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saint-brieuc

  • Saint-Brieuc (22) : une jeune footballeuse grièvement blessée à la tête après avoir été volontairement piétinée par une adversaire (màj : des nouvelles de Louna, dont l’entraîneur affirme n’avoir “jamais vu une violence pareille”)

    Publié par Guy de Laferrière le 31 janvier 2023

    L’équipe des U18 féminines, mise en cause dans l’incident

    31/01/2023

    « Je ne suis pas préparé à ça », confie Yoann Bléjan, l’entraîneur des U18, après l’agression d’une joueuse, samedi, à Saint-Brieuc, par une adversaire de Ginglin-Cesson. Le choc est encore très vif ; l’équipe féminine devrait faire une pause cette semaine.

    Comment va la jeune fille blessée, samedi, lors du match contre Ginglin-Cesson ?

    Elle est sortie de l’hôpital, samedi, dans la soirée. Elle a un traumatisme aux cervicales et des plaies au niveau du cuir chevelu, derrière la tête, dues au coup de crampons. Elle est très choquée et très affectée par ce qui s’est passé. À 14 ans, elle est la capitaine de l’équipe U15. Mais ce jour-là, elle était surclassée pour jouer le match. Il s’agissait de son deuxième match chez les U18. Cela fait deux saisons qu’elle joue à l’US Prat et cela se passe très bien.

    Je me sens déboussolé, je ne suis pas préparé à ça. (…) Je suis en colère aujourd’hui, mais je n’en veux pas forcément au club. Je me demande juste pourquoi cette jeune fille est sur un terrain de football.

    Vos joueuses ont été choquées, vous avez pris des mesures ?

    À chaud, il y a eu beaucoup de pleurs et de peurs. On a rappelé les plus traumatisées pour prendre des nouvelles. Elles étaient onze dans l’équipe ce jour-là et d’autres joueuses étaient venues les voir. On n’a pas forcément la tête à jouer au football ces jours-ci. J’ai préféré annuler les entraînements de la semaine, le mercredi et vendredi.

    Foot amateur / le télégramme

    29/01/2023

    Samedi, l’équipe féminine des U18 de l’US Prat se déplaçait à Ginglin-Cesson dans le cadre du championnat départemental au stade de l’Europe, à Saint-Brieuc. Une rencontre durant laquelle tout se passait normalement jusqu’à ce qu’une joueuse de Ginglin agresse la capitaine des Bleues. « Un acte gratuit qui n’a rien à voir avec le football. La Prataise étant au sol, elle est venue lui asséner un coup sur la tête avec le pied. » Grièvement blessée, la jeune footballeuse trégorroise a été transportée au centre hospitalier de Saint-Brieuc. Verdict : un gros hématome derrière la tête, une trace de crampons et une entorse cervicale.

    « Je n’ai pas de mots pour décrire ce geste violent et lâche qui a choqué tout le groupe pratais. Nous étions dans un climat délétère, la police est venue pour nous protéger pour que l’on puisse quitter le stade. On ne comprend pas pourquoi. Les filles sont psychologiquement marquées et ne veulent plus jouer. Nous nous mettons en pause, nous allons appeler le district pour avoir une cellule psychologique. Les parents ont déposé plainte à la gendarmerie de Bégard ce matin, j’ai moi-même fait une déposition », commentait, ce dimanche soir, le coach Yoann Bléjan.

    Le télégramme

    L’U.S. Prat (merci à “restons unis”)

  • Saint-Brieuc (22) : “1000km pour rien, notre job est discrédité”. Les policiers qui avaient escorté un Marocain à Roissy CDG sont contraints de le ramener en Bretagne où il est laissé libre car “H” a refusé de monter dans l’avion

    Publié par Guy Jovelin le 29 juin 2022

    Les fonctionnaires de Police briochins ont été mobilisés, lundi 20 juin au soir, pour garder H., un homme de nationalité marocaine, avec la mission de quitter son hôtel à 3 h du matin pour l’aéroport de Roissy. L’homme devait prendre un avion pour le Maroc à 12 h 30. Mais une fois sur place, il a refusé de monter dans l’avion. Les policiers en informent alors la préfecture des Côtes d’Armor et, suivant ses instructions, ramènent le ressortissant marocain à Saint-Brieuc, où il est laissé libre à sa sortie du commissariat avec, toutefois, une mesure d’assignation à résidence.

    L’affaire a fait bondir les syndicats policiers, dénonçant l’absurdité coûteuse d’un tel fonctionnement. « On met en place un lieu temporaire de rétention administrative, avec un hôtel ouvert au public par ailleurs », résume un délégué briochin d’Alliance. « 1 000 km pour rien, c’est vraiment notre job qui est discrédité alors que, selon nos informations, il y avait de la place au centre de rétention du Mesnil Amelot… Comment gaspiller inutilement de l’énergie et de l’argent ».

