on avoir autant d’incivisme pour venir ainsi détruire des cultures. Malgré tout, l’agriculteur a été auditionné en fin de journée par la brigade de gendarmerie de Chambéry pour s’expliquer sur ce geste assez dangereux, il faut l’admettre.

    Chasse Passion via Le Dauphiné