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rodéo - Page 2

  • Rodéo : l’indécence en roue arrière au Festival de Cannes

    Publié par Guy Jovelin le 26 mai 2022

    26 Mai 2022, 10:42am | Publié par Thomas Joly

    Chaque année, le gratin culturel du progressisme se retrouve sur la Croisette pour ce qui est devenu l’incontournable rendez-vous du cinéma mondial : le Festival de Cannes. Chaque année sa petite provoc’. Cette édition 2022 du festival au tapis rouge nous a livré son lot de bonnes surprises progressistes. Irruption d’une Femen lors de la montée des marches, plaidoyer pour une Amérique plus inclusive par le réalisateur James Gray ou encore introduction de la « Queer Palm Lab », un appel à projet dédié uniquement aux LGBT… Parmi toutes ces joyeusetés cinématographiques, il en est une qui a particulièrement fait parler d’elle, il s’agit du film-documentaire Rodéo réalisé par Lola Quiveron, jeune réalisatrice homosexuelle qui ne cache pas son intention « d’effacer les stéréotypes de genre » dans ses films.

    Rodéo : un plaidoyer pour l'illégalité et les rodéos sauvages

    Rodéo raconte l'histoire d’une jeune femme, au « genre » « ni féminin ni masculin » et qui s’éprend d’une passion pour la « Bike Life », cette activité motorisée qui consiste à rouler très vite et à faire toutes sortes d’acrobaties au guidon d’une moto ou d’un scooter. Le tout, le plus souvent,> sur des voies publiques.

    Sorte de plaidoyer pour l’illégalité et les rodéos sauvages, le film de Lola Quiveron incarne parfaitement la vision fantasmagorique qu’ont certains réalisateurs français de la banlieue et de la « street culture ». Ils ressuscitent la lutte des opprimés contre les oppresseurs, et la réalisatrice ne s’en cache pas. Dans une interview accordée à Konbini, Lola Quiveron explique qu'en France, « on parle de rodéos urbains ou sauvages, mais ce sont des imageries qui sont réactionnaires ». Elle ajoute : « Quand on cherche à faire du bruit, c’est qu’on veut être entendu. » Évidemment, tout le monde sait que ces bandes de jeunes qui roulent en motocross à 150 km/h et menacent la vie des passants ou des automobilistes français à chaque instant ne cherchent qu’à être « entendus ». Ce petit jeu très drôle a fait des morts innocents à Libercourt, Nantes, Amiens, Clermont-Ferrand, Toulouse...

    L’affaire aurait pu en rester là. Après tout, qui s’étonne aujourd’hui de voir les princes et divas du cinéma mondial, tenants du progressisme le plus décomplexé, distribuer leurs cachetons de moraline à ceux qui veulent bien les gober ?

    Mais Lola Quiveron insiste avec indécence, toujours dans cet entretien pour Konbini, accuse la police de « causer les accidents en prenant en chasse les bikers ». Ne vaudrait-il pas mieux les laisser faire ce qu’ils veulent ? Après tout, ils ont besoin d’être « entendus ». Ce n’est pas l’avis de Michel Thooris, délégué syndical à France Police-Policiers en colère, interrogé par Boulevard Voltaire : « C’est toute une profession qui est insultée, juge-t-il. Ces propos sont diffamants envers la police nationale. Ils sont également mensongers : je voudrais rappeler à cette réalisatrice que nous n’avons plus le droit de prendre en chasse les auteurs de rodéos sauvages. » Exaspéré, le policier ajoute : « On ne peut imputer ces morts à la police ; ce sont ces personnes qui décident de mettre leur vie en danger, mais aussi celles des autres. D’autant plus qu’ils sont rarement pilotes professionnels, ce sont eux et seulement eux qui décident de jouer avec la vie. »

    Diffamantes et trompeuses, les paroles de la réalisatrice Lola Quiveron n’ont, finalement, rien de vraiment disruptif. Depuis quelques années déjà, le Festival de Cannes se politise et fait la part belle aux provocations venues de la gauche. Cette année, nos policiers en auront donc fait les frais, dans un silence assourdissant des pouvoirs publics. Alors que l’actuel climat d’insécurité en France fait peser une menace toujours plus lourde sur les forces de l’ordre et sur les Français, Gérald Darmanin n’a pas eu un seul mot pour ceux que cette réalisatrice accuse d’être des meurtriers.

