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  • Montrouge (92) : Un gendarme en garde à vue après une rixe avec des jeunes qui squattaient son immeuble en consommant de la drogue

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Un adolescent de 17 ans a été blessé, dimanche soir à Montrouge (Hauts-de-Seine) par un gendarme hors service sur fond de conflit de voisinage. Le militaire a été placé en garde à vue au commissariat de police.

    Vers 18h45 sur l’avenue Max-Dormoy, le gendarme trouve un groupe de jeunes individus dans les parties communes de son immeuble, en train de consommer de la drogue comme cela se produit souvent à cet endroit. Agacé, le représentant des forces de l’ordre tente de les chasser. La dispute tourne au vinaigre. Une rixe éclate entre le groupe de trublions et le gendarme, armé d’une matraque télescopique et d’une bombe lacrymogène.

    Lorsque la police intervient, elle découvre un adolescent blessé d’un coup de couteau. Il souffre d’une plaie d’un centimètre sur trois au niveau de l’épaule. Le blessé a été conduit à l’hôpital Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) et ses jours ne sont pas en danger. Les autres jeunes accusent leur voisin gendarme en colère de les avoir attaqués. Ce dernier souligne qu’il n’avait pas de couteau. Les fonctionnaires ont tenté de mettre la main sur cette arme. Sans succès.

    actu17.fr via fdesouche

  • Jamais plus de 50 demandes d’asile acceptées par an au Japon

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Le pouvoir japonais se refuse à toute inflexion sur sa politique migratoire

    D’où qu’ils viennent, les étrangers qui cherchent à se réfugier au Japon et qui demandent l’asile se trouvent le plus souvent face à un mur. Ce statut n’est en effet octroyé qu’avec une grande parcimonie dans l’archipel, comme en témoignent les chiffres publiés par le ministère de la Justice.

    (…) TF1 via fdesouche

  • Châlons-en-Champagne (51) : vêtu d’une djellaba, Mohammed J. interpellé en possession d’un couteau, il a ensuite menacé les policiers. “Allah détruit la France. Vous êtes un peuple vaincu. Vous êtes morts”

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

     

  • Isère : l’ultra gauche suspectée d’avoir mis le feu à plusieurs lignes électriques

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Incendie de plusieurs lignes électriques en Isère : l’hypothèse d’un nouveau sabotage

    Dans la nuit de lundi à mardi, neuf lignes électriques, dont une haute tension, ont été incendiées au niveau du pont de Brignoud, dans le secteur de Villard-Bonnot. 5539 clients ont été privés d’électricité. Ce mardi matin, la circulation est fortement perturbée et des déviations ont été mises en place. Au lendemain de l’incendie d’un site RTE à Froges, la piste d’un nouvel acte volontaire d’activistes de l’ultra-gauche est évoquée.

    Le violent incendie du réseau de câbles électriques qui s’est déclaré dans la nuit de lundi à mardi sous le pont de Brignoud, entre les communes de Villard-Bonnot et Crolles, est probablement dû à une nouvelle attaque menée par des activistes de la mouvance libertaire et d’ultra-gauche.

    Dans la nuit de dimanche à lundi, un premier incendie avait allumé non loin de là dans un poste de Froges, des inscriptions visant STMicroelectronics étant retrouvées sur place.

    Ce mardi matin, de la fumée se dégageait encore des câblages incendiés, le pont de Brignoud étant fermé à la circulation. La gendarmerie a bouclé tout le secteur et interdit les accès au pont, d’importants bouchons étant enregistrés dans tout le secteur.

    Parmi les neuf câbles visés par les incendiaires, on compte un câble très haute-tension de 225 000 volts de RTE. Le bilan provisoire de ces dégradations est de 5 539 clients privés d’électricité dans la nuit. Environ 350 d’entre eux n’avaient pas encore été rétablis ce mardi en milieu de matinée. Parmi les sociétés touchées, STMicroelectronics –une nouvelle fois- qui a indiqué au Dauphiné Libéré que « tous les systèmes et procédures assurant la sécurité des salariés et des installations ont été déclenchés. Depuis 8 heures du matin, l’alimentation électrique du site est rétablie », a ajouté la direction de l’entreprise. Par ailleurs, le site de Soitec Bernin est privé d’électricité et la production est à l’arrêt.

    (…)

    www.ledauphine.com via fdesouche

  • Trafic de faux papiers : Des Comoriens condamnés à Rodez (12). L’un des accusés est le père de… 27 enfants

    Publié par Guy Jovelin le 05 avril 2022

    Trafic de faux papiers : les Comoriens condamnés à Rodez

    Au sein de la diaspora comorienne en France, tout le monde le connaît sous le surnom de “Dadi”. À 42 ans, ce colosse à la santé fragile – “J’ai toutes les maladies possibles, si ce n’est le Sida”, dit-il –, fut longtemps un chanteur renommé de son île, située dans le canal du Mozambique en Afrique australe. Mais comme beaucoup de ses compatriotes, plus que la scène, son rêve était de rejoindre la France. Il l’a fait dans les années 2000, à Marseille, l’autre capitale des Comores. Depuis, la justice française soupçonne l’artiste de s’être reconverti comme trafiquant de faux papiers. Et d’être le “chef d’orchestre” d’un vaste réseau, composé d’une trentaine de petites mains présentes sur tout le territoire français. En 2014, le tribunal d’Alès l’a déjà condamné à trois ans de prison pour ce “business” dont on dit qu’il serait “particulièrement lucratif”.

    Ce mardi et ce mercredi, “Dadi” comparaissait de nouveau devant un tribunal, celui de Rodez cette fois. Voilà plusieurs années que la justice aveyronnaise travaille sur ce dossier dit des Comoriens. En 2016, les mairies de Decazeville, Aubin ou encore Capdenac-Gare reçoivent bon nombre de demandes de passeport de personnes issues de l’archipel. L’Aveyron n’est pas vraiment connu pour sa communauté comorienne, la préfecture se penche alors sur cette nouvelle “diaspora”. Rapidement, elle sent que quelque chose cloche. Les dossiers déposés émanent tous d’une “même source” : un Comorien, récemment installé dans le Bassin. L’office central pour la répression de l’immigration irrégulière et de l’emploi d’étrangers sans titre (Ocries) est mis au parfum. Une vaste enquête est lancée. Des heures, des semaines et des mois d’écoutes téléphoniques permettront aux enquêteurs de remonter jusqu’à “Dadi”. Et huit autres personnes : un médiateur social des quartiers nord de Marseille, un employé de restauration de Paris ou encore un père de… 27 enfants ! La plupart sont inconnus de la justice, sans histoire. (…)

    www.ladepeche.fr via fdesouche