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  • Les fonctionnaires britanniques ne doivent plus utiliser le mot « Noël » pour ne pas vexer les personnes des autres confessions…

    Publié par Guy de Laferrière le 14 décembre 2022

    Auteur : 

    Les fonctionnaires britanniques ont été informés qu’ils ne devaient plus parler de fêtes de Noël mais de « célébrations festives » et qu’ils ne pouvaient pas boire d’alcool si les membres de leur équipe n’en boivent pas (par exemple, les musulmans pratiquants), dans le but de promouvoir la diversité et l’inclusion, rapporte The Telegraph.

    Le journal s’est entretenu avec des fonctionnaires qui ont témoigné qu’on leur avait dit notamment de ne plus souhaiter un joyeux Noël mais simplement de bonnes fêtes, afin d’éviter d’exclure des personnes de confessions différentes.

    Il n’y a pas de directive officielle du gouvernement, c’est plutôt une interprétation des cadres intermédiaires.

    Un responsable d’un grand département gouvernemental a déclaré que, pour le traditionnel repas entre collègues avant Noël, l’équipe avait été invitée à rechercher un restaurant qui ne servait pas d’alcool afin d’éviter « d’exclure » un membre du personnel qui ne buvait pas pour des motifs religieux.

    « Nous sommes dans une situation où, au nom de l’inclusivité, un membre du personnel est autorisé à dicter ce que les autres membres du personnel peuvent ou ne peuvent pas boire« , s’est plaint un fonctionnaire.

    «Bien sûr, personne ne devrait être tenu de boire de l’alcool au travail, et il devrait toujours y avoir une option de boissons non alcoolisées pour ceux qui ne veulent pas ou ne peuvent pas. Mais cela me semble aller trop loin de dire que personne ne peut boire de l’alcool à cause des croyances d’un membre du personnel. »

    Déjà l’année dernière, le mot « Noël » avait été prohibé de la plupart des campagnes publicitaires au motif que ce n’était pas assez « inclusif ».

     

    Source : medias-presse.info

  • Ukraine : du sabotage volontaire des accords de Minsk par les Etats-Unis, la France et l’Allemagne

    Publié par Guy de Laferrière le 14 décembre 2022

    Auteur : 

    « Il s’agissait de donner du temps à Kiev », a confié récemment Angela Merkel.

    Dans une interview à Die Zeit le 7 décembre dernier, l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel a affirmé que les Accords de Minsk avaient été « une tentative de donner du temps à l’Ukraine » de se renforcer militairement en vue d’une confrontation future avec Moscou. Un aveu d’importance « historique », comme l’a fait remarquer le président serbe Alexandre Vucic ce 10 décembre, alors que ces accords avaient été conclus avec pour objectif officiel de rétablir la paix entre Kiev et les Républiques du Donbass.

    « Nous avons tous vus la déclaration historiquement importante d’Angela Merkel [sur les accords de Minsk]. Je suis surpris », a commenté Alexandre Vucic lors d’un discours à la nation serbe. Et le dirigeant de poursuivre, selon une retranscription de l’agence de presse Tass :

    « Pour moi, cette idée est pratiquement incompréhensible mais elle est confirmée par ce que [l’ancien président ukrainien] Petro Porochenko a affirmé, qu’ils n’avaient jamais eu l’intention d’implémenter les Accords de Minsk. »

    De la place Maidan aux accords de Minsk

    Les Etats-Unis et leurs alliés « ont simulé leur soutien à la feuille de route vers la paix, tout en injectant des armes en Ukraine et en ignorant tous les crimes commis par le régime de Kiev… dans l’intérêt d’une frappe décisive contre la Russie », a précisé Merkel à Die Zeit.

    Les Accords de Minsk ont mis fin à la guerre qui a commencé cette année-là, lorsque Kiev, après la révolution de Maidan, coup d’État téléguidé par les Etats-Unis, décida manu militari de reprendre les régions du Donbass qui avaient déclaré leur autonomie vis-à-vis de la capitale et demandé des négociations sur leur statut. Une guerre qui a vu les Russes soutenir les rebelles et l’OTAN Kiev.

