Publié par Guy de Laferrière le 30 janvier 2023
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Publié par Guy de Laferrière le 30 janvier 2023
Publié par Guy de Laferrière le 30 janvier 2023
Selon les analystes du Ministère de l’Intérieur, entre 1 et 1,2 million de personnes devraient descendre dans les rues de France pour protester contre le projet de réforme des retraites ce mardi. 11.000 membres des forces de l’ordre seront déployés pour tenter d’encadrer la colère populaire, dont 4.000 sur Paris.
Les préfectures de police redoutent une mobilisation sans précédent avec de gros rassemblements régionaux à Toulouse, Marseille, Montpellier, Lyon, Grenoble, Nantes et Rennes.
Mais c’est dans toute la France que surgiront des manifestants, ce qui éclate le dispositif policier qui avait déjà été dépassé par les événements le 19 janvier dernier, ne s’attendant pas à voir des milliers de manifestants à Gueret (Creuse), à Troyes ou encore à Épinal. Même à Verdun ou à Junien en Haute-Vienne, les manifestants étaient beaucoup plus nombreux que ce qu’avait prévu la police. Au total, plus de 220 cortèges s’étaient formés sur tout le territoire.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy de Laferrière le 30 janvier 2023
2020 : mort de Roger Holeindre, à 90 ans. Ancien combattant (para), prisonnier politique, grand reporter, homme politique, écrivain, il eut une vie riche et fut une personnalité historique de la droite nationale.
Orateur fameux, « grande gueule » aussi attachante que redoutée pour son caractère volcanique, il fut un infatigable combattant de la cause nationale et en particulier un combattant de la mémoire, toujours sur la brèche pour contrer la propagande antifrançaise et remettre à l’honneur les héros sacrifiés, en particulier pendant les guerres d’Indochine et d’Algérie.
Il cofonda le Front national en 1972, et le quitta en janvier 2011 quand le parti fut légué à Marine Le Pen par son père.
Quelques détails ici.
Source : contre-info
Publié par Guy de Laferrière le 29 janvier 2023
Une quinzaine de personnes aurait procédé à des tirs de mortier, notamment sur l’enceinte de l’école nationale de police à Sens, dans la soirée du mercredi 25 janvier. Trois auteurs présumés des faits ont été interpellés et placés en garde à vue. Insuffisamment identifiés pour le moment, ils ont été laissés libres.
L’école nationale de police de Sens ne semble pas porter de stigmates de la soirée du 25 janvier. Selon plusieurs sources, un groupe d’une quinzaine de jeunes a tiré au mortier mercredi dans le secteur des Chaillots, notamment sur l’établissement situé rue du 89e-Régiment. Des attroupements dans ce quartier ont aussi conduit à l’intervention de la police. Une voiture des forces de l’ordre aurait été prise pour cible.
“Il peut s’agir d’événements en lien avec de précédentes interpellations liées à des rodéos urbains ou à des trafics de stupéfiants, pour essayer de nous provoquer et prendre à partie les équipes. Mais aucun lien réel ne peut être fait.”
L’école nationale de police (ENP) de Sens (Yonne) a été la cible de tirs de mortiers d’artifice ce mercredi soir et trois suspects de 16, 18 et 19 ans ont été interpellés. Ils ont été laissés libres sans charge au terme de leur garde à vue, à ce stade des investigations, a-t-on appris, confirmant une information de L’Yonne Républicaine.
(…) L’adolescent de 16 ans avait sur lui deux pétards et une carte nationale d’identité qui était signalée volée. “Ce mineur est actuellement sous contrôle judiciaire avec l’interdiction de quitter son domicile de 21 heures à 4 heures”, indique une source proche de l’affaire. “Il a affirmé qu’il avait trouvé par terre cette carte d’identité”.
Publié par Guy de Laferrière le 29 janvier 2023
La Turquie a mis en garde samedi 28 janvier ses citoyens souhaitant voyager contre l’intolérance religieuse en Europe et le racisme aux États-Unis, au lendemain d’un appel à la vigilance de pays occidentaux à leurs ressortissants face au risque d’attentats sur le sol turc.
Cet appel – de Washington, Paris, Berlin ou Rome – à éviter en Turquie les foules et les lieux touristiques est survenu après une mise à feu d’exemplaires du Coran en Suède et au Danemark lors de manifestations anti-turques.