    Geoffroy Antoine

    Source : http://bvoltaire.fr

  • Montagnole (73) : un individu faisait du rodéo dans un champ cultivé, l’agriculteur embroche la voiture avec son tracteur

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2022

    Scène surréaliste hier sur les hauteurs de Chambéry où un homme s’est mis en tête de faire du rodéo avec une vieille voiture en plein champ cultivé. Dérapage, accélération, glissade, la météo lui a permis toute sorte de frasques qui n’aura heureusement pas duré trop longtemps.

    L’agriculteur, propriétaire du champ, rapidement prévenu s’est rendu sur place et a réglé le problème en embrochant littéralement la voiture avec une fourche à foin. Transpercée de part et d’autre, le véhicule a été ainsi sorti du champ.

    Une telle incivilité laisse pantois et on se demande comment peut-on avoir autant d’incivisme pour venir ainsi détruire des cultures. Malgré tout, l’agriculteur a été auditionné en fin de journée par la brigade de gendarmerie de Chambéry pour s’expliquer sur ce geste assez dangereux, il faut l’admettre.

    Chasse Passion via Le Dauphiné

  • Carcassonne (11) : sans permis, Abdallah jouait à faire du rodéo avec des voitures volées, il est jugé pour répondre de 7 délits en 3 jours, avec 6 victimes au compteur

    Publié par Guy Jovelin le 27 janvier 2022

    En détention provisoire depuis le mardi 18 janvier, un Traussois âgé de tout juste 18 ans, a été jugé en comparution immédiate devant le tribunal, jeudi après-midi.

    Mon client est aujourd’hui tout seul devant vous, mais il ne faut pas oublier qu’ils étaient trois !  Seul majeur de la bande, Abdallah a ainsi été jugé en comparution immédiate jeudi, pour répondre de sept délits en trois jours dans le Minervois, avec six victimes au compteur.

    (…) Des deux voitures ainsi volées, on apprend par la suite qu’elles ont été utilisées à plusieurs reprises par le prévenu ou un de ses acolytes, pour des rodéos remarqués dans les jours qui ont suivi. Avec des vitesses excessives, des manœuvres dangereuses et des freins à main, à Villeneuve-Minervois et Caunes-Minervois, sans oublier des passages par Conques-sur-Orbiel ou encore Carcassonne.

    Des vols et des délits routiers, mais aussi des menaces de mort sur un réseau social, à l’encontre du fils d’un couple victime qui avait émis des soupçons sur la participation du prévenu dans les faits. Devant le tribunal, comme il l’avait fait en garde à vue, le jeune prévenu a reconnu l’intégralité des faits reprochés : “On voulait juste s’amuser… J’ai roulé un peu vite, mais j’ai freiné quand j’ai vu des enfants et une dame âgée. C’est Brian qui a tiré des freins à main derrière moi !” Aucun de ces conducteurs n’est bien évidemment titulaire du permis de conduire…

    (…) “Il n’y a pas d’excuse, pas un mot pour les victimes qui vivent encore avec cette peur. Mes clients ont eu leur vie bouleversée, parce que des jeunes ont voulu s’amuser !” (…)

    Au ministère public, la substitut du procureur a également relevé que “les victimes ont eu très peu de place dans le discours du prévenu. Il n’y a aucune prise de conscience de sa part ! C’est un vrai danger public, qui fait du rodéo avec des voitures volées, et sans permis.” (…)

    La Dépêche via fdesouche

  • Le Pin (44) : Deux frères tabassent un couple, qui leur demandait de cesser leur rodéo dans le village. “Ici on n’est pas dans une cité !”, aurait dit la femme avant de se faire agressée

    Publié par Guy Jovelin le 23 janvier 2022

    Les deux frères qui avaient roué de coups un ancien photographe de presse et son épouse dans la petite commune du Pin (Loire-Atlantique), le 11 octobre 2020, ont été condamnés  mardi 18 janvier 2022 par le tribunal correctionnel de Nantes pour leurs « violences aggravées ».

