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L’opération de police a eu lieu ce jeudi 26 janvier entre 16 heures et 18 heures sur le cours Gambetta à Montpellier.
Dans le cadre d’une opération de sécurisation du secteur Gambetta, le bureau centre de la police nationale a mis en place un dispositif, en collaboration avec la police municipale et les effectifs du centre de supervision urbaine, ce jeudi 26 janvier, entre 16 et 18 heures.
L’équipe des U18 féminines, mise en cause dans l’incident
31/01/2023
« Je ne suis pas préparé à ça », confie Yoann Bléjan, l’entraîneur des U18, après l’agression d’une joueuse, samedi, à Saint-Brieuc, par une adversaire de Ginglin-Cesson. Le choc est encore très vif ; l’équipe féminine devrait faire une pause cette semaine.
Comment va la jeune fille blessée, samedi, lors du match contre Ginglin-Cesson ?
Elle est sortie de l’hôpital, samedi, dans la soirée. Elle a un traumatisme aux cervicales et des plaies au niveau du cuir chevelu, derrière la tête, dues au coup de crampons. Elle est très choquée et très affectée par ce qui s’est passé. À 14 ans, elle est la capitaine de l’équipe U15. Mais ce jour-là, elle était surclassée pour jouer le match. Il s’agissait de son deuxième match chez les U18. Cela fait deux saisons qu’elle joue à l’US Prat et cela se passe très bien.
Je me sens déboussolé, je ne suis pas préparé à ça. (…) Je suis en colère aujourd’hui, mais je n’en veux pas forcément au club. Je me demande juste pourquoi cette jeune fille est sur un terrain de football.
Vos joueuses ont été choquées, vous avez pris des mesures ?
À chaud, il y a eu beaucoup de pleurs et de peurs. On a rappelé les plus traumatisées pour prendre des nouvelles. Elles étaient onze dans l’équipe ce jour-là et d’autres joueuses étaient venues les voir. On n’a pas forcément la tête à jouer au football ces jours-ci. J’ai préféré annuler les entraînements de la semaine, le mercredi et vendredi.
Samedi, l’équipe féminine des U18 de l’US Prat se déplaçait à Ginglin-Cesson dans le cadre du championnat départemental au stade de l’Europe, à Saint-Brieuc. Une rencontre durant laquelle tout se passait normalement jusqu’à ce qu’une joueuse de Ginglin agresse la capitaine des Bleues. « Un acte gratuit qui n’a rien à voir avec le football. La Prataise étant au sol, elle est venue lui asséner un coup sur la tête avec le pied. » Grièvement blessée, la jeune footballeuse trégorroise a été transportée au centre hospitalier de Saint-Brieuc. Verdict : un gros hématome derrière la tête, une trace de crampons et une entorse cervicale.
« Je n’ai pas de mots pour décrire ce geste violent et lâche qui a choqué tout le groupe pratais. Nous étions dans un climat délétère, la police est venue pour nous protéger pour que l’on puisse quitter le stade. On ne comprend pas pourquoi. Les filles sont psychologiquement marquées et ne veulent plus jouer. Nous nous mettons en pause, nous allons appeler le district pour avoir une cellule psychologique. Les parents ont déposé plainte à la gendarmerie de Bégard ce matin, j’ai moi-même fait une déposition », commentait, ce dimanche soir, le coach Yoann Bléjan.
D’après des chiffres publiés par le ministère de l’Intérieur ce mardi, « la quasi-totalité des indicateurs de la délinquance enregistrée sont en hausse en 2022 par rapport à l’année précédente ».
Les augmentations du nombre d’homicides (948, soit 69 victimes de plus qu’en 2021, selon des données encore provisoires), des coups et blessures volontaires, des violences sexuelles et escroqueries « poursuivent celles observées avant la crise sanitaire ».
Quant aux vols sans violence, cambriolages, vols de véhicules ou d’accessoires de véhicules, ils « s’accroissent nettement en 2022 »
Selon les chiffres disponibles, si les tendances s’observent partout en France, quelques départements contribuent particulièrement aux progressions, notamment « les Bouches-du-Rhône pour la hausse des vols dans les véhicules et le Nord pour la hausse des vols d’accessoires sur les véhicules ».
Les nouveaux gérants de “la Confédération syndicale des familles du grand Mirail”, une association qui aide les habitants les plus démunis, ont déposé plainte contre l’ancienne présidente. Elle est soupçonnée d’avoir détourné plusieurs milliers d’euros. Cette dernière se défend et assure être victime d’un “lynchage”.
Fatiha Adjelout, ancienne colistière de Nadia Pellefigue puis d’Antoine Maurice lors des élections municipales de Toulouse, est visée par une plainte déposée par l’association Confédération syndicale des familles du grand Mirail (CSF Mirail), qu’elle présidait jusqu’en février. Cette militante socialiste est soupçonnée d’avoir détourné de l’argent à son profit. On lui reproche aussi d’avoir octroyé un prêt bancaire de 2000€ à une autre association . Une somme jamais remboursé jusqu’alors.
6 000 € dans la nature, un prêt de 2 000 € non remboursé
(…) Quelques mois plus tard, en épluchant les comptes de la CSF Mirail, financée notamment par la mairie et le conseil départemental de Haute-Garonne, le directeur aurait repéré plusieurs irrégularités. À la suite de son départ, la mère de famille n’aurait, par exemple, pas rendu le matériel qui lui avait été fourni. Des tablettes, un ordinateur, un téléphone portable, entre autres.
Les nouveaux gérants de l’association assurent aussi qu’elle aurait dépensé plus de 6 000 € en 2021, sans l’accord du conseil d’administration. Et pour justifier cette somme la femme politique aurait expliqué s’en être servie pour ses frais de déplacement et de restauration.
Il y a les paroles, et puis il y a les actes, après... Ou, plutôt, en l'occurrence, "il n'y a pas"...
Selon le Canard Enchainé du 25 janvier dernier, Macron a "pulvérisé la requête" du CEMA sur l'achat de chars et canons supplémentaires lors d'un conseil de défense en décembre. L'armée de Terre devra, jusqu'en 2040, "se contenter de 200 Leclerc rénovés".
Et croiser les doigts pour le MGCS ? (anglicisme pour "Main Ground Combat System"), ou : "Système Principal de Combat Terrestre" (quel charabia, inutile et grotesque !), projet d'armement franco-allemand qui était conçu pour remplacer les chars Léopard et Leclerc.
La seule question est : le Canard dit-il vrai ? On attend avec impatience un démenti de l'Élysée, sinon cela voudra dire que, comme d'habitude, le Système et la République idéologique nous désarment...