    Ces Accords, écrit le journaliste américain Ted Snider dans un article publié sur Responsible Statecraft, « ont donné la meilleure solution diplomatique possible à la crise. Médié par la France et l’Allemagne, convenu entre l’Ukraine et la Russie et accepté par les États-Unis et les Nations Unies, l’accord visait à rendre pacifiquement le Donbass à l’Ukraine, lui accordant cependant une pleine autonomie. En particulier, l’accord de Minsk II avait promis l’autonomie du Donbass en Ukraine. La perspective de neutralité et la question de l’adhésion à l’OTAN auraient dû être examinées plus tard ». Snider ajoute :

    « L’ancien ambassadeur américain en Union soviétique Jack Matlock a récemment déclaré que ‘’la guerre aurait pu être évitée […] si l’Ukraine avait respecté l’accord de Minsk, qui prévoyait la reconnaissance du Donbass en tant qu’entité autonome en Ukraine, empêché les conseillers de l’OTAN [d’opérer dans le pays] et de s’était engagée à ne pas rejoindre l’OTAN‘’ ».

    La duplicité de l’Occident

    Si l’on en croit Merkel, faire respecter cet accord n’était pas le plan des Etats-Unis, et de ses alliés européens soumis, mais au contraire faire tomber Poutine, démembrer l’Empire russe, via une guerre otanienne par Ukraine interposée. Pour le plus grand malheur des Ukrainiens, chair à canon pour les intérêts américains, les stratèges de l’Etat profond américain n’avaient pas prévu la vigoureuse riposte guerrière de la Russie, plus difficile à abattre que dans l’imaginatif washingtonien.

    L’aveu de cette duplicité occidentale dévoilé par Merkel a suscité une vive réaction du président russe Vladimir Poutine, alors que Moscou a, à de multiples reprises, déploré la non-application de ces accords censés entériner la fin des hostilités entre les forces ukrainiennes et les Républiques populaires de Donetsk et Lougansk.

    « Il s’avère que personne n’allait mettre en œuvre tous ces accords de Minsk », a ainsi déploré le chef d’Etat russe en conférence de presse le 9 décembre, ajoutant encore :

    « J’espérais encore que les autres parties prenantes à ce processus étaient sincères avec nous. Il s’avère qu’ils nous trompaient aussi. Il s’agissait uniquement de renforcer l’Ukraine avec des armes, en la préparant aux hostilités. »

    Vladimir Poutine a ensuite estimé qu’au vu de ces nouveaux éléments, Moscou aurait « peut-être » dû lancer son opération militaire en Ukraine plus tôt, soulignant que la Russie espérait pour sa part être en mesure de résoudre le conflit dans le Donbass par le biais des Accords de Minsk. « Ce qu’on a dit maintenant prouve seulement que nous avons pris la bonne décision en lançant une opération militaire spéciale », a-t-il estimé.

    Sans confiance, la perspective de négociations sérieuses s’éloigne

    Enfin, le dirigeant a déploré l’impact des déclarations d’Angela Merkel sur la confiance entre Moscou et ses interlocuteurs internationaux. « La confiance est presque inexistante, mais après de telles déclarations, une question de confiance se pose : comment négocier, sur quoi, et s’il est possible de négocier avec quelqu’un, et quelles sont les garanties ? », s’est interrogé publiquement Vladimir Poutine, insistant néanmoins sur la nécessité de parvenir, in fine, à un accord sur l’Ukraine :

    « Mais tout de même, à la fin, nous aurons à nous mettre d’accord. J’ai déjà dit à plusieurs reprises que nous sommes prêts à négocier, nous sommes ouverts. Mais cela nous fait penser, bien sûr, à qui nous avons affaire. »

    Francesca de Villasmundo 

     

    Source : medias-presse.info

  • Alors que les étrangers en situation irrégulière sous le coup d’une OQTF “qui ne présentent pas de danger pour nos concitoyens” ne sont plus placés en centres de rétention, Gérald Darmanin annonce vouloir mettre fin à l’enfermement des mineurs étrangers

    Publié par Guy de Laferrière le 13 décembre 2022

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé mardi 13 décembre vouloir mettre fin, dans le cadre de sa future loi sur l’immigration, à l’enfermement des mineurs étrangers dans les centres de rétention administrative (CRA) où sont retenus les migrants en attente de leur expulsion. Les enfants «n’ont pas à connaître ce type de rétention», a expliqué Gérald Darmanin, régulièrement interpellé par des associations sur des cas d’enfermement de mineurs.