Un avis du ministère turc des Affaires étrangères affirme en retour aux touristes turcs qu’il existe «des niveaux dangereux d’intolérance religieuse et de haine en Europe». Un autre communiqué assure qu’«il y a eu récemment des attaques verbales et physiques contre des étrangers et des actes racistes aux États-Unis».
Ces tensions redoublent depuis mai, dans un contexte de blocage de la Turquie à l’élargissement de l’Alliance atlantique (Otan) à la Suède et à la Finlande, exigeant notamment de Stockholm l’extradition de réfugiés kurdes qu’Ankara considère comme des «terroristes».
La Turquie et la Hongrie sont les seuls pays de l’Otan à ne pas avoir encore procédé à la ratification parlementaire de l’adhésion à l’Alliance de la Suède et de la Finlande. La Hongrie devrait la finaliser le mois prochain.
Cherchant à revigorer le soutien de sa base dans la perspective de la prochaine présidentielle de la mi-mai en Turquie, le président turc Recep Tayyip Erdogan a prévenu que la Suède ne pouvait plus compter sur le «soutien» de la Turquie pour rejoindre l’Otan. Les négociations sont officiellement suspendues.
La France et les Etats-Unis ont appelé vendredi soir leurs ressortissants en Turquie à faire preuve de “vigilance” face au risque d’attentats, en représailles aux exemplaires du Coran brûlés en Suède et au Danemark lors de manifestations anti-turques.
“À la lumière des récents incidents de Corans brûlés en Europe, le Gouvernement américain met en garde ses citoyens contre de possibles attentats terroristes visant des lieux de culte par mesure de représailles en Turquie“, indique l’ambassade américaine à Ankara. “Les terroristes pourraient attaquer sans prévenir et viser des lieux de culte fréquentés par les Occidentaux“, estime-t-elle.
La représentation américaine recommande de rester “vigilant, d’éviter les foules et de faire profil bas“.
Simultanément, la représentation française à Ankara a adressé par courriel un message similaire à ses ressortissants présents dans le pays en se référant à l’alerte des Etats-Unis.
“Le risque d’attentat terroriste en Turquie restant élevé, comme le rappelle l’alerte sécuritaire émise par l’ambassade des Etats-Unis le 27 janvier 2023, les Français résidant ou de passage en Turquie sont appelés à faire preuve de vigilance maximale, tout particulièrement dans les lieux de rassemblement susceptibles d’être fréquentés par des ressortissants étrangers, y compris les lieux de culte“, indique-t-elle.
Ce communiqué devait être mis en ligne dans la soirée sur le site du ministère des Affaires étrangères et celui de l’ambassade de France à Ankara, a précisé un diplomate.
Al-Azhar, l’une des plus prestigieuses institutions de l’islam sunnite basée en Égypte, a appelé mercredi 25 janvier «au boycott des produits suédois et néerlandais» après les profanations de Corans par des militants d’extrême droite ce week-end en Suède et aux Pays-Bas.. Ces deux évènements ont suscité de vives protestations d’Ankara et de plusieurs capitales du monde musulman ainsi que des manifestations en Irak, en Syrie, au Pakistan et en Afghanistan.
Dans un communiqué, l’institution sunnite a elle appelé «les musulmans à boycotter les produits néerlandais et suédois», exigeant «une réponse appropriée aux gouvernements de ces deux pays (…) et leur persistance à protéger des crimes ignobles et barbares au nom de «la liberté d’expression». Le ministère des Affaires étrangères égyptien a «fermement condamné» les deux actes par communiqués, exprimant dans le second lundi sa «profonde préoccupation face à la récurrence de tels évènements et la récente escalade islamophobe dans un certain nombre de pays européens».
Stockholm a de son côté déploré un acte «profondément irrespectueux» et exprimé sa «sympathie» aux musulmans en soulignant que la Constitution suédoise empêchait d’interdire ce type d’agissements. Cela n’a pas suffi à calmer la colère de la Turquie, plus que jamais déterminée à bloquer la candidature d’adhésion de la Suède à l’Otan.
Lundi Washington qualifiait l’autodafé du Coran d’acte de «répugnant» dénonçant une «provocation» et une volonté «délibérée d’influer sur les discussions en cours sur l’adhésion de la Suède et de la Finlande à l’Otan» et d’«affaiblir» l’unité transatlantique. «Je veux renouer un dialogue de travail avec la Turquie», a affirmé de son côté le premier ministre suédois Ulf Kristersson lors d’une conférence de presse mardi, critiquant les «provocateurs» qui tentent de déstabiliser la candidature suédoise et appelant au «calme» face à une situation «grave».