    L’Unsa police s’est aussi saisie du dossier. ?« On a deux policiers chargés de garder un homme, de 18 h à 3 h du matin, donc deux chambres d’hôtel à payer, trois autres policiers qui prennent le relais à 3 h pour un retour à 18 h 30, et plus de 1 000 kilomètres avec le prix actuel du gasoil… », note ainsi un délégué. « Sans compter que le billet d’avion n’est pas remboursable ».

    Côté préfecture des Côtes-d’Armor, on rappelle la règle : « Dans ce cas de figure, il est prévu qu’un nouveau vol soit réservé à l’intention de l’intéressé. Si la personne persiste à faire obstacle à l’exécution de la mesure d’éloignement, ou ne respecte pas l’assignation à résidence, le procureur de la République sera saisi. Il pourra engager des poursuites pénales, avant de mettre à nouveau exécution la mesure d’éloignement ».

    Le télégramme via fdesouche

  • Saint-Brieuc (22) : « On a un souci dans le quartier de l’Europe avec une population difficile qui vient notamment de la région parisienne… » 

    Publié par Guy Jovelin le 06 mai 2022

    Un jeune homme a été jugé en son absence, ce mercredi 4 mai au tribunal correctionnel de Saint-Brieuc, pour des outrages lors d’une opération de police dans le quartier de l’Europe à Saint-Brieuc.

    Le 15 décembre 2021, la police était appelée rue de Venise, dans le quartier de l’Europe, à Saint-Brieuc, par des habitants d’un immeuble, empêchés d’accéder à leurs propres caves. « Quand les policiers arrivent sur place, ils voient des gens qui ferment les portes de l’intérieur », explique la juge, à l’audience du tribunal correctionnel de ce mercredi 4 mai 2022.

    « Un équipage se positionne à l’arrière du bâtiment et repère un individu qui tente de partir, puis qui rentre de nouveau dans les caves et ferme les portes ». Finalement des renforts arrivent, des policiers se placent près de toutes les issues… et finissent par interpeller un jeune homme qui ne l’entend pas de cette oreille, et évoque, dans un langage fleuri, des choses en rapport avec l’orientation sexuelle de la police.

    Le 9-3

    « Il n’est pas là aujourd’hui pour s’expliquer », constate la présidente, qui remarque que le jeune « prétend habiter le 9-3, comme on dit, et n’avoir aucune ressource ». Dans la procédure, le suspect a, lui, dénoncé un contrôle abusif et nié l’outrage. « J’ai traité le policier de raciste, c’est pas une insulte c’est la vérité ».

    L’avocat du policier lève les yeux aux ciels. « On a un souci dans le quartier de l’Europe avec une population difficile qui vient notamment de région parisienne… leur seule réponse c’est de filmer la police quand elle intervient pour diffuser ensuite sur les réseaux… »

    (…) Le Télégramme via fdesouche

  • Saint-Brieuc : l’agresseur est… Maghrébin

    Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2020

    Posté par Eric Martin  Il y a 4 minutes

    Je n’arrive pas à y croire :

     
    Photo de profil, ouvre la page de profil sur Twitter dans un nouvel onglet
    Lili
    @quiniolisa
     
     
     
    Hier soir vers 1h du matin à saint brieuc, j’ai subi des attouchements venant de cet homme. Je vais évidemment le signaler à la police mais si vous le croisez les filles, faites attention à vous, ne restez pas seule, soyez vigilantes.

    EhoTZmVX0AEwgjE.jpg

     agresseur,maghrébin,saint-brieuc
     
     
     
     
     
     
     
    Source :ndf
     
     

     

     

  • Saint-Brieuc (22) : de peur d’être filmés par les passagers du TGV et accusés de racisme, les policiers retardent d’1h30 l’interpellation de deux Maghrébins

    Publié par Guy Jovelin le 11 juin 2020

     

    Ce mardi, deux hommes d’origine nord-africaine ont été interpellés dans un TGV en gare de Saint-Brieuc, sans titre de transport, sans papiers d’identité et sans masque. Dans un contexte national difficile, la Police nationale, pourtant sur place dès l’arrivée du train, a mis 1 h 30 avant d’intervenir.  (…)

    Les accusations de racisme visant la police ont-elles pesé sur la non intervention ? Oui, selon nos sources proches de l’enquête. Elle n’a pas agi directement par crainte, vraisemblablement, d’une interpellation compliquée et par peur d’être filmée par les passagers du train.