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chloroquine

  • Des parlementaires se soignent à la chloroquine mais leurs électeurs n’y ont pas droit, dénonce le Docteur Giral !

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2020

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    Le journal La Provence fait écho au coup de gueule du Docteur Giral, président de la Communauté territoriale professionnelle de santé (CTPS) du Pays d’Arles. Comme beaucoup d’autres professionnels de la santé révoltés, il dénonce ce qu’il appelle “le scandale de la chloroquine“, ce traitement prôné par le Docteur Raoult pour combattre le Covid 19 dont les autorités refusent toujours la prescription aux patients, “alors que ça ne coûte rien et que cela pourrait freiner l’aggravation de l’état des patients“.

    Le Docteur Giral va plus loin.

    “Comment expliquer que des élus des hautes assemblées, tels que Christian Estrosi, Valérie Boyer ou bien encore Martine Vassal se prévalent d’en avoir bénéficié et que leurs électeurs n’y ont pas droit ? Comment expliquer que Christian Estrosi a fait rentrer de la chloroquine au CHU de Nice ? Il y a donc deux poids deux mesures !”

    Le Docteur Giral espère “un soulèvement des professionnels de santé“.

     

    Source : medias-presse.info

  • Un entretien divertissant du Pr Raoult

    Publié par Guy Jovelin le 23 mars 2020

    Un entretien divertissant du Pr Raoult

    Le Professeur Didier Raoult a répondu au Parisien hier. Cela donne un certain nombre de saillies assez drolatiques – et un solide mépris pour la caste jacassante, qu’on ne saurait lui reprocher!

    Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai fait une étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait. On savait que c’était un antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d’ajouter un traitement d’azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne, NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu’on a ajouté l’azithromycine à l’hydroxychloroquine.

    Les gens donnent leur opinion sur tout, mais, moi, je ne parle que de ce que je connais : je ne donne pas mon opinion sur la composition de l’équipe de France enfin ! Chacun son métier. La communication scientifique de ce pays s’apparente aujourd’hui à de la conversation de bistrot.

    A ceux qui disent qu’il faut trente études multicentriques et mille patients inclus, je réponds que si l’on devait appliquer les règles des méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l’intérêt du parachute. Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l’autre sans et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c’est ce traitement qui devrait devenir la référence. Et c’est ma liberté de prescription en tant que médecin. On n’a pas à obéir aux injonctions de l’Etat pour traiter les malades. Les recommandations de la Haute autorité de santé sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin fait pour le mieux, dans l’état de ses connaissances et dans l’état de la science.

     

    Source : lesalonbeige