    Le photographe et son épouse avaient eu une altercation ce jour-là avec A. et S., âgés de 23 et 28 ans, après s’être plaints des « nuisances sonores » répétées de leur quad et de leur moto-cross dans leur village.

    Au départ, l’ancien photographe de presse voulait pourtant juste « engager un dialogue » avec ces deux jeunes qui faisaient « des roues arrières » rue du Sapin, a relaté la présidente du tribunal correctionnel de Nantes.

    Mais leur « dialogue de sourds » avait rapidement dégénéré quand l’aîné des deux frères avait traité de « connard » le photographe et avait donné « un coup de pied dans le ventre » de son épouse pour la repousser. « Casse-toi, si ça se trouve tu as le Covid », lui aurait alors lancé S., selon la déposition faite par les plaignants.

    (…) L’aîné des deux frères avait effectivement « bondi » sur le photojournaliste après qu’il eut voulu défendre son épouse : il avait reçu « une dizaine de coups très efficaces » de ces deux frères qui « savaient manifestement se battre », avait-il rapporté.

    « Elle ne faisait que de gueuler “Retournez dans votre quartier, ici on n’est pas dans une cité”, que c’était toujours les mêmes et qu’on les connaissait », s’est offusqué cette fois-ci S.

    (…) Les habitants du village interrogés par les gendarmes ont décrit les plaignants — qui s’étaient vu prescrire dix et quinze jours d’incapacité totale de travail — comme un couple « fiable », « gentil » et « sans problèmes ».

    Ils ont aussi confirmé que les deux frères « font les fous » et « des roues arrières » sur les routes de la commune « depuis plusieurs années ».

    Aucun témoin de la scène n’avait par ailleurs confirmé l’existence des prétendues « insultes racistes » dont les deux frères auraient été victimes. « C’est pas étonnant, dans un village qui vote à 80 % d’extrême-droite », a réagi S. – alors que le score de Marine Le Pen au second tour des élections présidentielles de 2017 était en réalité de 36,21 %.

    (…) Les deux frères ont finalement été condamnés à six mois de prison avec sursis (…)

    Actu.fr via fdesouche

  • Besançon (25) : un policier pourrait perdre l’usage de ses jambes après avoir été renversé lors d’une interpellation pendant un rodéo sauvage

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2021

    fdesouche

    […]

     

    Les policiers de la BAC ont été appelés vers 1 heure du matin pour intervenir dans le quartier de Saint-Claude de Besançon. Des rodéos urbains et des tirs de mortiers d’artifice venaient d’être signalés.

    Dès leur arrivée, les forces de l’ordre ont été la cible de tirs de mortiers. Alors que l’un des fonctionnaires mettait pied à terre, il a été violemment renversé par un ou deux individus sur un deux-roues. Ces derniers lui ont « vraisemblablement foncé dessus, laissant à peine la possibilité au policier touché de s’écarter », a détaillé le Directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) du Doubs, Yves Cellier. Les auteurs ont pris la fuite.

    La victime grièvement blessée a été transportée au CHU de Besançon où elle a été opérée. Ses jours ne sont pas en danger. Le policier « souffre de blessures sérieuses aux membres inférieurs et il existe une inquiétude sur la possibilité qu’il retrouve l’intégral usage de ses jambes », a précisé Yves Cellier. « Nous allons concentrer nos moyens humains pour déterminer les circonstances de ces faits scandaleux et retrouver le ou les auteurs », a-t-il prévenu. « On ne s’en prends pas impunément à un de nos policiers ».

    […]

    Actu17 / L’Est Républicain / France Bleu