    «Nous mettrons, dans le texte que nous présenterons, l’interdiction de mettre des mineurs dans les centres de rétention administrative dans les prochaines années, une fois que ce texte sera voté», a déclaré le ministre au cours d’un débat sans vote au Sénat, lors duquel le gouvernement a présenté les grandes lignes de son projet de loi qui doit être présenté début 2023.

    Gérald Darmanin a justifié cette mesure, réclamée de longue date par les associations qui défendent les droits des immigrés, par «les publics» qui sont désormais enfermés dans ces centres. «Nous y mettons à 92%, c’est le chiffre de ce matin, des personnes qui ont un casier judiciaire ou qui sont suivies par les services de renseignement», a-t-il souligné, en développant le principal objectif de sa future loi: parvenir à expulser davantage d’étrangers sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF) «qui commettent des actes de délinquance ou qui sont fichés pour radicalisation».

    «Nous n’y mettons plus les étrangers en situation irrégulière qui sont sous le coup, certes, d’une OQTF, mais qui ne présentent pas de danger pour nos concitoyens», a-t-il insisté lors de ce second débat parlementaire, une semaine après celui tenu à l’Assemblée nationale. Les mineurs «n’ont pas à connaître ce type de rétention», a ajouté le ministre, régulièrement interpellé par des associations sur des cas d’enfermement d’enfants.

    Début novembre, les députés ont voté un quasi-doublement des places en CRA, qui doivent passer à 3.000 d’ici 2027, contre environ 1.300 actuellement.

    Le Figaro via fdesouche

  • Algérie : le directeur de la télévision publique algérienne limogé pour avoir diffusé des images de la victoire du Maroc contre le Portugal (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 13 décembre 2022

    fdesouche

    13/12/22

    Les autorités algériennes auraient décidé de démettre de ses fonctions, le Directeur Général de l’établissement public de Télévision (EPTV), Chabane Lounakel, pour avoir diffusé des images de la victoire du Maroc.

    Malgré le fervent soutien des supporters algériens, le JT de la télévision publique algérienne a passé sous silence la qualification historique du Maroc en demi-finale du Mondial de football, en raison de fortes tensions diplomatiques entre les deux pays.

    L’Algérie tente de faire le blackout sur les prouesses du Maroc au mondial. Chabane Lounakel a été victime de la censure décrétée par le gouvernement algérien autour de la participation des Lions de l’Atlas au Mondial.

    Dans un communiqué laconique, le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a annoncé la nomination de Nadir Boukabes au poste de Directeur général de l’EPTV. Aucune explication n’est avancée par le département de tutelle, ni par les médias algériens.

    Toutefois, des sources proches de la télévision, ont indiqué que ce limogeage intervient après que la chaine a diffusé l’exploit des Lions de l’Atlas face aux Portugais, sans pour autant mentionner le Maroc.

    Rappelons que les mêmes autorités ont posté des policiers dans les grandes villes du pays pour réprimer toute potentielle manifestation de joie des supporters algériens en faveur du Maroc en cas de qualification aux quarts du Mondial 2022 au Qatar. Il n’est pas permis pour la population de célébrer un succès sportif marocain en dépit des liens de proximité historiques et géographiques qui lient les deux peuples.

    Bladi


    11/12/22

    Malgré le fervent soutien des supporters algériens, le JT de la télévision publique algérienne a passé sous silence la qualification historique du Maroc en demi-finale du Mondial de football, en raison de fortes tensions diplomatiques entre les deux pays.

    www.leparisien.fr

  • Bienvenue dans la mondialisation !

    Publié par Guy de Laferrière le 13 décembre 2022

     

     
     
    1/2 finale France/Maroc mercredi, ça promet : les Marocains ne parlent pas un mot d'arabe et les "Français" ne parlent pas un mot de français. Bienvenue dans la mondialisation !